La Direction Générale des Cultes a initié il y a plusieurs mois un cadre de réflexion, d’échanges sur les bonnes pratiques et la connaissance de l’un et l’autre avec les guides religieux, organisé sous forme de table ronde.
Après un premier rendez-vous en mars dernier, le second s’est tenu ce mercredi 24 juillet 2019 autour du thème « leaders religieux face à l’utilisation des Technologies de la Communication et de l’Informatique (TIC) ».
Il s’agit notamment d’amener nos leaders religieux à être davantage précautionneux sur le contenu des messages qu’ils diffusent sur les réseaux sociaux.
Les responsables religieux, comme tout leader d’opinion, ne sauraient se priver des facilités de communication et d’interaction offertes par le progrès des Technologies de la Communication et de l’Informatique (TIC).
Toutefois, il arrive souvent que ceux-là même, dont le discours est censé apaiser ou rassurer en raison de leur mission fédératrice ou d’appel à l’optimisme, aient des éléments de langage, à travers des prophéties et autres visions, qui troublent la quiétude des populations et sont donc susceptibles d’attenter à l’ordre public, à la cohésion sociale et à la paix.
C’est dans ce sens que ces leaders religieux ont été invités, à davantage de retenue face à l’utilisation des nouvelles technologies de la communication et de l’information dans la mesure où celles-ci constituent non seulement un canal de large diffusion, mais aussi et surtout de rediffusions permanentes.
‘’La liberté d’expression sur les réseaux sociaux : avantages et inconvénients’’, ‘’les infractions liées aux technologies de l’information et de la communication, cadre légal et Institutionnel en Côte d’Ivoire’’ tels ont été les sous-thèmes développés par monsieur Guibessongui N’datien Séverin, docteur en Droit et le Colonel Guelpétchin Ouattara, directeur de l’Informatique et des Traces Technologiques.
La liberté d’expression est « le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit, elle est aussi le droit d’exprimer et de diffuser librement ses idées et le droit d’exprimer et de diffuser ses opinions » a défini Guibessongui N’datien Séverin.
Cependant, cette liberté a des limites car, même si les émissions, transmissions ou réceptions de signes, de signaux, d’écrits, d’images ou de sons, par voie électromagnétique, en temps réel des messages écrits, audio, vidéos et l’information des fidèles en temps réel sont les avantages liés à la liberté d’expression sur les réseaux, M. Guibessongui a rappelé que « l’utilisation frauduleuse d’éléments d’identification d’une personne physique ou morale par le biais d’un système d’information, l’atteinte à la vie privée, le cyber-harcèlement, le profilage sont prohibés.»
Dans le même sens, le Colonel Guelpétchin Ouattara, a soutenu que la fraude sur le porte-monnaie électronique ou compte mobile money, l’usurpation d’identité, l’introduction de données frauduleuses dans un système d’information, l’escroquerie en ligne, le chantage à la vidéo sont les différentes composantes de la cybercriminalité. « Toutes ces choses sont très dangereuses et les auteurs de ces pratiques, une fois saisis, payent le prix’ a-t-il prévenu.
« Nous devons faire en sorte de maîtriser les informations que nous diffusons sur les réseaux sinon elles auront un impact négatif sur la cohésion sociale » a invité le directeur de cabinet du ministre de l’intérieur, Houndjé Luc en demandant aux guides religieux d’avoir un peu de retenue dans les informations qu’ils distillent sur ces canaux de communication.
Atapointe
Après un premier rendez-vous en mars dernier, le second s’est tenu ce mercredi 24 juillet 2019 autour du thème « leaders religieux face à l’utilisation des Technologies de la Communication et de l’Informatique (TIC) ».
Il s’agit notamment d’amener nos leaders religieux à être davantage précautionneux sur le contenu des messages qu’ils diffusent sur les réseaux sociaux.
Les responsables religieux, comme tout leader d’opinion, ne sauraient se priver des facilités de communication et d’interaction offertes par le progrès des Technologies de la Communication et de l’Informatique (TIC).
Toutefois, il arrive souvent que ceux-là même, dont le discours est censé apaiser ou rassurer en raison de leur mission fédératrice ou d’appel à l’optimisme, aient des éléments de langage, à travers des prophéties et autres visions, qui troublent la quiétude des populations et sont donc susceptibles d’attenter à l’ordre public, à la cohésion sociale et à la paix.
C’est dans ce sens que ces leaders religieux ont été invités, à davantage de retenue face à l’utilisation des nouvelles technologies de la communication et de l’information dans la mesure où celles-ci constituent non seulement un canal de large diffusion, mais aussi et surtout de rediffusions permanentes.
‘’La liberté d’expression sur les réseaux sociaux : avantages et inconvénients’’, ‘’les infractions liées aux technologies de l’information et de la communication, cadre légal et Institutionnel en Côte d’Ivoire’’ tels ont été les sous-thèmes développés par monsieur Guibessongui N’datien Séverin, docteur en Droit et le Colonel Guelpétchin Ouattara, directeur de l’Informatique et des Traces Technologiques.
La liberté d’expression est « le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit, elle est aussi le droit d’exprimer et de diffuser librement ses idées et le droit d’exprimer et de diffuser ses opinions » a défini Guibessongui N’datien Séverin.
Cependant, cette liberté a des limites car, même si les émissions, transmissions ou réceptions de signes, de signaux, d’écrits, d’images ou de sons, par voie électromagnétique, en temps réel des messages écrits, audio, vidéos et l’information des fidèles en temps réel sont les avantages liés à la liberté d’expression sur les réseaux, M. Guibessongui a rappelé que « l’utilisation frauduleuse d’éléments d’identification d’une personne physique ou morale par le biais d’un système d’information, l’atteinte à la vie privée, le cyber-harcèlement, le profilage sont prohibés.»
Dans le même sens, le Colonel Guelpétchin Ouattara, a soutenu que la fraude sur le porte-monnaie électronique ou compte mobile money, l’usurpation d’identité, l’introduction de données frauduleuses dans un système d’information, l’escroquerie en ligne, le chantage à la vidéo sont les différentes composantes de la cybercriminalité. « Toutes ces choses sont très dangereuses et les auteurs de ces pratiques, une fois saisis, payent le prix’ a-t-il prévenu.
« Nous devons faire en sorte de maîtriser les informations que nous diffusons sur les réseaux sinon elles auront un impact négatif sur la cohésion sociale » a invité le directeur de cabinet du ministre de l’intérieur, Houndjé Luc en demandant aux guides religieux d’avoir un peu de retenue dans les informations qu’ils distillent sur ces canaux de communication.
Atapointe