Parler de « l’expérience camerounaise dans la lutte contre le terrorisme : quelle leçon pour l’Afrique ? » Voilà l’épreuve à laquelle s’est exercé Dr Edouard Epiphane Yogo, Enseignant à l’université de Yaoundé 2, en présence des étudiants et enseignants du département de l’Ufr de Criminologie de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan (Côte d’Ivoire), ce vendredi 26 juillet 2019.
Dr Yogo, Chercheur principal et Directeur exécutif du bureau des études stratégiques de Yaoundé 2, a eu les mots justes, au cours de cette conférence-débat, pour partager l’expérience camerounaise. Pour cet universitaire, en réalité le Cameroun n’est pas le pays à partir duquel l’on devrait tirer l’exemple. Cependant, cet exemple peut constituer un point de départ pour essayer de dégager des pistes de réflexion sur les possibilités de prévention et de réponse au phénomène terroriste en Afrique sub-saharienne. « C’est un cadre aujourd’hui où le terrorisme est en pleine opérationalisation ».
Dans son exposé, le chercheur camerounais a présenté un certain nombre de bonnes pratiques afin de mieux répondre, et de manière régionale, à la question du terrorisme. « Lutter contre le terrorisme, gagner les cœurs et les esprits, c’est fondamental dans tous les pays. En ce moment, la stabilisation, la résilience et l’autonomisation sont des variables sur lesquelles nous devons insister », a déclaré Dr Edouard Epiphane Yogo.
Selon lui, lutter contre le terrorisme, c’est essayer de développer de manière équilibrer la région en essayant au plan stratégique et opérationnel de créer une certaine forme d’inter-compatibilité des instruments de lutte contre le terrorisme. Le directeur exécutif du Bureau des études stratégiques de Yaoundé 2 propose d’inter-opérationnaliser les mécanismes de lutte contre le phénomène.
« Le constat que nous faisons, c’est que la question terroriste est vraiment prise en considération au regard de l’intérêt porté par l’ensemble des participants de cette conférence-débat. Deuxième chose, c’est notamment les menaces que nous vivons et les modes de gouvernance en Afrique. Nous pensons que les Africains ont besoin d’un meilleur modèle de gouvernance », a-t-il fait remarquer.
En définitive, pour l’universitaire camerounaIs, les Africains ont le plus besoin de meilleur modèle de gouvernance pour une réaction commune face à la question du terrorisme. C’est la leçon que Dr Edouard Epiphane Yogo a tenu à partager avec ses hôtes et les étudiants de l’Ufr de Criminologie de l’université d’Abidjan, au terme de la conférence-débat qui a été suivie de la dédicace de son œuvre sur la question du jour : ‘’Terrorisme et droits de l’Homme au sud du Sahara’’. Un livre qu’il a produit en collaboration avec le Professeur Henry Boah Yébouet, Maître de conférence à l’Université Félix Houphouët-Boigny, et Doyen de l’Ufr de Criminologie.
JOB
Dr Yogo, Chercheur principal et Directeur exécutif du bureau des études stratégiques de Yaoundé 2, a eu les mots justes, au cours de cette conférence-débat, pour partager l’expérience camerounaise. Pour cet universitaire, en réalité le Cameroun n’est pas le pays à partir duquel l’on devrait tirer l’exemple. Cependant, cet exemple peut constituer un point de départ pour essayer de dégager des pistes de réflexion sur les possibilités de prévention et de réponse au phénomène terroriste en Afrique sub-saharienne. « C’est un cadre aujourd’hui où le terrorisme est en pleine opérationalisation ».
Dans son exposé, le chercheur camerounais a présenté un certain nombre de bonnes pratiques afin de mieux répondre, et de manière régionale, à la question du terrorisme. « Lutter contre le terrorisme, gagner les cœurs et les esprits, c’est fondamental dans tous les pays. En ce moment, la stabilisation, la résilience et l’autonomisation sont des variables sur lesquelles nous devons insister », a déclaré Dr Edouard Epiphane Yogo.
Selon lui, lutter contre le terrorisme, c’est essayer de développer de manière équilibrer la région en essayant au plan stratégique et opérationnel de créer une certaine forme d’inter-compatibilité des instruments de lutte contre le terrorisme. Le directeur exécutif du Bureau des études stratégiques de Yaoundé 2 propose d’inter-opérationnaliser les mécanismes de lutte contre le phénomène.
« Le constat que nous faisons, c’est que la question terroriste est vraiment prise en considération au regard de l’intérêt porté par l’ensemble des participants de cette conférence-débat. Deuxième chose, c’est notamment les menaces que nous vivons et les modes de gouvernance en Afrique. Nous pensons que les Africains ont besoin d’un meilleur modèle de gouvernance », a-t-il fait remarquer.
En définitive, pour l’universitaire camerounaIs, les Africains ont le plus besoin de meilleur modèle de gouvernance pour une réaction commune face à la question du terrorisme. C’est la leçon que Dr Edouard Epiphane Yogo a tenu à partager avec ses hôtes et les étudiants de l’Ufr de Criminologie de l’université d’Abidjan, au terme de la conférence-débat qui a été suivie de la dédicace de son œuvre sur la question du jour : ‘’Terrorisme et droits de l’Homme au sud du Sahara’’. Un livre qu’il a produit en collaboration avec le Professeur Henry Boah Yébouet, Maître de conférence à l’Université Félix Houphouët-Boigny, et Doyen de l’Ufr de Criminologie.
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