Le Musée des Civilisations d'Abidjan- Plateau a abrité, vendredi, la cérémonie de lancement de la 2è édition des journées du pagne traditionnel ivoirien prévue du 20 au 25 mai autour du thème « Textile et valorisation du pagne ivoirien: enjeux et perspectives pour l'autonomisation des femmes en Côte d'Ivoire ».
A l'initiative de la Fédération ivoirienne des textiles traditionnels (FITT), ces journées, selon Mme Chantal Guiraud, la présidente, « visent à valoriser les produits du textile traditionnel ivoirien en vue d'en faire un puissant levier d'autonomisation » de la femme ivoirienne.
Cette rencontre d'intérêt économique réunira dans un même espace des tisserands des différentes régions de la Côte d'Ivoire et d'autres pays.
Expliquant le thème de l'édition 2019, Mme Guiraud a indiqué que ces journées entendent « montrer que la participation et le maintien des femmes dans ce secteur sont un gage pour son autonomisation car elles sont présentes dans toute la chaîne de valeur ».
« Elles y sont employées comme frileuses, tisserandes, assembleurs de bande, frontières, détentrices de magasins de commercialisation des produits issus du textile », a précisé Mme Guiraud.
Pendant cinq jours, les activités de ces journées se dévoileront en des expositions et ventes, des panels thématiques, des échanges entre créateurs et tisserands, des formations en tissage de pagne traditionnel, en teinture ainsi que des rencontres B To B.
Toutes choses qui ont fait dire à Mme Véronique Bakayoko, Directrice du genre et de l'équité au ministère de l'Education nationale, représentant la marraine de l'édition, Kandia Camara, ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle, que « la culture est ce qu'il y a de noble quand tout est perdu », invitant les organisateurs à « effectivement mettre l'accent sur la formation des femmes artisanes ».
HS/ls/APA
A l'initiative de la Fédération ivoirienne des textiles traditionnels (FITT), ces journées, selon Mme Chantal Guiraud, la présidente, « visent à valoriser les produits du textile traditionnel ivoirien en vue d'en faire un puissant levier d'autonomisation » de la femme ivoirienne.
Cette rencontre d'intérêt économique réunira dans un même espace des tisserands des différentes régions de la Côte d'Ivoire et d'autres pays.
Expliquant le thème de l'édition 2019, Mme Guiraud a indiqué que ces journées entendent « montrer que la participation et le maintien des femmes dans ce secteur sont un gage pour son autonomisation car elles sont présentes dans toute la chaîne de valeur ».
« Elles y sont employées comme frileuses, tisserandes, assembleurs de bande, frontières, détentrices de magasins de commercialisation des produits issus du textile », a précisé Mme Guiraud.
Pendant cinq jours, les activités de ces journées se dévoileront en des expositions et ventes, des panels thématiques, des échanges entre créateurs et tisserands, des formations en tissage de pagne traditionnel, en teinture ainsi que des rencontres B To B.
Toutes choses qui ont fait dire à Mme Véronique Bakayoko, Directrice du genre et de l'équité au ministère de l'Education nationale, représentant la marraine de l'édition, Kandia Camara, ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle, que « la culture est ce qu'il y a de noble quand tout est perdu », invitant les organisateurs à « effectivement mettre l'accent sur la formation des femmes artisanes ».
HS/ls/APA