La journaliste-écrivaine, Safi Chantal a dédicacé récemment, à la Bibliothèque nationale, sept de ses productions littéraires, dont « le ras-le-bol d’une immigrée : Ora Basta !».
Elle aborde les questions de l’immigration, de la femme, de la famille. Elle a avec elle une forte inspiration et une prolixité exceptionnelle. Sept ouvrages découlant de cette inspiration ont fait l’objet d’une dédicace à la Bibliothèque nationale.
L’émotion était au rendez-vous. Cette rwandaise qui a vécu le drame génocidaire rwandais, en a fait un récit de ce qu’elle a vécu.
« L’écriture me permet de libérer mes émotions, de traduire ce que je vis au quotidien et de dénoncer les méfaits de la société », a déclaré l’auteure.
« Quand l’exaspération de l’homme, ravalée au rang de condition humaine, où l’absence de la véritable générosité du cœur conduit à des comportements inimaginables et inénarrables, un seul mot, un seul cri, un seul son déchire le silence coupable de ceux dont le metier est gérer les destins des hommes sur cette belle terre d’Europe, si généreuse pour tous et pour chacun : « ORA BASTA ! » Oui ! Assez maintenant ! ça suffit ! Il faut arrêter le drame de ces hommes et femmes dans le cimetière de la Méditerranée, fuyant la famine, les guerres et autres calamités du fait humain. Les rescapés dont le quotidien devient une véritable peau de chagrin en Europe, chutent avec leur fardeau de soucis sur la tête...», lit-on à la quatrième de couverture.
DA
Elle aborde les questions de l’immigration, de la femme, de la famille. Elle a avec elle une forte inspiration et une prolixité exceptionnelle. Sept ouvrages découlant de cette inspiration ont fait l’objet d’une dédicace à la Bibliothèque nationale.
L’émotion était au rendez-vous. Cette rwandaise qui a vécu le drame génocidaire rwandais, en a fait un récit de ce qu’elle a vécu.
« L’écriture me permet de libérer mes émotions, de traduire ce que je vis au quotidien et de dénoncer les méfaits de la société », a déclaré l’auteure.
« Quand l’exaspération de l’homme, ravalée au rang de condition humaine, où l’absence de la véritable générosité du cœur conduit à des comportements inimaginables et inénarrables, un seul mot, un seul cri, un seul son déchire le silence coupable de ceux dont le metier est gérer les destins des hommes sur cette belle terre d’Europe, si généreuse pour tous et pour chacun : « ORA BASTA ! » Oui ! Assez maintenant ! ça suffit ! Il faut arrêter le drame de ces hommes et femmes dans le cimetière de la Méditerranée, fuyant la famine, les guerres et autres calamités du fait humain. Les rescapés dont le quotidien devient une véritable peau de chagrin en Europe, chutent avec leur fardeau de soucis sur la tête...», lit-on à la quatrième de couverture.
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