Abidjan, Le gouvernement entend poursuivre ses efforts pour assurer à tous ses enfants les meilleures conditions de développement et d’épanouissement, à travers une éducation de qualité, un accès équitable aux soins de santé, et l’élimination de toutes les formes de discrimination, a signifié le ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Bakayoko-Ly Ramata, dans sa déclaration pour la Journée de l’enfant Africain.
« La Côte d’Ivoire s’est engagée, en tant que pionnière, dans l’Alliance Mondiale dont l’ambition est de mettre fin aux violences faites aux enfants. Cette commémoration est une opportunité pour chaque État africain, de marquer un arrêt afin de faire le point de la situation des droits des enfants, à l’effet d’assurer davantage leur mieux-être », a exprimé Pr Bakayoko.
La Côte d’Ivoire a souscrit aux instruments juridiques internationaux de protection de l’enfant, notamment la Charte Africaine des Droits et du Bien-être des Enfants (CADBE) et la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE).
« A travers des mesures législative et institutionnelle, notre pays affirme sa ferme volonté de créer un environnement juridique et social propice au respect des droits élémentaires des enfants principalement les droits à la vie, à la santé, à l’éducation, à la protection», a-t-elle ajouté.
Malgré cette volonté affichée de promouvoir et de préserver les droits des enfants, ceux-ci sont encore confrontés à de multiples formes de violences qui constituent des vulnérabilités permanentes au nombre desquelles la migration irrégulière.
La 29ème édition de la Journée de l’Enfant Africain sera célébrée autour du thème « Luttons contre la migration à risques des enfants afin de garantir leurs droits ».
« J’en appelle à une synergie d’actions des acteurs de la société, des partenaires au développement et des hommes de bonne volonté en vue de trouver des solutions durables à l’épineux problème de la migration à risques des mineurs », a-t-elle indiqué.
Divers activités seront organisées sur toute l’étendue du territoire national, en vue de sensibiliser les familles et les communautés non seulement sur les risques de la migration clandestine mais aussi sur leur responsabilité pour préserver la vie de leurs enfants et les efforts qu’elles doivent consentir pour apporter une réponse viable à cette question sociétale.
Selon les données de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), entre mai 2017 et juin 2018, sur 5.136 migrants de retour enregistrés et profilés, on compte 75% d’hommes et 25% de femmes avec 100 mineurs non accompagnés dont l’âge varie entre 05 et 18 ans.
(AIP)
ena/tm
« La Côte d’Ivoire s’est engagée, en tant que pionnière, dans l’Alliance Mondiale dont l’ambition est de mettre fin aux violences faites aux enfants. Cette commémoration est une opportunité pour chaque État africain, de marquer un arrêt afin de faire le point de la situation des droits des enfants, à l’effet d’assurer davantage leur mieux-être », a exprimé Pr Bakayoko.
La Côte d’Ivoire a souscrit aux instruments juridiques internationaux de protection de l’enfant, notamment la Charte Africaine des Droits et du Bien-être des Enfants (CADBE) et la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE).
« A travers des mesures législative et institutionnelle, notre pays affirme sa ferme volonté de créer un environnement juridique et social propice au respect des droits élémentaires des enfants principalement les droits à la vie, à la santé, à l’éducation, à la protection», a-t-elle ajouté.
Malgré cette volonté affichée de promouvoir et de préserver les droits des enfants, ceux-ci sont encore confrontés à de multiples formes de violences qui constituent des vulnérabilités permanentes au nombre desquelles la migration irrégulière.
La 29ème édition de la Journée de l’Enfant Africain sera célébrée autour du thème « Luttons contre la migration à risques des enfants afin de garantir leurs droits ».
« J’en appelle à une synergie d’actions des acteurs de la société, des partenaires au développement et des hommes de bonne volonté en vue de trouver des solutions durables à l’épineux problème de la migration à risques des mineurs », a-t-elle indiqué.
Divers activités seront organisées sur toute l’étendue du territoire national, en vue de sensibiliser les familles et les communautés non seulement sur les risques de la migration clandestine mais aussi sur leur responsabilité pour préserver la vie de leurs enfants et les efforts qu’elles doivent consentir pour apporter une réponse viable à cette question sociétale.
Selon les données de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), entre mai 2017 et juin 2018, sur 5.136 migrants de retour enregistrés et profilés, on compte 75% d’hommes et 25% de femmes avec 100 mineurs non accompagnés dont l’âge varie entre 05 et 18 ans.
(AIP)
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