Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly a assuré, mercredi à Abidjan, lors de la célébration officielle de la fête du travail « qu'il n'y a pas un seul kilogramme de riz impropre à la consommation (saisie il y a quelques semaines) qui a été mis à la consommation».
Le ministère ivoirien du commerce a procédé le 30 mars dernier à la saisie réelle et à la mise sous scellés, en vue de la destruction d'une cargaison de 18 000 tonnes de riz avarié d'origine birmane déchargée au port d'Abidjan du 11 au 18 mars 2019.
« Concernant le riz avarié, pas plus tard que hier, le ministre d'État (ministre de la défense) a tenu un comité de sécurité à la demande du président de la République pour que nous puissions nous assurer que les destructions se font conformément aux instructions données.
Il s’agit selon lui, de faire en sorte que « nous puissions situer les responsabilités, de telle sorte que de telle situation ne puisse jamais se reproduire en Côte d'Ivoire», a dit M. Coulibaly qui a présidé cette cérémonie officielle de célébration de la fête du travail.
« Soyez assurés qu'il n'y a pas un seul kilo de ce riz avarié qui a été mis à la consommation », a-t-il indiqué aux centrales syndicales de travailleurs qui avaient exprimé auparavant dans des allocutions leurs inquiétudes.
Mercredi dernier, au terme d'un Conseil des ministres à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne, le gouvernement a annoncé que plus de 900 tonnes de ce riz impropre à la consommation, ont été détruites sur les 18 000 tonnes saisies au port d'Abidjan.
La destruction de la cargaison de ces 18 000 tonnes de riz avarié a débuté le 16 avril dernier au centre de valorisation et d'enfouissement technique de Kossihouen à l'ouest d'Abidjan. Selon le chef du gouvernement ivoirien, « rien ne viendra contrarier» la dynamique de progrès impulsé en Côte d'Ivoire depuis 2012.
« Je voudrais enfin vous assurer du total engagement du chef de l'État et de son gouvernement à travailler quotidiennement à la prise en compte de vos légitimes revendications», a-t-il promis.
LB/ls
Le ministère ivoirien du commerce a procédé le 30 mars dernier à la saisie réelle et à la mise sous scellés, en vue de la destruction d'une cargaison de 18 000 tonnes de riz avarié d'origine birmane déchargée au port d'Abidjan du 11 au 18 mars 2019.
« Concernant le riz avarié, pas plus tard que hier, le ministre d'État (ministre de la défense) a tenu un comité de sécurité à la demande du président de la République pour que nous puissions nous assurer que les destructions se font conformément aux instructions données.
Il s’agit selon lui, de faire en sorte que « nous puissions situer les responsabilités, de telle sorte que de telle situation ne puisse jamais se reproduire en Côte d'Ivoire», a dit M. Coulibaly qui a présidé cette cérémonie officielle de célébration de la fête du travail.
« Soyez assurés qu'il n'y a pas un seul kilo de ce riz avarié qui a été mis à la consommation », a-t-il indiqué aux centrales syndicales de travailleurs qui avaient exprimé auparavant dans des allocutions leurs inquiétudes.
Mercredi dernier, au terme d'un Conseil des ministres à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne, le gouvernement a annoncé que plus de 900 tonnes de ce riz impropre à la consommation, ont été détruites sur les 18 000 tonnes saisies au port d'Abidjan.
La destruction de la cargaison de ces 18 000 tonnes de riz avarié a débuté le 16 avril dernier au centre de valorisation et d'enfouissement technique de Kossihouen à l'ouest d'Abidjan. Selon le chef du gouvernement ivoirien, « rien ne viendra contrarier» la dynamique de progrès impulsé en Côte d'Ivoire depuis 2012.
« Je voudrais enfin vous assurer du total engagement du chef de l'État et de son gouvernement à travailler quotidiennement à la prise en compte de vos légitimes revendications», a-t-il promis.
LB/ls