Abidjan- Des acteurs du système se sont remémorés, mercredi, les notions essentielles et les instruments de lutte contre la corruption et les infractions assimilées, dans le cadre d’un atelier initié par la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG).
Des responsables notamment de l’Inspection générale des Finances (IGF) et de l’Inspection générale du Trésor (IGT), ont pris part à la session dont l’objectif était de renforcer leurs capacités sur les instruments « pertinents » de la lutte anti-corruption.
L’organisation de cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de conventions conclues par la HABG avec ces deux administrations de contrôle de la bonne gestion des fonds publics et, qui participent de sa démarche de mobilisation de l’ensemble des énergies, indispensable selon elle (la HABG), pour gagner la bataille de la lutte contre ce fléau.
Procédant à l’ouverture, le secrétaire général de la HABG, Marc Kablan Koffi a réaffirmé cette vision de l’institution de « créer, en matière de lutte contre la corruption, une coalition nationale, en liaison avec les organes et structures de contrôle et de détection de l’Etat, ainsi qu’avec toutes les autres parties prenantes tels que le secteur privé, les partis politiques, les médias et la société civile ». Une démarche, imposée, à l’en croire, par le caractère « multiforme et multisectoriel » de la lutte.
Il a redit la nécessité de partager les expériences et celle pour les participants à l'atelier d’avoir une meilleure connaissance des actes de corruption et les infractions assimilées pour une meilleure efficacité dans la conduite des enquêtes, des audits et des demandes et recherches d’informations.
« Cette rencontre permettra, sans nul doute, de rapprocher les différentes équipes, et de leur permettre de travailler en bonne intelligence, pour une meilleure synergie d’actions », s’est félicité M. Koffi, exprimant sa gratitude aux deux administrations sus citées.
kg/kam
Des responsables notamment de l’Inspection générale des Finances (IGF) et de l’Inspection générale du Trésor (IGT), ont pris part à la session dont l’objectif était de renforcer leurs capacités sur les instruments « pertinents » de la lutte anti-corruption.
L’organisation de cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de conventions conclues par la HABG avec ces deux administrations de contrôle de la bonne gestion des fonds publics et, qui participent de sa démarche de mobilisation de l’ensemble des énergies, indispensable selon elle (la HABG), pour gagner la bataille de la lutte contre ce fléau.
Procédant à l’ouverture, le secrétaire général de la HABG, Marc Kablan Koffi a réaffirmé cette vision de l’institution de « créer, en matière de lutte contre la corruption, une coalition nationale, en liaison avec les organes et structures de contrôle et de détection de l’Etat, ainsi qu’avec toutes les autres parties prenantes tels que le secteur privé, les partis politiques, les médias et la société civile ». Une démarche, imposée, à l’en croire, par le caractère « multiforme et multisectoriel » de la lutte.
Il a redit la nécessité de partager les expériences et celle pour les participants à l'atelier d’avoir une meilleure connaissance des actes de corruption et les infractions assimilées pour une meilleure efficacité dans la conduite des enquêtes, des audits et des demandes et recherches d’informations.
« Cette rencontre permettra, sans nul doute, de rapprocher les différentes équipes, et de leur permettre de travailler en bonne intelligence, pour une meilleure synergie d’actions », s’est félicité M. Koffi, exprimant sa gratitude aux deux administrations sus citées.
kg/kam