Abidjan- Le commandant supérieur de la Gendarmerie nationale, le Général de Division Alexandre Touré Apalo, a procédé mardi à l’école de gendarmerie d’Abidjan, au lancement des premiers cours d’Etat-major des officiers de gendarmerie (CEMG), au profit, pour cette édition, de 30 officiers supérieurs de ce corps d’élite.
Le premier responsable de la gendarmerie a expliqué que, le caractère élitique de ce corps commande que ses hommes soient bien formés pour relever les défis sécuritaires. « Je ferai tout pour relever le niveau de tous ceux qui ont la gouvernance de la gendarmerie », a indiqué le général Apalo Touré, exhortant les officiers à prendre « à bras le corps ces cours ».
Selon lui, chaque gendarme, notamment chaque officier assumant une fonction de responsabilité, doit « avoir la capacité et la capabilité » d’exercer sa tâche pour une meilleure efficacité. « Quel que soit l’endroit où on sert, on doit être assez vaillamment instruit pour accomplir son devoir. Je vous demande de comprendre l’esprit de ces cours et de vous engager », a-t-il indiqué.
Il a promis à ces hommes la fermeté et la rigueur pour éviter le laxisme et le déni de responsabilité dans la conduite des rênes de la gendarmerie nationale. « Je vous demande de prendre ces cours au sérieux. Ils font partie de l’ensemble des réformes mises en place pour emmener les officiers au niveau qui doit être le leur lorsqu’ils sont portés à un certain nombre de responsabilité », a-t-il insisté.
Le directeur des cours, le lieutenant-colonel Yao-Delora Cyrille Kouassi a expliqué que les modules dispensés lors de ces cours démarrés hier (lundi), sont spécifiques à la gendarmerie. « C’est la formation de l’EFA qui sert de base pour qu’on puisse se retrouver dans les différents Etats major en interaction avec nos amis qui ont été formés dans les armés, qu’on parle le même langage mais en plus on met à la disposition de nos officiers de gendarmerie une formation axée sur le cœur du métier pour qu’ils soient mieux armés pour servir l’institution », a-t-il indiqué.
Yao-Delora, par ailleurs commandant en second de l’école de gendarmerie, a relevé que 608 heures de cours étalés sur cinq mois sont requises pour « élever le niveau professionnel des officiers » retenus à l’issue d’un test de 62 candidats. « C’est une formation qualifiante obligatoire qui permet d’accéder à certaine fonction et au grade supérieur », a ajouté le directeur des cours.
gak/fmo
Le premier responsable de la gendarmerie a expliqué que, le caractère élitique de ce corps commande que ses hommes soient bien formés pour relever les défis sécuritaires. « Je ferai tout pour relever le niveau de tous ceux qui ont la gouvernance de la gendarmerie », a indiqué le général Apalo Touré, exhortant les officiers à prendre « à bras le corps ces cours ».
Selon lui, chaque gendarme, notamment chaque officier assumant une fonction de responsabilité, doit « avoir la capacité et la capabilité » d’exercer sa tâche pour une meilleure efficacité. « Quel que soit l’endroit où on sert, on doit être assez vaillamment instruit pour accomplir son devoir. Je vous demande de comprendre l’esprit de ces cours et de vous engager », a-t-il indiqué.
Il a promis à ces hommes la fermeté et la rigueur pour éviter le laxisme et le déni de responsabilité dans la conduite des rênes de la gendarmerie nationale. « Je vous demande de prendre ces cours au sérieux. Ils font partie de l’ensemble des réformes mises en place pour emmener les officiers au niveau qui doit être le leur lorsqu’ils sont portés à un certain nombre de responsabilité », a-t-il insisté.
Le directeur des cours, le lieutenant-colonel Yao-Delora Cyrille Kouassi a expliqué que les modules dispensés lors de ces cours démarrés hier (lundi), sont spécifiques à la gendarmerie. « C’est la formation de l’EFA qui sert de base pour qu’on puisse se retrouver dans les différents Etats major en interaction avec nos amis qui ont été formés dans les armés, qu’on parle le même langage mais en plus on met à la disposition de nos officiers de gendarmerie une formation axée sur le cœur du métier pour qu’ils soient mieux armés pour servir l’institution », a-t-il indiqué.
Yao-Delora, par ailleurs commandant en second de l’école de gendarmerie, a relevé que 608 heures de cours étalés sur cinq mois sont requises pour « élever le niveau professionnel des officiers » retenus à l’issue d’un test de 62 candidats. « C’est une formation qualifiante obligatoire qui permet d’accéder à certaine fonction et au grade supérieur », a ajouté le directeur des cours.
gak/fmo