La lutte contre le chômage des jeunes a toujours été la principale préoccupation du président Alassane Ouattara. Depuis maintenant huit ans, le président de la République et son Gouvernement ne cessent d’engager des réformes et de multiplier des actes pour ramener le taux de chômage des jeunes à des proportions raisonnables. De 2011 à 2018, ce sont au total plusieurs millions d’emplois salariés qui ont été créés pour les jeunes. Depuis 2011, des études montrent que le taux de chômage des jeunes est en baisse.
Avec les grands chantiers initiés par le président Alassane Ouattara depuis son arrivée au pouvoir, le pays est au travail. Des milliers de jeunes Ivoiriens, détenteurs d’une qualification ou d’une spécialisation, sont employés sur les projets infrastructurels (routes, ponts, échangeurs…), d’électrification et d’hydraulique ainsi que dans le secteur de la distribution. Ces grands projets consistant à doter les populations d’infrastructures de base, ont permis à plus d’un million de jeunes d’avoir de l’emploi, comme l’avait promis le chef de l’Etat en 2011. Aujourd’hui, encore, plusieurs milliers de jeunes continuent de bénéficier des retombées de ces projets structurants. Certes, le taux de chômage des jeunes, dans une économie largement dominée par le secteur informel, reste encore élevé. Mais la bonne santé de l’économie ivoirienne avec un taux de croissance autour de 8% favorise cette tendance à la baisse.
Dans le secteur public, le Gouvernement a fait aussi des efforts et continue d’en faire. En ce qui concerne l’éducation nationale notamment, 54 318 personnels enseignants et d’encadrement ont été recrutés sur la période 2011-2018, dont 43 137 enseignants du préscolaire et du primaire, 8 641 enseignants du secondaire et 2 540 personnels d’encadrement. Mieux, cette volonté de réduire de façon significative le chômage des jeunes va s’accentuer, en 2019, dans le cadre du Programme social du Gouvernement. Pour cette année décrétée année du social, le Gouvernement conduit par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly prévoit un recrutement exceptionnel de 10 300 enseignants, dont 5 300 instituteurs adjoints, 3 000 professeurs de collège et 2 000 professeurs de lycée. Evalué à 727,5 milliards de CFA sur deux ans, le programme comporte cinq orientations, avec des mesures phares dans les secteurs clés comme l’éducation, la santé, l’eau potable, l’électricité, l’emploi jeunes et l’autonomisation des femmes. Sur le volet emploi, des initiatives d’entrepreneuriat seront développées pour les jeunes. « Leur insertion durable dans le monde du travail viendra essentiellement des emplois créés par la transformation de nos produits agricoles et des opportunités que constituent les nouvelles technologies », a souligné le chef de l’Etat, lors de son dernier discours à la Nation.
Il est vrai que ces efforts restent encore insuffisants, pour un pays qui a connu plus d’une décennie de crise sociopolitique. Mais, il est indéniable que le Gouvernement est à la tâche au quotidien pour aider la jeunesse de Côte d’Ivoire et la population active à trouver des emplois sûrs et durables. C’est parce que l’argent travaille que les jeunes ont du travail. Faire donc croire que rien n’est fait pour le travail des jeunes, relève de la pure démagogie et du populisme pour chercher à s’attirer les faveurs des populations. En dépit de l’immensité de la tâche, due en grande partie aux années de crise, à la trop grande présence et influence du secteur informel sur l’économie ivoirienne ainsi qu’au sous-emploi qui en est le principal pendant, ce sont plusieurs centaines de milliers de jeunes qui ont vu leur condition sociale changée ces dernières années. Sous Ouattara, jamais un Gouvernement n’a autant œuvré pour trouver un avenir sûr à la jeunesse. Comme pour démontrer toute sa préoccupation pour la question, le président de la République a créé un ministère spécialement chargé de veiller à l’emploi des jeunes et à leur promotion et dirigé par le jeune et dynamique ministre Mamadou Touré. Mieux, une agence chargée de l’emploi des jeunes a même été créée pour appuyer les autres structures existantes telles que l’AGEPE et l’AGEFOP, pour ne citer que ces deux organismes. Sous Ouattara, l’agent travaille pour le bonheur de tous, surtout pour les jeunes pour qui cet argent crée des emplois. Ne pas le reconnaitre est vraiment faire preuve de mauvaise foi.
