La Chambre préliminaire de la Cour pénale internationale (Cpi) a déposé ce mardi 16 juillet 2019, les motifs complets de la décision d’acquittement de l’ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, et de son dernier ministre de la Jeunesse, Charles Blé Goudé. L’information est livrée, ce jour même, dans une vidéo du sercice de communication de la Cpi, qui rappelle la décision rendue, il y a 7 mois, le 15 janvier 2019, en faveur de ces ex-dirigeants ivoiriens par le Juge-président de la Chambre, Cuno Tarfusser.
Le magistrat italien avait acquitté l’ex-chef d’Etat et son poulain de toutes les charges de crimes contre l’humanité, qui auraient été commis entre 2010 et décembre 2011.
Laurent Gbagbo et Blé Goudé ont séjourné respectivement 8 ans et 5 ans dans les géôles de la Cpi, à la Haye, d’où ils ont été libérés sous condition depuis le 1er février 2019 consécutuivement à l’acquittement de la Chambre préliminaire de la Cour. Cependant, l’ex-président ivoirien séjourne à Bruxelles, en Belgique, tandis que Blé Goudé, lui, demeure encore sur le sol des Pays-Bas, en attendant un éventuel appel du Bureau du procureur à l’issue des motifs déposés par le juge Cuno Tarfusser et son équipe.
Dans le cas contraires, les deux ex-détenus recouvreraient leur totale liberté et regagneraient la Côte d’Ivoire, leur pays d’origine.
F.B
Le magistrat italien avait acquitté l’ex-chef d’Etat et son poulain de toutes les charges de crimes contre l’humanité, qui auraient été commis entre 2010 et décembre 2011.
Laurent Gbagbo et Blé Goudé ont séjourné respectivement 8 ans et 5 ans dans les géôles de la Cpi, à la Haye, d’où ils ont été libérés sous condition depuis le 1er février 2019 consécutuivement à l’acquittement de la Chambre préliminaire de la Cour. Cependant, l’ex-président ivoirien séjourne à Bruxelles, en Belgique, tandis que Blé Goudé, lui, demeure encore sur le sol des Pays-Bas, en attendant un éventuel appel du Bureau du procureur à l’issue des motifs déposés par le juge Cuno Tarfusser et son équipe.
Dans le cas contraires, les deux ex-détenus recouvreraient leur totale liberté et regagneraient la Côte d’Ivoire, leur pays d’origine.
F.B