Bernard Dadié a été honoré, mardi, au palais de la culture de Treichville par la nation pour son combat mené contre le colonialisme.
En présence d’un parterre de personnalités, dont le Vice-président, Kablan Duncan, la cérémonie d'hommage au père de la littérature ivoirienne a permis d’immortaliser l’écrivain Bernard Dadié pour avoir contribué fortement à l'émancipation de la culture ivoirienne, africaine et de la diaspora.
Au nom de la famille, le député Yasmina Ouegnin, nièce de Bernard Dadié a salué le précieux héritage qu’il laisse à la culture en général et à la littérature en particulier.
« Je voudrais évoquer ce formidable héritage que tu nous a laissé, à nous tes enfants, les enfants de ce pays, les enfants de ce continent par l'exemplarité même de ta vie. Découragement n'est pas ivoirien. Cette maxime suffirait à décrire ton cheminement », a-t-elle souligné.
Une note lue à cette cérémonie au nom de la directrice des éditions Présence africaine, Yandé Christiane Diop, a retracé le parcours de Bernard Dadié à travers ses œuvres « Un nègre à Paris », « La ville où nul ne meurt », « Monsieur Thôgô-gnini », « Lignes de nos mains », « Les hommes de tous les continents », « Assemien Dehyle » ou encore « Le pagne noir ».
« Malheureusement si piraté, quoiqu'il en soit, tant qu'ils collent aux idéaux de notre ligne éditoriale basée sur l'engagement, l'émancipation, la reconnaissance de la culture africaine et la dignité de l'homme noire, ces ouvrages seront dans la maison », précise la note.
Sur instruction du président de la République en liaison avec la famille de Dadié et les acteurs du monde de la culture, cet hommage national est rendu à l'illustre défunt en raison de son modèle de vie qui symbolise la place majeure qu'il occupe dans le champ des belles lettres pour les jeunes générations.
Décédé le 09 mars à 103 ans, la figure de proue des belles lettres ivoiriennes sera inhumé vendredi au cimetière de Williamsville à Abidjan.
(AlP)
asga/aaa/ask
En présence d’un parterre de personnalités, dont le Vice-président, Kablan Duncan, la cérémonie d'hommage au père de la littérature ivoirienne a permis d’immortaliser l’écrivain Bernard Dadié pour avoir contribué fortement à l'émancipation de la culture ivoirienne, africaine et de la diaspora.
Au nom de la famille, le député Yasmina Ouegnin, nièce de Bernard Dadié a salué le précieux héritage qu’il laisse à la culture en général et à la littérature en particulier.
« Je voudrais évoquer ce formidable héritage que tu nous a laissé, à nous tes enfants, les enfants de ce pays, les enfants de ce continent par l'exemplarité même de ta vie. Découragement n'est pas ivoirien. Cette maxime suffirait à décrire ton cheminement », a-t-elle souligné.
Une note lue à cette cérémonie au nom de la directrice des éditions Présence africaine, Yandé Christiane Diop, a retracé le parcours de Bernard Dadié à travers ses œuvres « Un nègre à Paris », « La ville où nul ne meurt », « Monsieur Thôgô-gnini », « Lignes de nos mains », « Les hommes de tous les continents », « Assemien Dehyle » ou encore « Le pagne noir ».
« Malheureusement si piraté, quoiqu'il en soit, tant qu'ils collent aux idéaux de notre ligne éditoriale basée sur l'engagement, l'émancipation, la reconnaissance de la culture africaine et la dignité de l'homme noire, ces ouvrages seront dans la maison », précise la note.
Sur instruction du président de la République en liaison avec la famille de Dadié et les acteurs du monde de la culture, cet hommage national est rendu à l'illustre défunt en raison de son modèle de vie qui symbolise la place majeure qu'il occupe dans le champ des belles lettres pour les jeunes générations.
Décédé le 09 mars à 103 ans, la figure de proue des belles lettres ivoiriennes sera inhumé vendredi au cimetière de Williamsville à Abidjan.
(AlP)
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