Abidjan - L’auteur du roman, « Les fleurs du plaisir », Benedicto Barboza, à l’état civil Blé Bénédict, a présenté au grand public son ouvrage, dans le cadre de la tribune littéraire, « A lire et à boire », de Flora Niagne.
L’auteur a affirmé, vendredi, à Abidjan, avoir été fortement influencé par le célèbre poète français, Charles Baudelaire, auteur du classique « Les fleurs du mal ». Selon lui, cet ouvrage de 68 pages dont 48 poèmes célèbre l’érotisme et non la « barbarie ».
Benedicto Barboza a expliqué que, dans son œuvre, le lecteur est emporté dans une sorte « de rêve », qu’il présente comme le véritable amour, « l’amour réel et vrai ». Selon lui, l’érotisme met de côté le mal et fait la promotion du plaisir qui est son arme, contrairement à la pornographie, qui est « la brutalité dans toutes ses formes ».
Il a expliqué que l’amour se perçoit et se ressent particulièrement dans les dernières pages de l’ouvrage, notamment dans le chapitre « Faisons l’amour ».
Administrateur des services financiers à la direction générale du trésor et de la comptabilité publique (DGTCP), Benecicto Barboza réalise à travers cette œuvre, une passion qu’il a depuis ses années collèges.
(gak/fmo
L’auteur a affirmé, vendredi, à Abidjan, avoir été fortement influencé par le célèbre poète français, Charles Baudelaire, auteur du classique « Les fleurs du mal ». Selon lui, cet ouvrage de 68 pages dont 48 poèmes célèbre l’érotisme et non la « barbarie ».
Benedicto Barboza a expliqué que, dans son œuvre, le lecteur est emporté dans une sorte « de rêve », qu’il présente comme le véritable amour, « l’amour réel et vrai ». Selon lui, l’érotisme met de côté le mal et fait la promotion du plaisir qui est son arme, contrairement à la pornographie, qui est « la brutalité dans toutes ses formes ».
Il a expliqué que l’amour se perçoit et se ressent particulièrement dans les dernières pages de l’ouvrage, notamment dans le chapitre « Faisons l’amour ».
Administrateur des services financiers à la direction générale du trésor et de la comptabilité publique (DGTCP), Benecicto Barboza réalise à travers cette œuvre, une passion qu’il a depuis ses années collèges.
(gak/fmo