Jean-Claude Coulibaly
Avec les grands chantiers initiés par le président Alassane Ouattara depuis son arrivée au pouvoir, le pays est au travail. Des milliers de jeunes Ivoiriens, détenteurs d’une qualification ou d’une spécialisation, sont employés sur les projets infrastructurels (routes, ponts, échangeurs…), d’électrification et d’hydraulique ainsi que dans le secteur de la distribution. Ces grands projets consistant à doter les populations d’infrastructures de base, ont permis à plus d’un million de jeunes d’avoir de l’emploi, comme l’avait promis le chef de l’Etat en 2011. Aujourd’hui, encore, plusieurs milliers de jeunes continuent de bénéficier des retombées de ces projets structurants. Certes, le taux de chômage des jeunes, dans une économie largement dominée par le secteur informel, reste encore élevé. Mais la bonne santé de l’économie ivoirienne avec un taux de croissance autour de 8% favorise cette tendance à la baisse.
Dans le secteur public, le Gouvernement a fait aussi des efforts et continue d’en faire. En ce qui concerne l’éducation nationale notamment, 54 318 personnels enseignants et d’encadrement ont été recrutés sur la période 2011-2018, dont 43 137 enseignants du préscolaire et du primaire, 8 641 enseignants du secondaire et 2 540 personnels d’encadrement. Mieux, cette volonté de réduire de façon significative le chômage des jeunes va s’accentuer, en 2019, dans le cadre du Programme social du Gouvernement. Pour cette année décrétée année du social, le Gouvernement conduit par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly prévoit un recrutement exceptionnel de 10 300 enseignants, dont 5 300 instituteurs adjoints, 3 000 professeurs de collège et 2 000 professeurs de lycée. Evalué à 727,5 milliards de CFA sur deux ans, le programme comporte cinq orientations, avec des mesures phares dans les secteurs clés comme l’éducation, la santé, l’eau potable, l’électricité, l’emploi jeunes et l’autonomisation des femmes. Sur le volet emploi, des initiatives d’entrepreneuriat seront développées pour les jeunes. « Leur insertion durable dans le monde du travail viendra essentiellement des emplois créés par la transformation de nos produits agricoles et des opportunités que constituent les nouvelles technologies », a souligné le chef de l’Etat, lors de son dernier discours à la Nation.
Il est vrai que ces efforts restent encore insuffisants, pour un pays qui a connu plus d’une décennie de crise sociopolitique. Mais, il est indéniable que le Gouvernement est à la tâche au quotidien pour aider la jeunesse de Côte d’Ivoire et la population active à trouver des emplois sûrs et durables. C’est parce que l’argent travaille que les jeunes ont du travail. Faire donc croire que rien n’est fait pour le travail des jeunes, relève de la pure démagogie et du populisme pour chercher à s’attirer les faveurs des populations. En dépit de l’immensité de la tâche, due en grande partie aux années de crise, à la trop grande présence et influence du secteur informel sur l’économie ivoirienne ainsi qu’au sous-emploi qui en est le principal pendant, ce sont plusieurs centaines de milliers de jeunes qui ont vu leur condition sociale changée ces dernières années. Sous Ouattara, jamais un Gouvernement n’a autant œuvré pour trouver un avenir sûr à la jeunesse. Comme pour démontrer toute sa préoccupation pour la question, le président de la République a créé un ministère spécialement chargé de veiller à l’emploi des jeunes et à leur promotion et dirigé par le jeune et dynamique ministre Mamadou Touré. Mieux, une agence chargée de l’emploi des jeunes a même été créée pour appuyer les autres structures existantes telles que l’AGEPE et l’AGEFOP, pour ne citer que ces deux organismes. Sous Ouattara, l’agent travaille pour le bonheur de tous, surtout pour les jeunes pour qui cet argent crée des emplois. Ne pas le reconnaitre est vraiment faire preuve de mauvaise foi.
Jean-Claude Coulibaly