Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le ministre ivoirien de la Communication et des médias, Sidi Touré, a annoncé mercredi la mise en place d’un Comité de sages en vue de dénouer la crise ayant grippé le week-end dernier l’élection du président de l’Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI).
« En ce qui nous concerne, nous avons commencé à discuter avec les différents acteurs et incessamment un Comité de sages sera mis en place à l’effet de conduire les discussions pour (lever le blocage sur) les points de divergences, aller à l’essentiel, et très vite », a dit M. Sidi Touré à l’issue d’un Conseil des ministres.
Il a affirmé que son département a « constaté avec beaucoup de regret cette situation regrettable du Congrès de l’UNJCI», appelant « les uns et les autres à la responsabilité, thème au cœur de la thématique de ce (10ème) congrès ».
Le ministre ivoirien de la Communication et des médias a assuré s’y impliquer afin que « dans un délai très court » le Congrès puisse se tenir à la satisfaction de tout le monde, notamment des trois candidats en lice, issus du bureau sortant.
« Il est encore de bon ton de dire, nous journalistes nous sommes dans la position de critique et il est bien que nous fassions attention pour ne pas nous mettre en scène et ce qu'on reproche aux hommes politiques, on veille afin que cela ne nous soit pas reproché pour que le corps soit préservé de critiques », a-t-il conseillé.
L´élection du président de l’UNJCI, la principale faîtière des médias en Côte d'Ivoire, n’a pu se tenir dimanche soir en raison d´une mésentente entre les trois listes en compétition sur les modalités d´acceptation du vote par procuration.
Selon les textes de l’organisation, le vote par procuration est admis et les journalistes absents au congrès peuvent désigner leurs représentants pour voter à leur place. Mais, la majorité des congressistes a contesté un vote massif par procuration, affirmant ne pas vouloir un président élu par procuration.
La première journée de samedi pendant laquelle ont eu lieu les travaux en commission, s’est relativement bien déroulée, malheureusement celle de dimanche consacrée au vote s’est soldée par un gros cafouillage et de vives tensions.
AP/ls
« En ce qui nous concerne, nous avons commencé à discuter avec les différents acteurs et incessamment un Comité de sages sera mis en place à l’effet de conduire les discussions pour (lever le blocage sur) les points de divergences, aller à l’essentiel, et très vite », a dit M. Sidi Touré à l’issue d’un Conseil des ministres.
Il a affirmé que son département a « constaté avec beaucoup de regret cette situation regrettable du Congrès de l’UNJCI», appelant « les uns et les autres à la responsabilité, thème au cœur de la thématique de ce (10ème) congrès ».
Le ministre ivoirien de la Communication et des médias a assuré s’y impliquer afin que « dans un délai très court » le Congrès puisse se tenir à la satisfaction de tout le monde, notamment des trois candidats en lice, issus du bureau sortant.
« Il est encore de bon ton de dire, nous journalistes nous sommes dans la position de critique et il est bien que nous fassions attention pour ne pas nous mettre en scène et ce qu'on reproche aux hommes politiques, on veille afin que cela ne nous soit pas reproché pour que le corps soit préservé de critiques », a-t-il conseillé.
L´élection du président de l’UNJCI, la principale faîtière des médias en Côte d'Ivoire, n’a pu se tenir dimanche soir en raison d´une mésentente entre les trois listes en compétition sur les modalités d´acceptation du vote par procuration.
Selon les textes de l’organisation, le vote par procuration est admis et les journalistes absents au congrès peuvent désigner leurs représentants pour voter à leur place. Mais, la majorité des congressistes a contesté un vote massif par procuration, affirmant ne pas vouloir un président élu par procuration.
La première journée de samedi pendant laquelle ont eu lieu les travaux en commission, s’est relativement bien déroulée, malheureusement celle de dimanche consacrée au vote s’est soldée par un gros cafouillage et de vives tensions.
AP/ls