Marrakech (Maroc), Une conférence ministérielle africaine, réunissant une quarantaine d’Etats des cinq sous-régions du continent, s’ouvre, ce lundi, dans la ville de Marrakech, au Maroc, pour un appui à la position de l’Union africaine (UA) dans la résolution du différend concernant le Sahara occidental.
L’UA, sur le sujet, a réaffirmé, lors de sa 31ème session ordinaire, en juillet 2018, à Nouakchott, en Mauritanie, l’exclusivité des Nations Unies dans le traitement de la vieille dispute (datant des années 70) entre le Maroc et le Front Polisario à propos de la propriété de ce territoire de 266 000 km², bordé par la province marocaine de Tarfaya au Nord, l'Algérie au Nord-Est, la Mauritanie à l'Est et au Sud, tandis que sa côte Ouest donne sur l'Atlantique.
Réitérant « sa profonde préoccupation » face à l'impasse persistante dans le règlement du différend, l'UA, à Nouakchott, a souligné la « nécessité » pour elle de « contribuer activement à la recherche d'une solution, à travers un soutien renouvelé aux efforts menés par le Secrétaire général des Nations unies et son Envoyé personnel ».
L’organisation a ainsi décidé d’établir un mécanisme africain pour apporter un soutien efficace aux efforts conduits par les Nations Unies, insistant sur le fait que « la question du Sahara occidental ne sera abordée que dans ce cadre ».
Elle (l’organisation) a aussi, à l’occasion, expressément appelé tous les États membres à soutenir les efforts conduits par les Nations Unies.
Le Sahara occidental, est, à ce jour, inscrit sur la liste des « territoires non autonomes » de l’ONU dont le statut reste à déterminer, rappelle-t-on. Le Maroc contrôle et administre environ 80 % de cet espace quand le Front Polisario en contrôle 20 %, confiné derrière une longue ceinture appelé le « mur marocain » érigé par le royaume chérifien.
(AIP)
kg/fmo
L’UA, sur le sujet, a réaffirmé, lors de sa 31ème session ordinaire, en juillet 2018, à Nouakchott, en Mauritanie, l’exclusivité des Nations Unies dans le traitement de la vieille dispute (datant des années 70) entre le Maroc et le Front Polisario à propos de la propriété de ce territoire de 266 000 km², bordé par la province marocaine de Tarfaya au Nord, l'Algérie au Nord-Est, la Mauritanie à l'Est et au Sud, tandis que sa côte Ouest donne sur l'Atlantique.
Réitérant « sa profonde préoccupation » face à l'impasse persistante dans le règlement du différend, l'UA, à Nouakchott, a souligné la « nécessité » pour elle de « contribuer activement à la recherche d'une solution, à travers un soutien renouvelé aux efforts menés par le Secrétaire général des Nations unies et son Envoyé personnel ».
L’organisation a ainsi décidé d’établir un mécanisme africain pour apporter un soutien efficace aux efforts conduits par les Nations Unies, insistant sur le fait que « la question du Sahara occidental ne sera abordée que dans ce cadre ».
Elle (l’organisation) a aussi, à l’occasion, expressément appelé tous les États membres à soutenir les efforts conduits par les Nations Unies.
Le Sahara occidental, est, à ce jour, inscrit sur la liste des « territoires non autonomes » de l’ONU dont le statut reste à déterminer, rappelle-t-on. Le Maroc contrôle et administre environ 80 % de cet espace quand le Front Polisario en contrôle 20 %, confiné derrière une longue ceinture appelé le « mur marocain » érigé par le royaume chérifien.
(AIP)
kg/fmo