Le moins que l’on puisse dire, c’est que le RHDP du président Alassane Ouattara n’a pas d’égal. Les partis politiques ivoiriens ceux qu’on dit être grands sont loin de le rivaliser. A peine, les bases du parti sont jetées, qu’il est devenu incontournable et célèbre pour la simple raison qu’il rassemble et travaille pour le maintien durable de la paix. Le Secrétaire exécutif en chef du PDCI, Maurice Kakou Guikahué reconnaît la force du RHDP. Il a fait cette confession de taille face aux populations de l’Ouest de la Côte d’Ivoire. ‘’ Les autres sont plus nombreux que nous à l'Assemblée Nationale donc ils ont voté Oui pour ce projet de loi sur la recomposition de la CEI’’, a reconnu l’homme fort du président Henri Konan Bédié. ‘’Nous avons donc utilisé les voies démocratiques pour contre-attaquer. Nous avons donc déposé un recours au conseil constitutionnel pour ne pas que cette loi soit promulguée. Car sur 300 députés et sénateurs, il y'a 101 qui ont voté contre ce projet de loi et cela fait 34% de voix contre. Donc cette loi n'est pas consensuelle alors que nous la voulons consensuelle’’, fera-t-il remarquer.
Contradiction notoire et intoxications
. Ici, il reconnait que les conditions dans lesquelles s’est déroulé le vote du projet de loi sur la recomposition de la CEI répondent aux normes démocratiques mais en même temps il dénonce. Quel paradoxe ? 64% ont voté oui contre 34% selon le président du groupe parlementaire lui-même. Pourquoi crier encore sur tous les toits et balayer du revers de la main, une loi majoritairement votée ? Cela s’appelle du non-sens. Pour certains analystes, il y a l’intention manifeste de combattre la démocratie, la faire reculer pour des intérêts personnels et pour d’autres ternir l’image de la Côte d’Ivoire à l’extérieur. ‘’ Ensuite notre avocat, après le dépôt, ce recours est parti à Arusha devant la Cour Africaine des droits de l'homme et des peuples pour le dépôt d'une plainte contre l'État de Côte D'ivoire. Ensuite en ma qualité de Secrétaire exécutif du PDCI, j'ai écrit au président de la Commission de l'Union africaine qui m'a envoyé un accusé de réception et le président du parti à écrit au président Égyptien qui est le président de l'Union Africaine. Donc nous allons nous donner les moyens pour que cette loi revienne en seconde lecture à l'Assemblée Nationale’’, a expliqué l’honorable Maurice Kakou Guikahué aux populations de l’ouest.
Eviter d’inciter les populations aux troubles
A écouter et analyser les propos du secrétaire exécutif en chef du PDCI, on a l’impression que l’opposition ivoirienne s’avoue déjà vaincue avant la tenue des prochaines élections au point qu’elle prépare déjà les mentalités de ses militants et l’opinion internationale à des probables troubles qui seraient assortis des joutes électorales de 2020. Quand on reconnaît que les députés qui ont voté pour sont plus nombreux que ceux qui ont voté contre, il ne devrait plus avoir débat. Surtout que c’est dans la transparence la plus totale que se déroulent les élections à l’assemblée nationale. La seule chose qui reste à faire, si l’on veut d’une paix durable en Côte d’Ivoire, c’est d’être présent sur le terrain politique. L’heure est à la mobilisation des militants et non les intoxiquer et les préparer à une insurrection. La Côte d’Ivoire n’en a plus besoin.
R. Sako
Contradiction notoire et intoxications
. Ici, il reconnait que les conditions dans lesquelles s’est déroulé le vote du projet de loi sur la recomposition de la CEI répondent aux normes démocratiques mais en même temps il dénonce. Quel paradoxe ? 64% ont voté oui contre 34% selon le président du groupe parlementaire lui-même. Pourquoi crier encore sur tous les toits et balayer du revers de la main, une loi majoritairement votée ? Cela s’appelle du non-sens. Pour certains analystes, il y a l’intention manifeste de combattre la démocratie, la faire reculer pour des intérêts personnels et pour d’autres ternir l’image de la Côte d’Ivoire à l’extérieur. ‘’ Ensuite notre avocat, après le dépôt, ce recours est parti à Arusha devant la Cour Africaine des droits de l'homme et des peuples pour le dépôt d'une plainte contre l'État de Côte D'ivoire. Ensuite en ma qualité de Secrétaire exécutif du PDCI, j'ai écrit au président de la Commission de l'Union africaine qui m'a envoyé un accusé de réception et le président du parti à écrit au président Égyptien qui est le président de l'Union Africaine. Donc nous allons nous donner les moyens pour que cette loi revienne en seconde lecture à l'Assemblée Nationale’’, a expliqué l’honorable Maurice Kakou Guikahué aux populations de l’ouest.
Eviter d’inciter les populations aux troubles
A écouter et analyser les propos du secrétaire exécutif en chef du PDCI, on a l’impression que l’opposition ivoirienne s’avoue déjà vaincue avant la tenue des prochaines élections au point qu’elle prépare déjà les mentalités de ses militants et l’opinion internationale à des probables troubles qui seraient assortis des joutes électorales de 2020. Quand on reconnaît que les députés qui ont voté pour sont plus nombreux que ceux qui ont voté contre, il ne devrait plus avoir débat. Surtout que c’est dans la transparence la plus totale que se déroulent les élections à l’assemblée nationale. La seule chose qui reste à faire, si l’on veut d’une paix durable en Côte d’Ivoire, c’est d’être présent sur le terrain politique. L’heure est à la mobilisation des militants et non les intoxiquer et les préparer à une insurrection. La Côte d’Ivoire n’en a plus besoin.
R. Sako