Abidjan, La Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, a appelé les Etats à accélérer les réformes du développement du secteur privé et la promotion de l'entrepreneuriat féminin pour réduire de façon significative la pauvreté en Afrique et dans la sous-région, à l’occasion du premier sommet régional sur l’initiative du financement en faveur des femmes entrepreneurs (We-Fi) tenu mercredi à Abidjan.
Selon elle, les récentes statistiques montrent que parmi les femmes qui entreprennent en Afrique subsaharienne, très peu ont accès au financement, aux marchés et aux nouvelles technologies.
Face à ces défis, a estimé Mme Ouattara, il est impératif d’apporter des solutions durables et inclusives, à travers l’accélération des réformes du secteur privé et la promotion de l'entrepreneuriat féminin, pour aider les femmes à avoir accès aux financements, en levant les barrières draconiennes de garanties et de taux d’intérêt prohibitifs pratiqués par le système bancaire et financier.
Elle a également plaidé pour le renforcement des capacités des femmes pour une meilleure performance de leurs activités et une meilleure compétitivité de leurs entreprises sur les marchés, mais aussi les aider à avoir accès aux nouvelles technologies pour permettre une croissance économique de leurs activités et l’amélioration de leurs gains.
En finançant l’activité d’une femme, selon Dominique Ouattara, c’est favoriser son autonomie et améliorer les conditions de vie des familles.
C’est pour cette raison, a-t-elle ajouté, elle a initié avec le soutien de son époux, le président Alassane Ouattara, le fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FACI), un fonds de microcrédits à taux réduit qui permet aux femmes, non éligibles au financement classique, de bénéficier de prêts pour créer ou développer des activités génératrices de revenus.
La Première dame s’exprimait en présence de la Conseillère spéciale du président américain, Ivanka Trump, du vice-président Daniel Kablan Duncan, du président de la commission de la CEDEAO, Jean Claude-Brou, de la directrice générale de la Banque mondiale, Kristalina Georgieva, des présidents de la Banque islamique de développement, Bandar M.H. Hajjar, de la Banque africaine de développement, AkinwumiAyodeji Adesina, des sénateurs du congrès américain et de plusieurs membres du gouvernement ivoirien.
(AIP)
Sdaf/kp
Selon elle, les récentes statistiques montrent que parmi les femmes qui entreprennent en Afrique subsaharienne, très peu ont accès au financement, aux marchés et aux nouvelles technologies.
Face à ces défis, a estimé Mme Ouattara, il est impératif d’apporter des solutions durables et inclusives, à travers l’accélération des réformes du secteur privé et la promotion de l'entrepreneuriat féminin, pour aider les femmes à avoir accès aux financements, en levant les barrières draconiennes de garanties et de taux d’intérêt prohibitifs pratiqués par le système bancaire et financier.
Elle a également plaidé pour le renforcement des capacités des femmes pour une meilleure performance de leurs activités et une meilleure compétitivité de leurs entreprises sur les marchés, mais aussi les aider à avoir accès aux nouvelles technologies pour permettre une croissance économique de leurs activités et l’amélioration de leurs gains.
En finançant l’activité d’une femme, selon Dominique Ouattara, c’est favoriser son autonomie et améliorer les conditions de vie des familles.
C’est pour cette raison, a-t-elle ajouté, elle a initié avec le soutien de son époux, le président Alassane Ouattara, le fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FACI), un fonds de microcrédits à taux réduit qui permet aux femmes, non éligibles au financement classique, de bénéficier de prêts pour créer ou développer des activités génératrices de revenus.
La Première dame s’exprimait en présence de la Conseillère spéciale du président américain, Ivanka Trump, du vice-président Daniel Kablan Duncan, du président de la commission de la CEDEAO, Jean Claude-Brou, de la directrice générale de la Banque mondiale, Kristalina Georgieva, des présidents de la Banque islamique de développement, Bandar M.H. Hajjar, de la Banque africaine de développement, AkinwumiAyodeji Adesina, des sénateurs du congrès américain et de plusieurs membres du gouvernement ivoirien.
(AIP)
Sdaf/kp