Abidjan - La femme est le centre de la société traditionnelle baoulé en tant que génitrice qui symbolise « la renaissance et la survie », selon la journaliste Marthe Bénédicte Kra.
« Elle matérialise la douceur, la compréhension, la réflexion. Conseillère, discrète et effacée en public au profit de l'homme, la femme Baoulé demeure l'âme et le pilier de son couple. Véritable cordon bleu dans l'âme, elle sait s'adapter aux cultures gastronomiques d'ici et d'ailleurs, ce qui lui vaut le Prix Nobel de la restauration en Côte d'Ivoire », soutient-elle dans un article consulté, mercredi, par l’AIP.
La succession au trône royal en pays Baoulé, désormais ouverte aux femmes, « est bel et bien une manifestation éclatante de l'égalité entre l'homme et la femme au sein la communauté », argumente-t-elle.
Pour elle, la femme Baoulé incarne, en tous points, « la beauté africaine », à l’instar de la toute nouvelle ambassadrice du canon de beauté, Tara Gueye, élue, samedi, miss Côte d’Ivoire 2019, aux sangs Sénégalais, Adjoukrou et Baoulé.
aaa/fmo
« Elle matérialise la douceur, la compréhension, la réflexion. Conseillère, discrète et effacée en public au profit de l'homme, la femme Baoulé demeure l'âme et le pilier de son couple. Véritable cordon bleu dans l'âme, elle sait s'adapter aux cultures gastronomiques d'ici et d'ailleurs, ce qui lui vaut le Prix Nobel de la restauration en Côte d'Ivoire », soutient-elle dans un article consulté, mercredi, par l’AIP.
La succession au trône royal en pays Baoulé, désormais ouverte aux femmes, « est bel et bien une manifestation éclatante de l'égalité entre l'homme et la femme au sein la communauté », argumente-t-elle.
Pour elle, la femme Baoulé incarne, en tous points, « la beauté africaine », à l’instar de la toute nouvelle ambassadrice du canon de beauté, Tara Gueye, élue, samedi, miss Côte d’Ivoire 2019, aux sangs Sénégalais, Adjoukrou et Baoulé.
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