Le chef d’Etat-major général des armées (CEMA), le général de division, Lassina Doumbia, a déclaré, dans une interview publiée dans la presse ce mardi, que la Côte d’Ivoire se dote d’une école de guerre pour s’adapter à l’environnement désormais changeant avec la mondialisation et permettre à ses officiers d’évoluer en responsabilités, au cours de leur carrière en bénéficiant de formation continue.
"Les officiers supérieurs exercent en général dans des Etats-majors ou en administration centrale. Et là, la connaissance du contexte géopolitique et stratégique, la maitrise des méthodes d’analyse, de conception, d’aide à la décision, de rédaction, s’avèrent indispensables. Voilà tout l’intérêt de l’enseignement militaire supérieur", a justifié l’officier général de l’armée ivoirienne.
Selon le CEMA, il s’agit de la nécessité de renforcer les capacités des officiers par les trois niveaux d’enseignement militaire supérieur que sont l’Ecole d’Etat-major, niveau 1, qui est à sa 26ème promotion, l’école de guerre, niveau 2, et l’institut d’études stratégiques et de défense, niveau 3. Cet institut a déjà accueilli une promotion et organisé des sessions internationales de réflexion stratégique dans ses bâtiments déjà achevés, a fait savoir le chef d’Etat-major.
L’école de guerre dont la première pierre a eu lieu vendredi à Zambakro, à 15 km de Yamoussoukro, ouvrira ses portes lors de l’année académique 2019-2020, a annoncé le général de division Lassina Doumbia, ajoutant qu’à terme, l’Ecole des Forces Armées (EFA) sera transformée en académie militaire.
Nommé en décembre 2018 à la tête des forces armées de Côte d’Ivoire en remplacement du général Sékou Touré, le général Lassina Doumbia était le commandant des Forces spéciales.
L’officier général des armées ivoiriennes qui s’est confié pour la première fois à la presse nationale depuis sa nomination, a affirmé "apporter la quiétude aux populations et inspirer la sérénité aux gouvernants pour un développement harmonieux de la Côte d’Ivoire".
(AIP)
kp
"Les officiers supérieurs exercent en général dans des Etats-majors ou en administration centrale. Et là, la connaissance du contexte géopolitique et stratégique, la maitrise des méthodes d’analyse, de conception, d’aide à la décision, de rédaction, s’avèrent indispensables. Voilà tout l’intérêt de l’enseignement militaire supérieur", a justifié l’officier général de l’armée ivoirienne.
Selon le CEMA, il s’agit de la nécessité de renforcer les capacités des officiers par les trois niveaux d’enseignement militaire supérieur que sont l’Ecole d’Etat-major, niveau 1, qui est à sa 26ème promotion, l’école de guerre, niveau 2, et l’institut d’études stratégiques et de défense, niveau 3. Cet institut a déjà accueilli une promotion et organisé des sessions internationales de réflexion stratégique dans ses bâtiments déjà achevés, a fait savoir le chef d’Etat-major.
L’école de guerre dont la première pierre a eu lieu vendredi à Zambakro, à 15 km de Yamoussoukro, ouvrira ses portes lors de l’année académique 2019-2020, a annoncé le général de division Lassina Doumbia, ajoutant qu’à terme, l’Ecole des Forces Armées (EFA) sera transformée en académie militaire.
Nommé en décembre 2018 à la tête des forces armées de Côte d’Ivoire en remplacement du général Sékou Touré, le général Lassina Doumbia était le commandant des Forces spéciales.
L’officier général des armées ivoiriennes qui s’est confié pour la première fois à la presse nationale depuis sa nomination, a affirmé "apporter la quiétude aux populations et inspirer la sérénité aux gouvernants pour un développement harmonieux de la Côte d’Ivoire".
(AIP)
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