Battue à plate couture à l’Assemblée nationale le 29 juillet, lors du vote de la loi sur la nouvelle CEI, l’opposition significative au régime Ouattara ruminerait sa colère et pourrait bientôt passer à de grandes manifestations de rue.
Que se passe-t-il aujourd’hui dans la tête des opposants au régime Ouattara ? Depuis le vote massif (124 voix contre 78) de la loi sur la nouvelle CEI en plénière le 29 juillet 2019, l’opposition ivoirienne veut faire parler d’elle et de triste manière. Non contente du passage de cette loi à l’hémicycle, elle aurait débuté des concertations, avant de passer la vitesse supérieure. Elle serait donc depuis ce 29 juillet au ‘’labo’’. Objectif : Occuper la rue jusqu’à ce que cette loi soit annulée. Elle prévoit donc, au terme de leurs concertations actuelles, de grandes manifestations de rue pour rendre ingouvernable le pays. C’est en vue de ces futurs troubles à l’ordre public que cette opposition significative se serait précipitée pour porter plainte contre le régime d’Abidjan à la Cour africaine des Droits de l’Homme au Nigéria et à l’Union européenne. Une façon pour elle de mettre la pression sur ces deux institutions internationales afin qu’elles interpellent les autorités ivoiriennes, les déboutent et les renvoient à leurs copies. C’est donc sous ce prétexte fallacieux que ces opposants vont bientôt investir la rue. Ils promettent quitter la rue que lorsqu’ils obtiendront gain de cause de ces deux grandes institutions. Attention, avant ces journées chaudes pour empêcher le pays d’être au travail tous les jours, la vigilance doit être de mise. De jour comme de nuit. Et chercher à aller aussi à l’apaisement, à calmer les esprits en leur enseignant qu’une élection ne se gagne pas à la CEI, mais plutôt des les urnes. Elle ne se gagne pas non plus par des troubles à l’ordre public, mais par une campagne civilisée sur le terrain.
Igor Wawayou
Que se passe-t-il aujourd’hui dans la tête des opposants au régime Ouattara ? Depuis le vote massif (124 voix contre 78) de la loi sur la nouvelle CEI en plénière le 29 juillet 2019, l’opposition ivoirienne veut faire parler d’elle et de triste manière. Non contente du passage de cette loi à l’hémicycle, elle aurait débuté des concertations, avant de passer la vitesse supérieure. Elle serait donc depuis ce 29 juillet au ‘’labo’’. Objectif : Occuper la rue jusqu’à ce que cette loi soit annulée. Elle prévoit donc, au terme de leurs concertations actuelles, de grandes manifestations de rue pour rendre ingouvernable le pays. C’est en vue de ces futurs troubles à l’ordre public que cette opposition significative se serait précipitée pour porter plainte contre le régime d’Abidjan à la Cour africaine des Droits de l’Homme au Nigéria et à l’Union européenne. Une façon pour elle de mettre la pression sur ces deux institutions internationales afin qu’elles interpellent les autorités ivoiriennes, les déboutent et les renvoient à leurs copies. C’est donc sous ce prétexte fallacieux que ces opposants vont bientôt investir la rue. Ils promettent quitter la rue que lorsqu’ils obtiendront gain de cause de ces deux grandes institutions. Attention, avant ces journées chaudes pour empêcher le pays d’être au travail tous les jours, la vigilance doit être de mise. De jour comme de nuit. Et chercher à aller aussi à l’apaisement, à calmer les esprits en leur enseignant qu’une élection ne se gagne pas à la CEI, mais plutôt des les urnes. Elle ne se gagne pas non plus par des troubles à l’ordre public, mais par une campagne civilisée sur le terrain.
Igor Wawayou