L’opposition radicale et extrémiste au régime Ouattara a fait du contrôle exclusif de la Commission Electorale Indépendant (CEI), son seul moyen de gagner la présidentielle d’octobre 2020. Elle a lamentablement échoué dans cette bataille pour le contrôle de l’organe qui organise les joutes électorales en Côte d’Ivoire.
Elle a bataillé dur hier pour se retrouver aujourd’hui les mains vides. Cette opposition radicale a commencé par une saisine de la Cour Africaine des Droits de l’Homme basée au Nigéria en vue de mettre la pression sur le pouvoir d’Abidjan afin de supplanter le régime au niveau de la représentation au sein de la CEI. Ces opposants ont multiplié aussi les campagnes de dénonciation et de condamnation tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Mais la mayonnaise n’a pas pris. C’est échec et mat ! ils avaient encore comme à l’accoutumée lu à l’envers la réponse de la Cour Africaine des Droits de l’Homme aux autorités ivoiriennes. Nullement découragés par cette défaite quant à réussir à changer de copie à la composition du Bureau de la CEI, ils vont se tourner vers les chancelleries étrangères dont celles des Etats-Unis et de l’Union Européenne pour les suivre dans leurs errements en produisent quelques communiqués timides, sans plus ! Un autre échec cuisant qui les laissent abasourdis et pétrifiés. Ils croient qu’ils ont certes perdu une bataille mais pas la guerre. Ces radicaux viennent de changer leur fusil d’épaule. Ils veulent passer la vitesse supérieure. Engager des actions vigoureuses sur le terrain pour obtenir cette refonte en profondeur de la CEI derrière laquelle ils courent désespérément depuis quelques mois. Ils sont rassurés que s’ils contrôlent demain la CEI, le pari est gagné pour eux en 2020. Drôles de politiciens qui croient dur comme fer que celui qui contrôle cet organe est celui qui remportera cette présidentielle qui aura lieu en octobre 2020. Ils projettent donc pour cela de descendre dans la rue pour obtenir cette modification. Attention donc à l’infiltration de ‘’casseurs’’ et autres individus de mauvais acabit. Ce qu’ils n’ont pas obtenu par la saisine de la Cour Africaine des Droits de l’Homme, ils veulent l’obtenir par des manifestations de rue à grande échelle. Vigilance accrue pendant ces moments qu’ils projettent.
Ben Yachid
(Stagiaire)
Elle a bataillé dur hier pour se retrouver aujourd’hui les mains vides. Cette opposition radicale a commencé par une saisine de la Cour Africaine des Droits de l’Homme basée au Nigéria en vue de mettre la pression sur le pouvoir d’Abidjan afin de supplanter le régime au niveau de la représentation au sein de la CEI. Ces opposants ont multiplié aussi les campagnes de dénonciation et de condamnation tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Mais la mayonnaise n’a pas pris. C’est échec et mat ! ils avaient encore comme à l’accoutumée lu à l’envers la réponse de la Cour Africaine des Droits de l’Homme aux autorités ivoiriennes. Nullement découragés par cette défaite quant à réussir à changer de copie à la composition du Bureau de la CEI, ils vont se tourner vers les chancelleries étrangères dont celles des Etats-Unis et de l’Union Européenne pour les suivre dans leurs errements en produisent quelques communiqués timides, sans plus ! Un autre échec cuisant qui les laissent abasourdis et pétrifiés. Ils croient qu’ils ont certes perdu une bataille mais pas la guerre. Ces radicaux viennent de changer leur fusil d’épaule. Ils veulent passer la vitesse supérieure. Engager des actions vigoureuses sur le terrain pour obtenir cette refonte en profondeur de la CEI derrière laquelle ils courent désespérément depuis quelques mois. Ils sont rassurés que s’ils contrôlent demain la CEI, le pari est gagné pour eux en 2020. Drôles de politiciens qui croient dur comme fer que celui qui contrôle cet organe est celui qui remportera cette présidentielle qui aura lieu en octobre 2020. Ils projettent donc pour cela de descendre dans la rue pour obtenir cette modification. Attention donc à l’infiltration de ‘’casseurs’’ et autres individus de mauvais acabit. Ce qu’ils n’ont pas obtenu par la saisine de la Cour Africaine des Droits de l’Homme, ils veulent l’obtenir par des manifestations de rue à grande échelle. Vigilance accrue pendant ces moments qu’ils projettent.
Ben Yachid
(Stagiaire)