Le sénateur Kouamé Loukou Léon, élu sous la bannière indépendant aux sénatoriales, a animé une conférence de presse le dimanche 21 juillet2019 dans un espace hôtelier de la capitale politique de la Côte d’Ivoire. Au cours de cet entretien avec la presse, Kouamé Loukou a donné trois raisons de son adhésion à la formation politique, le Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP).
Ces logiques dit-il sont : « L’admiration pour le président de la République et ce depuis 1989, quand il a été appelé en pompier par le président Félix Houphouët-Boigny pour l’aider à sauver la Côte d’Ivoire qui était à la croisée du chemin. » Une situation qui, précise-t-il, était catastrophique économiquement parlant et qu’il avait réussi pleinement. Secondo, avec le président Ouattara, relève le sénateur, « le développement de la Côte d’Ivoire était perceptible. »
Et enfin, il dit n’avoir pas apprécié la décision de la mise en place d’une plateforme avec les partis politiques de gauche par le Pdci-Rda. Avançant comme raison, certains militants la trajectoire telle que voulue, définie et tracée par le père fondateur de la nation, Félix Houphouët-Boigny n’a jamais été une trajectoire de gauche. De son point de vue, le Pdci-Rda devrait faire des alliances avec le RHDP. Car, dit-il, c’est cette formation politique qui incarne l’idéal de paix, de tolérance, de cohésion, de dialogue et de développement porté par l’Houphouétisme. Mais avant toutes ces précisions, Loukou Léon, le sénateur du District Autonome de Yamoussoukro, a fait la démonstration de sa candidature au Sénat en qualité d’indépendant et aux municipales sous couvert du RHDP.
Le vénérable sénateur du District Autonome de la capitale politique ivoirienne, a indiqué que le motif réel à ces deux élections, sénatoriales et municipales sont, pour lui une occasion d’entretenir l’union, l’entente et la cohésion sociale entre les fils et filles du District en vue d’un plan de développement harmonieux de la région. Pour que cela soit possible, il a d’abord opté pour l’union et entente avec des autorités politiques et administratives locales à savoir, les députés, le gouverneur le maire et le corps préfectorale. A l’en croire, l’exigence oblige qu’il y ait une complicité totale, parfaite et sincère de toutes ces autorités. Ensuite, l’union entre les filles et fils du District Autonome de Yamoussoukro. Ajoutant que cela a fortement manqué.
Comme proposition, il précise qu’il va s’atteler à cette médiation, car en sa qualité de sénateur et conseiller municipal, il a la capacité de réussir cette mission en créant un cadre de solidarité et de fraternité. Affirmant aussi que le Sénat étant la représentation des collectivités territoriales en chargement du développement local, en plus de son rôle régalien de parlementaire, et vue ses expériences au district autonome et à la municipalité en qualité d’adjoint au maire pendant plus de 12 années consécutives. Il a estimé être présent dans cette prestigieuse institution pour apporter sa part active au développement de la nation en générale, de Yamoussoukro en particulier.
Ouattara Ahmed à Yamoussoukro
Ces logiques dit-il sont : « L’admiration pour le président de la République et ce depuis 1989, quand il a été appelé en pompier par le président Félix Houphouët-Boigny pour l’aider à sauver la Côte d’Ivoire qui était à la croisée du chemin. » Une situation qui, précise-t-il, était catastrophique économiquement parlant et qu’il avait réussi pleinement. Secondo, avec le président Ouattara, relève le sénateur, « le développement de la Côte d’Ivoire était perceptible. »
Et enfin, il dit n’avoir pas apprécié la décision de la mise en place d’une plateforme avec les partis politiques de gauche par le Pdci-Rda. Avançant comme raison, certains militants la trajectoire telle que voulue, définie et tracée par le père fondateur de la nation, Félix Houphouët-Boigny n’a jamais été une trajectoire de gauche. De son point de vue, le Pdci-Rda devrait faire des alliances avec le RHDP. Car, dit-il, c’est cette formation politique qui incarne l’idéal de paix, de tolérance, de cohésion, de dialogue et de développement porté par l’Houphouétisme. Mais avant toutes ces précisions, Loukou Léon, le sénateur du District Autonome de Yamoussoukro, a fait la démonstration de sa candidature au Sénat en qualité d’indépendant et aux municipales sous couvert du RHDP.
Le vénérable sénateur du District Autonome de la capitale politique ivoirienne, a indiqué que le motif réel à ces deux élections, sénatoriales et municipales sont, pour lui une occasion d’entretenir l’union, l’entente et la cohésion sociale entre les fils et filles du District en vue d’un plan de développement harmonieux de la région. Pour que cela soit possible, il a d’abord opté pour l’union et entente avec des autorités politiques et administratives locales à savoir, les députés, le gouverneur le maire et le corps préfectorale. A l’en croire, l’exigence oblige qu’il y ait une complicité totale, parfaite et sincère de toutes ces autorités. Ensuite, l’union entre les filles et fils du District Autonome de Yamoussoukro. Ajoutant que cela a fortement manqué.
Comme proposition, il précise qu’il va s’atteler à cette médiation, car en sa qualité de sénateur et conseiller municipal, il a la capacité de réussir cette mission en créant un cadre de solidarité et de fraternité. Affirmant aussi que le Sénat étant la représentation des collectivités territoriales en chargement du développement local, en plus de son rôle régalien de parlementaire, et vue ses expériences au district autonome et à la municipalité en qualité d’adjoint au maire pendant plus de 12 années consécutives. Il a estimé être présent dans cette prestigieuse institution pour apporter sa part active au développement de la nation en générale, de Yamoussoukro en particulier.
Ouattara Ahmed à Yamoussoukro
