Hier, en conseil des ministres, le ministre de la Communication et des Médias, Sidi Tiémoko Touré, a annoncé la mise en place d'un comité de sages, relativement à la crise électorale qui secoue l'Union des journalistes de Côte d'Ivoire. « En ce qui nous concerne, nous avons commencé à discuter avec les différents acteurs et incessamment un Comité de sages sera mis en place, à l'effet de conduire les discussions pour lever le blocage sur les points de divergences, aller à l'essentiel, et très vite», a déclaré le porte-parole du gouvernement.
Sidi Touré a, par ailleurs, indiqué avoir « constaté, avec beaucoup de regret, cette situation regrettable du Congrès de l'Unjci ». Aussi appelle-t-il « les uns et les autres à la responsabilité, thème au cœur de la thématique de ce congrès ». En outre, il promet de s'impliquer pour que, « dans un délai très court», le congrès suspendu dimanche dernier puisse avoir lieu. Il a également conseillé aux journalistes de ne pas oublier leur rôle de critique. « Il est encore de bon ton de dire, nous journalistes, nous sommes dans la position de critique et il est bien que nous fassions attention pour ne pas nous mettre en scène et ce qu'on reproche aux hommes politiques, on veille afin que cela ne nous soit pas reproché pour que le corps soit préservé de critiques», a-t-il affirmé.
Pour rappel, le 10e congrès de l'Unjci, qui devait s'achever le dimanche dernier, avec l'élection de son nouveau président, n'a pu aller à son terme à cause de divergences entre les candidats, relativement à l'usage de procurations lors du vote.
E.G
Sidi Touré a, par ailleurs, indiqué avoir « constaté, avec beaucoup de regret, cette situation regrettable du Congrès de l'Unjci ». Aussi appelle-t-il « les uns et les autres à la responsabilité, thème au cœur de la thématique de ce congrès ». En outre, il promet de s'impliquer pour que, « dans un délai très court», le congrès suspendu dimanche dernier puisse avoir lieu. Il a également conseillé aux journalistes de ne pas oublier leur rôle de critique. « Il est encore de bon ton de dire, nous journalistes, nous sommes dans la position de critique et il est bien que nous fassions attention pour ne pas nous mettre en scène et ce qu'on reproche aux hommes politiques, on veille afin que cela ne nous soit pas reproché pour que le corps soit préservé de critiques», a-t-il affirmé.
Pour rappel, le 10e congrès de l'Unjci, qui devait s'achever le dimanche dernier, avec l'élection de son nouveau président, n'a pu aller à son terme à cause de divergences entre les candidats, relativement à l'usage de procurations lors du vote.
E.G