Katiola, Un homme d’une trentaine d’année, a été condamné à huit ans de prison ferme par le tribunal de Katiola pour attentat à la pudeur avec violence sur mineure de moins de 15 ans.
Les faits remontent au 27 mai dernier. Ce jour-là, aux environs de 17 heures, selon des sources concordantes, Sidibé Brahman aurait entraîné avec lui la gamine de six ans dans la broussaille derrière la cité des instituteurs de l'EPP Kanakaha, (un quartier de Tafiré).
Celui-ci intimait l'ordre à sa victime de le suivre lorsqu'il aurait été aperçu par une femme qui passait par là. Aussitôt la dame aurait alerté les riverains en criant "au violeur ! Au violeur ! Au secours !".
Alors, un instituteur de ladite école serait intervenu et aurait mobilisé un groupe de volontaires qui après une battue, aurait appréhendé le présumé violeur. Conduit à la brigade de gendarmerie de la ville, l'homme aurait avoué son forfait arguant qu'il avait une envie " irrésistible " de satisfaire sa libido alors qu'il n'était pas en possession de 1500f CFA exigés par les filles de joie de Tafiré pour leurs prestations.
Mais à l'audience correctionnelle du mercredi 6 juin, le mis en cause des faits d'enlèvement et de tentative de viol, a rejeté ses déclarations retenues à la brigade de gendarmerie. A la barre, Sidibé Brahman tentait de se blanchir avec des propos incohérents qui ont conduit le procureur à requalifier les chefs d'accusation.
Il a reconsidéré les faits en les qualifiant d'attentat à la pudeur avec violence sur une mineure de moins de 15 ans. Le procureur a été suivi par le juge président qui a infligé au prévenu, une condamnation de huit ans d'emprisonnement fermes assorti d'un million de nos francs.
(AIP)
dg/kkf/ask
Les faits remontent au 27 mai dernier. Ce jour-là, aux environs de 17 heures, selon des sources concordantes, Sidibé Brahman aurait entraîné avec lui la gamine de six ans dans la broussaille derrière la cité des instituteurs de l'EPP Kanakaha, (un quartier de Tafiré).
Celui-ci intimait l'ordre à sa victime de le suivre lorsqu'il aurait été aperçu par une femme qui passait par là. Aussitôt la dame aurait alerté les riverains en criant "au violeur ! Au violeur ! Au secours !".
Alors, un instituteur de ladite école serait intervenu et aurait mobilisé un groupe de volontaires qui après une battue, aurait appréhendé le présumé violeur. Conduit à la brigade de gendarmerie de la ville, l'homme aurait avoué son forfait arguant qu'il avait une envie " irrésistible " de satisfaire sa libido alors qu'il n'était pas en possession de 1500f CFA exigés par les filles de joie de Tafiré pour leurs prestations.
Mais à l'audience correctionnelle du mercredi 6 juin, le mis en cause des faits d'enlèvement et de tentative de viol, a rejeté ses déclarations retenues à la brigade de gendarmerie. A la barre, Sidibé Brahman tentait de se blanchir avec des propos incohérents qui ont conduit le procureur à requalifier les chefs d'accusation.
Il a reconsidéré les faits en les qualifiant d'attentat à la pudeur avec violence sur une mineure de moins de 15 ans. Le procureur a été suivi par le juge président qui a infligé au prévenu, une condamnation de huit ans d'emprisonnement fermes assorti d'un million de nos francs.
(AIP)
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