La POECI, depuis sa création, est fortement impliquée dans les processus électoraux à travers ses activités d’observation de toutes les étapes desdits processus et de la réforme électorale.
C’est dans ce cadre qu’elle a organisé, en février 2019, un atelier de réflexion sur la réforme électorale en partenariat avec d’autres organisations de la société civile. A la fin de cet atelier, un manifeste contenant leurs propositions communes a été élaboré et remis au Premier Ministre et au Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité.
Conscient de la nécessité de préserver le climat social et d’aboutir à un processus électoral inclusif et participatif en 2020 où toutes les représentations politiques seront présentes, la POECI a organisé le 13 juin 2019, une table ronde d’échange sur la réforme électorale. Cette table ronde a vu la participation des organisations de la société civile impliquées dans la réforme électorale et les partis politiques issus de l’opposition et de la coalition au pouvoir.
Le but était d’échanger sur la réforme électorale entreprise par le Gouvernement en confrontant les positions des partis politiques et celles de la société civile sur la réforme électorale et faire ressortir les points de convergence et de divergence.
Au cours de cette table ronde, les OSC et les partis politiques ont présentés leurs différentes propositions. Sur la base de ces propositions, les échanges qui ont suivi se sont articulés autour de trois points suivants : l’environnement électoral ; les caractéristiques de la nouvelle commission électorale ; la composition de la nouvelle commission électorale.
Il est à enregistrer au nombre des points de convergence, l’institutionnalisation de la commission chargée des élections, la rendre responsable devant le parlement à qui elle présentera son bilan à la fin de chaque processus, la doter d’une autonomie financière. Evoquant les points de divergence, ils portent essentiellement sur la composition de la nouvelle commission. Si pour la majorité il faut une commission centrale de 13 membres, pour certains (en minorité) il faut une commission de 15 membres.
Les OSC et les partis politiques ont convenu de la nécessité de poursuivre le plaidoyer auprès du Gouvernement afin d’avoir une commission électorale inclusive tenant compte des aspirations de tous pour des processus électoraux apaisées, transparents et crédibles.
Par ailleurs, il convient de rappeler que le contexte historique de la réforme a été présenté par Eric SEMIEN, président de l’Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme (OIDH), qui a présenté une conférence inaugurale sur l’arrêt de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. Etaient absents le PDCI, le RHDP et l’ESD.
POECI
C’est dans ce cadre qu’elle a organisé, en février 2019, un atelier de réflexion sur la réforme électorale en partenariat avec d’autres organisations de la société civile. A la fin de cet atelier, un manifeste contenant leurs propositions communes a été élaboré et remis au Premier Ministre et au Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité.
Conscient de la nécessité de préserver le climat social et d’aboutir à un processus électoral inclusif et participatif en 2020 où toutes les représentations politiques seront présentes, la POECI a organisé le 13 juin 2019, une table ronde d’échange sur la réforme électorale. Cette table ronde a vu la participation des organisations de la société civile impliquées dans la réforme électorale et les partis politiques issus de l’opposition et de la coalition au pouvoir.
Le but était d’échanger sur la réforme électorale entreprise par le Gouvernement en confrontant les positions des partis politiques et celles de la société civile sur la réforme électorale et faire ressortir les points de convergence et de divergence.
Au cours de cette table ronde, les OSC et les partis politiques ont présentés leurs différentes propositions. Sur la base de ces propositions, les échanges qui ont suivi se sont articulés autour de trois points suivants : l’environnement électoral ; les caractéristiques de la nouvelle commission électorale ; la composition de la nouvelle commission électorale.
Il est à enregistrer au nombre des points de convergence, l’institutionnalisation de la commission chargée des élections, la rendre responsable devant le parlement à qui elle présentera son bilan à la fin de chaque processus, la doter d’une autonomie financière. Evoquant les points de divergence, ils portent essentiellement sur la composition de la nouvelle commission. Si pour la majorité il faut une commission centrale de 13 membres, pour certains (en minorité) il faut une commission de 15 membres.
Les OSC et les partis politiques ont convenu de la nécessité de poursuivre le plaidoyer auprès du Gouvernement afin d’avoir une commission électorale inclusive tenant compte des aspirations de tous pour des processus électoraux apaisées, transparents et crédibles.
Par ailleurs, il convient de rappeler que le contexte historique de la réforme a été présenté par Eric SEMIEN, président de l’Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme (OIDH), qui a présenté une conférence inaugurale sur l’arrêt de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. Etaient absents le PDCI, le RHDP et l’ESD.
POECI