La première université d’Eté en sciences sociales organisée en Côte d’Ivoire ( Tany Vao 2019) s’est ouverte mercredi à l’école nationale supérieure de statistiques et d’économie appliquée (ENSEA) sous le thème « travail, intégration sociale et politique d’emploi : approche méthodologiques et transversales ».
Cette université organisée en collaboration avec l’Agence française de développement (AFD) à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D), l’Institut de recherche et de développement (IRD) est à sa troisième édition. Les deux premières éditions se sont tenues en Madagascar en 2016 et 2018.
Cette université vise à dispenser une formation à la recherche de haut niveau en sciences sociales à et à répondre à des besoins forts en termes d’encadrement, de méthodes, et de travail en réseau des doctorants et jeunes chercheurs d’Afrique de l’Ouest en sciences humaines et sociales. Elle s’adresse ainsi à un public constitué d’étudiants (doctorants), de chercheurs mais aussi de professionnels souhaitant approfondir leurs connaissances.
Au regard du thème de cette édition, cette université d’Eté en sciences sociales s’avère être une formidable occasion de réflexion et d’échanges sur l’épineuse question de l’informalité et la précarité de l’emploi en Côte d’Ivoire, selon le directeur de Cabinet du ministère du Plan et du Développement, Yéo Nahoua.
« La question de l’emploi demeure une préoccupation importante pour le Gouvernement dans la mesure où les emplois en Côte d’Ivoire sont majoritairement concentrés dans le secteur informel. Comme l’atteste l’Enquête nationale sur situation de l’emploi et le secteur informel de 2016, l’emploi en Côte d’Ivoire est à 93,6% informel », a-t-il signifié.
Cette session enregistre au total 125 chercheurs à savoir 25 experts de l’ENSEA, de l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody, de de l’université de Paris de Panthéon Sorbonne et de Lille et 100 étudiants sélectionnés sur près de 300 postulants, a souligné le directeur général de l’ENSEA, N’Guessan Hugues.
Les travaux de cette université se dérouleront en plénière de mercredi à jeudi suivis des ateliers jusqu’au 24 juillet.
(AIP)
tad/ask
Cette université organisée en collaboration avec l’Agence française de développement (AFD) à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D), l’Institut de recherche et de développement (IRD) est à sa troisième édition. Les deux premières éditions se sont tenues en Madagascar en 2016 et 2018.
Cette université vise à dispenser une formation à la recherche de haut niveau en sciences sociales à et à répondre à des besoins forts en termes d’encadrement, de méthodes, et de travail en réseau des doctorants et jeunes chercheurs d’Afrique de l’Ouest en sciences humaines et sociales. Elle s’adresse ainsi à un public constitué d’étudiants (doctorants), de chercheurs mais aussi de professionnels souhaitant approfondir leurs connaissances.
Au regard du thème de cette édition, cette université d’Eté en sciences sociales s’avère être une formidable occasion de réflexion et d’échanges sur l’épineuse question de l’informalité et la précarité de l’emploi en Côte d’Ivoire, selon le directeur de Cabinet du ministère du Plan et du Développement, Yéo Nahoua.
« La question de l’emploi demeure une préoccupation importante pour le Gouvernement dans la mesure où les emplois en Côte d’Ivoire sont majoritairement concentrés dans le secteur informel. Comme l’atteste l’Enquête nationale sur situation de l’emploi et le secteur informel de 2016, l’emploi en Côte d’Ivoire est à 93,6% informel », a-t-il signifié.
Cette session enregistre au total 125 chercheurs à savoir 25 experts de l’ENSEA, de l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody, de de l’université de Paris de Panthéon Sorbonne et de Lille et 100 étudiants sélectionnés sur près de 300 postulants, a souligné le directeur général de l’ENSEA, N’Guessan Hugues.
Les travaux de cette université se dérouleront en plénière de mercredi à jeudi suivis des ateliers jusqu’au 24 juillet.
(AIP)
tad/ask