Ce jeudi 21 Mars, Didier Ekanza, étudiant au département d’histoire option histoire contemporaine à l’Université Félix Houphouët Boigny à présenté son mémoire de fin de cycle Master 2.
Les travaux de son mémoire ont porté sur ‘’ L’Ecole des Forces Armées de Cote d’Ivoire et la formation des Officiers Ivoiriens de 1961 à 2005’’.
Construite en 1961 sous les fonds baptismaux par les autorités ivoiriennes, L’EFA a évolué et s’est positionnée comme une école prestigieuse de renommée internationale avec tous les atouts pour former de grands officiers.
De 1963, date d’ouverture officielle jusqu’en 1999, l’EFA a évolué dans sa capacité d’accueil, l’école a quitté son site pour aller sur la base aérienne en 1966, ou elle à reçu ses premiers officiers étrangers du Nigéria.
En 1972, les autorités ont senti le besoin de disposer d’officier supérieur pour diriger les unités, c’est ainsi que les cours de capitaines ont été créés. En 1981, les cours d’Etat major ont été lancés pour diriger les bataillons.
Pendant tout ce temps, l’école était dirigée par les français, avec une forte présence d’ivoirien dans le conseil de gestion.
En 2000, les officiers ivoiriens trouvent qu’ils ont l’aptitude de diriger eux-mêmes l’école. C’est ainsi que le colonel Idrissa Traoré, fut nommé 1er officier ivoirien chef de corps, le Général Sekou Touré prit le relais à sa suite.
Comme perspectives, l’impétrant à proposé que l’EFA évolue vers une école de guerre, aller vers les diplômes supérieurs de niveau 2. Après son brillant exposé suivit de l’analyse de ses travaux, le jury lui à attribué la note de 16/20 avec la mention très bien.
Professeur Yao bi, maitre de conférences en histoire contemporaine, président du jury, à indiqué que l’élève à été évalué sans complaisance. Il à souhaité que le mémoire soit enrichi davantage pour être mis à la disposition des décideurs.
« Le département d’histoire à lancé une série de travaux pour mieux comprendre l’outil de défense et de sécurité ivoirien, c’est dans cet esprit que l’impétrant a travaillé sur la formation des officiers » à expliqué professeur Arthur Banga, Enseignants-chercheurs au département d’histoire.
A termes, l’ensemble de ces travaux permettront de redonner à l’Ecole des Forces Armées son prestige et de mieux la faire connaitre par le grand public.
P. R.
Les travaux de son mémoire ont porté sur ‘’ L’Ecole des Forces Armées de Cote d’Ivoire et la formation des Officiers Ivoiriens de 1961 à 2005’’.
Construite en 1961 sous les fonds baptismaux par les autorités ivoiriennes, L’EFA a évolué et s’est positionnée comme une école prestigieuse de renommée internationale avec tous les atouts pour former de grands officiers.
De 1963, date d’ouverture officielle jusqu’en 1999, l’EFA a évolué dans sa capacité d’accueil, l’école a quitté son site pour aller sur la base aérienne en 1966, ou elle à reçu ses premiers officiers étrangers du Nigéria.
En 1972, les autorités ont senti le besoin de disposer d’officier supérieur pour diriger les unités, c’est ainsi que les cours de capitaines ont été créés. En 1981, les cours d’Etat major ont été lancés pour diriger les bataillons.
Pendant tout ce temps, l’école était dirigée par les français, avec une forte présence d’ivoirien dans le conseil de gestion.
En 2000, les officiers ivoiriens trouvent qu’ils ont l’aptitude de diriger eux-mêmes l’école. C’est ainsi que le colonel Idrissa Traoré, fut nommé 1er officier ivoirien chef de corps, le Général Sekou Touré prit le relais à sa suite.
Comme perspectives, l’impétrant à proposé que l’EFA évolue vers une école de guerre, aller vers les diplômes supérieurs de niveau 2. Après son brillant exposé suivit de l’analyse de ses travaux, le jury lui à attribué la note de 16/20 avec la mention très bien.
Professeur Yao bi, maitre de conférences en histoire contemporaine, président du jury, à indiqué que l’élève à été évalué sans complaisance. Il à souhaité que le mémoire soit enrichi davantage pour être mis à la disposition des décideurs.
« Le département d’histoire à lancé une série de travaux pour mieux comprendre l’outil de défense et de sécurité ivoirien, c’est dans cet esprit que l’impétrant a travaillé sur la formation des officiers » à expliqué professeur Arthur Banga, Enseignants-chercheurs au département d’histoire.
A termes, l’ensemble de ces travaux permettront de redonner à l’Ecole des Forces Armées son prestige et de mieux la faire connaitre par le grand public.
P. R.