Kossonou Kobenan Honoré, cadre du Gontougo a prôné la tolérance culturelle entre les populations de la région, lors de l’intronisation, samedi, du nouveau chef du village de Gohondo, localité à 53 km de Bondoukou (Nord-est).
« Il faut que nous ayons une tolérance culturelle. Il faut que nous nous aimions les uns, les autres. Il faut que nous soyons solidaires », a lancé M. Kossonou, en présence de la chefferie traditionnelle locale, présente à la cérémonie d’investiture dont il était le président.
Selon M. Kossonou, par ailleurs coordonnateur du grand conseil du parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), de la région du Gontougo, seuls l’amour et la solidarité peuvent favoriser le développement de la région.
Il a invité, par la même occasion, le chef suprême des Koulango du Gontougo, Dabgolo Saye 1er à maintenir l’unité dans son royaume en prônant la tolérance culturelle. Il a exhorté la population à ne pas faire de différence entre les ethnies existant au sein de la région.
« Nous sommes tous des frères réunis sur une même terre, nous avons un destin commun. Essayons de communier simplement à l’émergence de notre région et faire en sorte que notre région soit au diapason des normes nationales », a-t-il conseillé.
(AIP)
zaar/kam
« Il faut que nous ayons une tolérance culturelle. Il faut que nous nous aimions les uns, les autres. Il faut que nous soyons solidaires », a lancé M. Kossonou, en présence de la chefferie traditionnelle locale, présente à la cérémonie d’investiture dont il était le président.
Selon M. Kossonou, par ailleurs coordonnateur du grand conseil du parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), de la région du Gontougo, seuls l’amour et la solidarité peuvent favoriser le développement de la région.
Il a invité, par la même occasion, le chef suprême des Koulango du Gontougo, Dabgolo Saye 1er à maintenir l’unité dans son royaume en prônant la tolérance culturelle. Il a exhorté la population à ne pas faire de différence entre les ethnies existant au sein de la région.
« Nous sommes tous des frères réunis sur une même terre, nous avons un destin commun. Essayons de communier simplement à l’émergence de notre région et faire en sorte que notre région soit au diapason des normes nationales », a-t-il conseillé.
(AIP)
zaar/kam
