La première édition d’un festival, dénommé « Bouaké Ouflè » (ou la renaissance de Bouaké en langue baoulé), a démarré, vendredi, en vue de contribuer à redorer le blason de la capitale régionale de Gbèkè.
Ce festival, d’une durée de trois jours, est placé sous le thème « Bouaké, une ville du civisme ». Il est initié pour sensibiliser les populations locales, en l’occurrence la jeunesse, sur le respect des normes en vigueur et sur « le savoir vivre ».
En marge de l’émission ‘C-Midi’ du partenaire RTI organisée avec le public en direct du palais du carnaval, d’un défilé de mode et d’un concert d’artistes dans la soirée de vendredi, les jeunes stylistes de la localité ont bénéficié d’une formation dans le cadre d’un atelier initié par des promoteurs de spectacles Sié Kambou et Diakité Siaka allias Chico Lacoste.
« Cette année, peut-être qu’on ne s’y est pas pris assez tôt, mais l’essentiel c’est qu’il fallait tenir le festival », a fait savoir Sié Kambou. A chaque édition, a-t-il précisé, le volet social sera marqué par un acte concret. Ainsi, pour cette première édition, l’accent a été mis sur la santé avec une opération d’entretien de la maternité de Kôkô qui sera suivie d’un don de 200 kits de bébés à cette maternité.
Un tournoi de Maracaña, des concerts d’artistes de renoms nationaux et internationaux, un cross populaire (pour consolider la cohésion sociale et améliorer la santé des populations) et l’ouverture d’un « village du festival » avec des expositions et de la gastronomie sont inscrits au programme de cet événement.
L’idée au départ était d’organiser un simple concert dans la période de la fête de pâques, a expliqué M. Sié Kambou, ajoutant que c’est après maintes réflexions que l’idée de festival l’a emportée. D’autres activités, a-t-il annoncé, seront ajoutées au contenu des prochaines éditions.
Plusieurs autorités dont le parrain, le ministre des Transports, Amadou Koné sont annoncées pour l’ouverture officielle, ce samedi.
(AIP)
Nbf/kp
Ce festival, d’une durée de trois jours, est placé sous le thème « Bouaké, une ville du civisme ». Il est initié pour sensibiliser les populations locales, en l’occurrence la jeunesse, sur le respect des normes en vigueur et sur « le savoir vivre ».
En marge de l’émission ‘C-Midi’ du partenaire RTI organisée avec le public en direct du palais du carnaval, d’un défilé de mode et d’un concert d’artistes dans la soirée de vendredi, les jeunes stylistes de la localité ont bénéficié d’une formation dans le cadre d’un atelier initié par des promoteurs de spectacles Sié Kambou et Diakité Siaka allias Chico Lacoste.
« Cette année, peut-être qu’on ne s’y est pas pris assez tôt, mais l’essentiel c’est qu’il fallait tenir le festival », a fait savoir Sié Kambou. A chaque édition, a-t-il précisé, le volet social sera marqué par un acte concret. Ainsi, pour cette première édition, l’accent a été mis sur la santé avec une opération d’entretien de la maternité de Kôkô qui sera suivie d’un don de 200 kits de bébés à cette maternité.
Un tournoi de Maracaña, des concerts d’artistes de renoms nationaux et internationaux, un cross populaire (pour consolider la cohésion sociale et améliorer la santé des populations) et l’ouverture d’un « village du festival » avec des expositions et de la gastronomie sont inscrits au programme de cet événement.
L’idée au départ était d’organiser un simple concert dans la période de la fête de pâques, a expliqué M. Sié Kambou, ajoutant que c’est après maintes réflexions que l’idée de festival l’a emportée. D’autres activités, a-t-il annoncé, seront ajoutées au contenu des prochaines éditions.
Plusieurs autorités dont le parrain, le ministre des Transports, Amadou Koné sont annoncées pour l’ouverture officielle, ce samedi.
(AIP)
Nbf/kp