Yamoussoukro -Les fidèles catholiques de la cellule de base ecclésiastique Saint Anne de l’église Saint-Jean de Morofé ont pris part, dimanche, à une séance de sensibilisation sur les grossesses précoces et le mariage forcé organisé par SOS village d’enfants (SOS/VE) de Yamoussoukro.
L’activité s’inscrivait dans le cadre de la mission de protection des enfants de l’éducation et de la santé de la reproduction de SOSVE Côte d’Ivoire. L’association humanitaire internationale qui recueille les enfants abandonnés entendait, par cette sensibilisation sur la précocité sexuelle, prévenir les grossesses précoces et non désirées pour que des nouveau-nés soient rejetés.
Le formateur Ahiba Aké Léon, coordonnateur du projet Promotion de la santé et prévention (PSP) au programme SOS village d’enfant de Yamoussoukro, a expliqué qu’une grossesse contractée avant l’âge de 18 ans est une grossesse précoce qui a des conséquences néfastes sur la santé de la jeune fille mineure.
« Il y a l’accouchement difficile du fait que les bassins de l’adolescente sont immatures, on a les infections, la stérilité, les saignements entrainant parfois des décès », a rappelé le coordonnateur du PSP de SOS/VE. Le sociologue Ahiba Léon a ajouté que la conséquence est aussi psychologique, et mental et s’observe également au plan éducatif et sur la vie scolaire avec l’abandon des études.
Ahiba Léon a rappelé que le mariage forcé « est interdit et sanctionné par la loi ». Il a demandé aux parents de veiller sur l’éducation de leurs enfants particulièrement les jeunes filles. A ces dernières, il a conseillé d’observer l’abstinence et d’éviter les mauvaises fréquentations pour garantir leur avenir.
Le président de la CEB Sainte-Anne de Morofé, Zoh Albert s’est dit satisfait de la séance sensibilisation qui s’inscrit dans le cadre de leur programme annuel pour l’éducation des enfants.
Au cours de l'année scolaire 2017-2018, 149 cas de grossesse en milieu scolaire ont été enregistrés, rappelle-t-on.
nam/fmo
L’activité s’inscrivait dans le cadre de la mission de protection des enfants de l’éducation et de la santé de la reproduction de SOSVE Côte d’Ivoire. L’association humanitaire internationale qui recueille les enfants abandonnés entendait, par cette sensibilisation sur la précocité sexuelle, prévenir les grossesses précoces et non désirées pour que des nouveau-nés soient rejetés.
Le formateur Ahiba Aké Léon, coordonnateur du projet Promotion de la santé et prévention (PSP) au programme SOS village d’enfant de Yamoussoukro, a expliqué qu’une grossesse contractée avant l’âge de 18 ans est une grossesse précoce qui a des conséquences néfastes sur la santé de la jeune fille mineure.
« Il y a l’accouchement difficile du fait que les bassins de l’adolescente sont immatures, on a les infections, la stérilité, les saignements entrainant parfois des décès », a rappelé le coordonnateur du PSP de SOS/VE. Le sociologue Ahiba Léon a ajouté que la conséquence est aussi psychologique, et mental et s’observe également au plan éducatif et sur la vie scolaire avec l’abandon des études.
Ahiba Léon a rappelé que le mariage forcé « est interdit et sanctionné par la loi ». Il a demandé aux parents de veiller sur l’éducation de leurs enfants particulièrement les jeunes filles. A ces dernières, il a conseillé d’observer l’abstinence et d’éviter les mauvaises fréquentations pour garantir leur avenir.
Le président de la CEB Sainte-Anne de Morofé, Zoh Albert s’est dit satisfait de la séance sensibilisation qui s’inscrit dans le cadre de leur programme annuel pour l’éducation des enfants.
Au cours de l'année scolaire 2017-2018, 149 cas de grossesse en milieu scolaire ont été enregistrés, rappelle-t-on.
nam/fmo