Les 15 et 16 mai dernier, la ville de Béoumi, à 60 km à l’ouest de Bouaké, était le théâtre d’affrontements meurtriers entre jeunes baoulés et malinkés qui ont fait au moins 14 morts et près d’une centaine de blessés, selon le dernier bilan. Les violences intercommunautaires ne sont pas rares en Côte d’Ivoire mais elles atteignent rarement une telle ampleur. À Béoumi, en tout cas, depuis la mi-mai, un fossé s’est creusé entre les deux communautés que leurs leaders tentent désormais de rapprocher.
Les violences meurtrières de la mi-mai auront amené les autorités coutumières et religieuses de Béoumi à un constat : les chefs de ces communautés ne se parlaient plus assez, voire pas du tout, laissant s’accumuler de part et d’autre frustrations et... suite de l'article sur RFI
Les violences meurtrières de la mi-mai auront amené les autorités coutumières et religieuses de Béoumi à un constat : les chefs de ces communautés ne se parlaient plus assez, voire pas du tout, laissant s’accumuler de part et d’autre frustrations et... suite de l'article sur RFI