Abidjan - Les activités liées au projet d’Investissement pour la Résilience des zones côtières ouest-africaines (WACA-ResiP) ont démarré par un atelier de sensibilisation dirigé vers les localités concernées de Grand-Lahou, Lahou-Kpanda, Braffedon, Groguida et Likpilassié.
L’objectif de cet atelier présidé par le directeur de cabinet du ministre de l’Environnement et du Développement durable François Kouablan était de permettre une bonne compréhension du projet, susciter l’adhésion des parties prenantes au niveau local et créer de ce fait, les conditions favorables pour une résilience des populations locales.
« Je voudrais vous inviter à vous tenir à la disposition des acteurs qui viendront sur le terrain en leur fournissant les informations nécessaires, afin de trouver les meilleures solutions pour vous. », a conseillé M. Kouablan, exhortant les populations des localités cibles du projet à s’impliquer dans la réalisation des activités du projet WACA.
Selon une note d’information transmise, jeudi, à l’AIP, 150 personnes au total ont participé aux travaux qui ont permis de présenter le projet et le rôle des parties prenantes, d’échanger sur leurs attentes et recueillir leurs propositions de solutions face aux impacts de l’érosion côtière.
Lancé en 2018 à Abidjan, le projet WACA a choisi la zone de Grand-Lahou comme zone pilote en raison de l’accélération des impacts de l’érosion côtière. Précisément dans le village des pêcheurs de Lahou-Kpanda ou le village lui-même, le cimetière de Lahou Kpanda et bien d’autres infrastructures de certaines localités de la zone côtière de Grand Lahou subissent d’importants dommages causés par la mer.
« Lahou-Kpanda est menacé de disparition. Le village des pêcheurs est en train de faire place à la mer, notre cimetière est en train de disparaître sous la pression marine, nous ne trouvons plus assez de poisson. Nous sommes donc très heureux que le projet WACA démarre pour nous aider à trouver des solutions contre l’avancée de la mer », a expliqué le chef du village de Lahou Kpandalors de cette assise qui a eu lieu le mardi, 11 juin 2019.
Selon les experts, chaque année, le trait des côtes recule de 1 à 3 mètres. Ce qui entraîne des pertes post captures hautement élevées par la l’accroissement de la production halieutique passée drastiquement de 283,482 kg en 2013 à 173,145 kg en 2019.
bsb/ask
L’objectif de cet atelier présidé par le directeur de cabinet du ministre de l’Environnement et du Développement durable François Kouablan était de permettre une bonne compréhension du projet, susciter l’adhésion des parties prenantes au niveau local et créer de ce fait, les conditions favorables pour une résilience des populations locales.
« Je voudrais vous inviter à vous tenir à la disposition des acteurs qui viendront sur le terrain en leur fournissant les informations nécessaires, afin de trouver les meilleures solutions pour vous. », a conseillé M. Kouablan, exhortant les populations des localités cibles du projet à s’impliquer dans la réalisation des activités du projet WACA.
Selon une note d’information transmise, jeudi, à l’AIP, 150 personnes au total ont participé aux travaux qui ont permis de présenter le projet et le rôle des parties prenantes, d’échanger sur leurs attentes et recueillir leurs propositions de solutions face aux impacts de l’érosion côtière.
Lancé en 2018 à Abidjan, le projet WACA a choisi la zone de Grand-Lahou comme zone pilote en raison de l’accélération des impacts de l’érosion côtière. Précisément dans le village des pêcheurs de Lahou-Kpanda ou le village lui-même, le cimetière de Lahou Kpanda et bien d’autres infrastructures de certaines localités de la zone côtière de Grand Lahou subissent d’importants dommages causés par la mer.
« Lahou-Kpanda est menacé de disparition. Le village des pêcheurs est en train de faire place à la mer, notre cimetière est en train de disparaître sous la pression marine, nous ne trouvons plus assez de poisson. Nous sommes donc très heureux que le projet WACA démarre pour nous aider à trouver des solutions contre l’avancée de la mer », a expliqué le chef du village de Lahou Kpandalors de cette assise qui a eu lieu le mardi, 11 juin 2019.
Selon les experts, chaque année, le trait des côtes recule de 1 à 3 mètres. Ce qui entraîne des pertes post captures hautement élevées par la l’accroissement de la production halieutique passée drastiquement de 283,482 kg en 2013 à 173,145 kg en 2019.
bsb/ask