Abidjan, Le vice-président de la République, Daniel Kablan Duncan, a relevé à Genève les avancées dans le domaine du travail en Côte d’Ivoire, à la 108ème session de la Conférence internationale du travail (CIT), une tribune de l’Organisation internationale du travail (OIT) qui se tient du 10 au 21 juin.
Représentant le chef de l’Etat ivoirien à cette session, le vice-président Duncan a indiqué que d’énormes avancées ont été réalisées en Côte d’Ivoire grâce à l’appui de partenaires techniques et financiers dont l’OIT. Il s’agit, entre autres, de l’affirmation de la liberté syndicale pour les travailleurs, du maintien du dialogue avec tous les acteurs sociaux et de l’amélioration continue de l’environnement des affaires pour les investisseurs.
Daniel Kablan Duncan a également cité au nombre des avancées, le doublement du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), la mise en place des dispositifs spécifiques pour traiter les questions de l’accessibilité des jeunes à l’emploi et à l’entreprenariat, des programmes d’autonomisation des femmes par la réalisation d’activités génératrices de revenus.
En guise de perspectives, relève le communiqué parvenu mercredi à l’AIP, le vice-président ivoirien a proposé que, "dans un monde en évolution de plus en plus rapide", l’OIT préconise l’apprentissage et le perfectionnement des compétences tout au long de la vie comme moyen pour assurer la durabilité des emplois et le multilatéralisme comme meilleur cadre pour la gestion des conflits liés aux défis actuels et futurs.
La Conférence internationale du travail, organe décisionnel de l’OIT, réunit chaque année des représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs des 187 Etats membres, afin d’élaborer des réponses aux enjeux majeurs du monde du travail. Cette session 2019 a pour but d’orienter l’action de l’organisation au cours de son deuxième siècle d’existence.
C’est en 1960 que la Côte d’Ivoire a signé son adhésion à l’OIT qui s’avère être la première institution spécialisée du système des Nations Unies fondée en avril 1919.
(AIP)
Bsp/kp
Représentant le chef de l’Etat ivoirien à cette session, le vice-président Duncan a indiqué que d’énormes avancées ont été réalisées en Côte d’Ivoire grâce à l’appui de partenaires techniques et financiers dont l’OIT. Il s’agit, entre autres, de l’affirmation de la liberté syndicale pour les travailleurs, du maintien du dialogue avec tous les acteurs sociaux et de l’amélioration continue de l’environnement des affaires pour les investisseurs.
Daniel Kablan Duncan a également cité au nombre des avancées, le doublement du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), la mise en place des dispositifs spécifiques pour traiter les questions de l’accessibilité des jeunes à l’emploi et à l’entreprenariat, des programmes d’autonomisation des femmes par la réalisation d’activités génératrices de revenus.
En guise de perspectives, relève le communiqué parvenu mercredi à l’AIP, le vice-président ivoirien a proposé que, "dans un monde en évolution de plus en plus rapide", l’OIT préconise l’apprentissage et le perfectionnement des compétences tout au long de la vie comme moyen pour assurer la durabilité des emplois et le multilatéralisme comme meilleur cadre pour la gestion des conflits liés aux défis actuels et futurs.
La Conférence internationale du travail, organe décisionnel de l’OIT, réunit chaque année des représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs des 187 Etats membres, afin d’élaborer des réponses aux enjeux majeurs du monde du travail. Cette session 2019 a pour but d’orienter l’action de l’organisation au cours de son deuxième siècle d’existence.
C’est en 1960 que la Côte d’Ivoire a signé son adhésion à l’OIT qui s’avère être la première institution spécialisée du système des Nations Unies fondée en avril 1919.
(AIP)
Bsp/kp