Les attaques répétées depuis le premier trimestre 2015 dont Ouagadougou, la capitale, a été frappée à trois reprises et ses corollaires, témoignent sans doute d’une insécurité grandissante dans cette partie de la Sous-région. Pour amener les autorités burkinabés à prendre ses responsabilités, la coalition nationale des résistants burkinabé en Côte d’Ivoire ( CONAREB -CI) dirigé par Dominique Gnissi a animé une conférence de presse ce samedi 1er juin 2019 à Abidjan-Cocody.
"Face à la situation sociopolitique du Burkina Faso, je lance un appel à la résistance" a déclaré le conférencier. Selon lui, cet appel est dû à la passivité du gouvernement Roch Kaboré qui " ne fait rien pour freiner l’attitude atroce des jihadistes sur les populations burkinabés " dit-il. Selon lui, le territoire burkinabé se rétrécit en raison de l’occupation jihadistes et surtout la désertion de grandes parties du territoire national de toute présence de l’Etat. " Aujourd’hui plusieurs écoles sont fermées dans le nord et le nord-ouest du pays occasionnant, la non-scolarisation de nombre d’enfants depuis près de 2 ans" a mentionné Dominique Gnissi.
Pour le coordonnateur, fédéral de la CONAREB -CI, le Faso a besoin de tous ses fils et toutes ses filles pour la reconstruction et le retour de la paix du pays. C’est pourquoi, il a demandé au président actuel, Roch Kaboré de tendre la main à son ainé, Blaise Compaoré, ancien président résident à Abidjan (Côte d’Ivoire).
Pour lui, une réconciliation s’impose et Blaise Compaoré en est un maillon essentiel. " le retour sécurisé au Faso de l’ex-président Blaise Compaoré est une urgence publique " a suggéré Dominique Gnissi.
Abordant la question des élections présidentielles, il a souhaité un report des élections, car pour lui, la situation d’insécurité qui prévaut dans le pays ne peut pas permettre des élections crédibles.
Cyprien K.
"Face à la situation sociopolitique du Burkina Faso, je lance un appel à la résistance" a déclaré le conférencier. Selon lui, cet appel est dû à la passivité du gouvernement Roch Kaboré qui " ne fait rien pour freiner l’attitude atroce des jihadistes sur les populations burkinabés " dit-il. Selon lui, le territoire burkinabé se rétrécit en raison de l’occupation jihadistes et surtout la désertion de grandes parties du territoire national de toute présence de l’Etat. " Aujourd’hui plusieurs écoles sont fermées dans le nord et le nord-ouest du pays occasionnant, la non-scolarisation de nombre d’enfants depuis près de 2 ans" a mentionné Dominique Gnissi.
Pour le coordonnateur, fédéral de la CONAREB -CI, le Faso a besoin de tous ses fils et toutes ses filles pour la reconstruction et le retour de la paix du pays. C’est pourquoi, il a demandé au président actuel, Roch Kaboré de tendre la main à son ainé, Blaise Compaoré, ancien président résident à Abidjan (Côte d’Ivoire).
Pour lui, une réconciliation s’impose et Blaise Compaoré en est un maillon essentiel. " le retour sécurisé au Faso de l’ex-président Blaise Compaoré est une urgence publique " a suggéré Dominique Gnissi.
Abordant la question des élections présidentielles, il a souhaité un report des élections, car pour lui, la situation d’insécurité qui prévaut dans le pays ne peut pas permettre des élections crédibles.
Cyprien K.