Le Royaume du Maroc accueille, lundi, dans la ville de Marrakech, une Conférence ministérielle africaine sur l’appui de l’Union africaine (UA) au processus politique des Nations Unies sur le différend régional au sujet du Sahara.
Selon le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du pays, cette conférence vise à soutenir la dernière décision de l’Union africaine sur le sujet, « Décision Assembly/AU/Dec.693 (XXXI) », adoptée lors de son 31ème Sommet, tenu à Nouakchott (Mauritanie), en juillet 2018, qui réaffirme l’exclusivité des Nations Unies dans l’examen du différend régional concernant le Sahara occidental.
Une quarantaine de pays africains, en provenance des cinq sous-régions du continent, sont annoncés pour cette réunion qui s’inscrit dans le cadre des initiatives des Etats africains en vue du renforcement de l’unité sur le continent.
Réitérant « sa profonde préoccupation » face à l'impasse persistante dans le conflit du Sahara occidental et aux conséquences qui en résultent, l'UA, lors de sa 31ème session ordinaire, a souligné la « nécessité » pour elle de « contribuer activement à la recherche d'une solution, à travers un soutien renouvelé aux efforts menés par le Secrétaire général des Nations unies et son Envoyé personnel ».
L’organisation a ainsi décidé d’établir un mécanisme africain pour apporter un soutien efficace aux efforts conduits par les Nations unies, insistant sur le fait que « la question du Sahara occidental ne sera abordée que dans ce cadre ».
L’UA a aussi, à l’occasion, expressément appelé tous les États membres à soutenir les efforts conduits par les Nations unies.
Territoire situé entre le Maroc, l’Algérie au Nord-Est et la Mauritanie à l’Est et au Sud, le Sahara occidental, est à ce jour inscrit sur la liste des « territoires non autonomes » de l’ONU dont le statut reste à déterminer.
Le Maroc qui en contrôle et administre aujourd'hui environ 80 % revendique ce territoire, depuis les années 70. Ce à quoi s'oppose le Front Polisario qui en contrôle 20 % laissé par le royaume chérifien derrière une longue ceinture de sécurité, appelé le « mur marocain ».
Selon le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du pays, cette conférence vise à soutenir la dernière décision de l’Union africaine sur le sujet, « Décision Assembly/AU/Dec.693 (XXXI) », adoptée lors de son 31ème Sommet, tenu à Nouakchott (Mauritanie), en juillet 2018, qui réaffirme l’exclusivité des Nations Unies dans l’examen du différend régional concernant le Sahara occidental.
Une quarantaine de pays africains, en provenance des cinq sous-régions du continent, sont annoncés pour cette réunion qui s’inscrit dans le cadre des initiatives des Etats africains en vue du renforcement de l’unité sur le continent.
Réitérant « sa profonde préoccupation » face à l'impasse persistante dans le conflit du Sahara occidental et aux conséquences qui en résultent, l'UA, lors de sa 31ème session ordinaire, a souligné la « nécessité » pour elle de « contribuer activement à la recherche d'une solution, à travers un soutien renouvelé aux efforts menés par le Secrétaire général des Nations unies et son Envoyé personnel ».
L’organisation a ainsi décidé d’établir un mécanisme africain pour apporter un soutien efficace aux efforts conduits par les Nations unies, insistant sur le fait que « la question du Sahara occidental ne sera abordée que dans ce cadre ».
L’UA a aussi, à l’occasion, expressément appelé tous les États membres à soutenir les efforts conduits par les Nations unies.
Territoire situé entre le Maroc, l’Algérie au Nord-Est et la Mauritanie à l’Est et au Sud, le Sahara occidental, est à ce jour inscrit sur la liste des « territoires non autonomes » de l’ONU dont le statut reste à déterminer.
Le Maroc qui en contrôle et administre aujourd'hui environ 80 % revendique ce territoire, depuis les années 70. Ce à quoi s'oppose le Front Polisario qui en contrôle 20 % laissé par le royaume chérifien derrière une longue ceinture de sécurité, appelé le « mur marocain ».