« Ce que femme veut, Dieu le veut », conseille un dicton bien populaire en Afrique. La présidentielle de 2020 en Côte d’Ivoire, c’est dans quelques petits mois. Les femmes de Côte d’Ivoire sont inquiètes. Leur souci, réclamer au président Alassane Ouattara sa candidature à cette présidentielle parce qu’il est le seul garant de la paix et de la stabilité retrouvées afin que leurs enfants aillent à l’école dans la paix.
Plusieurs raisons motivent ces femmes qui viennent de toutes les communes du District d’Abidjan et des villes de l’intérieur du pays déjà contactées par téléphone ou par des émissaires envoyées sur le terrain de façon discrète. Combien de femmes sont-elles de nos jours qui sont soucieuses de la préservation de la paix retrouvée sous l’imprimatur du président Alassane Ouattara ? 3, 4, 5 millions à travers tout le pays ? Le giga-meeting qu’elles seraient en train de préparer nous situera très bientôt. Elles viendront de toutes les zones urbaines et rurales du carré ivoirien. Comme leurs sœurs aînées qui ont marché hier sur Grand-Bassam pour libérer leurs époux embastillés dans cette cité balnéaire, le meeting géant de reconnaissance et d’hommage au Président de la République aurait pour objectif de prier ou supplier le Chef de l’Etat ivoirien à ne pas abandonner son pays en si bon chemin entre des mains des ‘’aventuriers politiques’’. Première raison de leur adresse au président Ouattara, l’avenir de la Côte d’Ivoire et en première priorité, celui de leurs enfants qui doivent être élevés dans la paix et aller à l’école dans la quiétude.
L’avenir des enfants de ce pays dépend de
Ouattara
Ces femmes qui se concertent déjà par quartiers, nous a-t-on soufflé sou couvert de l’anonymat, veulent se lever pour barrer la route à ces politiciens qui distillent aujourd’hui, le venin de la division, de la haine tribale et raciale. Et qui manœuvrent pour réveiller les ‘’vieux démons’’ avec le concept de ‘’l’ivoirité’’ qui a fait tant de mal hier à la Côte d’Ivoire. Elles ont été inspirées pour préparer ce meeting géant, de la sortie il y a quelques jours, dans la presse nationale, des déclarations des femmes leaders Akans dont Mme Ehui Bernadette était la porte-parole. Celles-ci ont avec énergie condamné les ‘’dérives xénophobes ou ivoiritaires’’ du président du PDCI-RDA, Henri Konan Bédié. Elles veulent que la paix retrouvée aux prix de mille sacrifices du pouvoir Ouattara soit préservée afin que leurs enfants soient primo, élevés dans la paix, secundo soient scolarisés, l’école ayant été rendue gratuite par le président Alassane Ouattara avec en plus plusieurs mesures d’accompagnement qui soulagent les parents d’élèves. Elles souscrivent à l’unanimité aux déclarations faites par les femmes leaders Akans et veulent aller très loin : supplier le président Alassane Ouattara de ne pas prendre maintenant sa retraite politique. Outre cet combat contre ceux qui veulent diviser ce pays, ces réalisations du président Ouattara en moins de 10 ans de bonne gouvernance.
La dignité de la femme retrouvée sous le magistère du chef de l’Etat ivoirien avec le renforcement de son rôle dans la société
Le président Alassane Ouattara est celui qui a redonné à la femme ivoirienne sa fierté, sa dignité avec son autonomisation financière. Elles ne l’ont pas oublié, il l’a promis dans son livret-programme de 2015. Il l’a fait comme il l’a annoncé. « Pilier des nos familles, opératrices économiques battantes, les femmes restent malgré tout les plus vulnérables dans notre pays. Alors qu’avec elles, les conflits s’apaisent. Elles méritent une reconnaissance plus équitable de leur rôle dans notre société. C’est pourquoi, nous nous attèlerons à mieux y préparer, à leur offrir plus de responsabilité et de moyens d’êtres autonomes. C’est un droit constitutionnel pour elle. C’est une responsabilité collective pour nous ». Ouattara a tenu toutes ses promesses. Ouattara a pensé à l’autonomisation financière de la femme, il l’a fait. « Quand un Ouattara dit, il le fait », a-t-il déclaré lors d’une de ses visites d’Etat. Des mesures-clés ont été prises avec célérité à cet effet pour la réalisation rapide de ce pan de son projet de société. On peut citer, entre autres, la scolarisation systématique des filles ; le programme d’alphabétisation des femmes ; la promotion du genre dans le privé, l’iade à l’autonomisation des femmes par l’entremise du Fonds d’Appui à la Femme de Côte d’Ivoire (FAF-CI) doté d’une enveloppe annuelle de 10 milliards de nos francs. Cela est très important pour les mères, épouses, femme de Côte d’Ivoire qui sont en train de s’organiser pour non seulement dire oui à un 3ème mandat de leur bienfaiteur, mais surtout lui exprimer leur infinie gratitude pour un vote massif dans les urnes en 2020, s’il accepte leur requête faite devant tout le peuple de Côte d’Ivoire. Autre fait marquant qui incite ces femmes à faire cette grande sortie politique, Ouattara a planifié et réussi aussi l’accompagnement des couches sociales les plus pauvres.
La lutte sans merci contre la pauvreté
La lutte contre la pauvreté occupe également une place de choix dans la bonne gouvernance du président Ouattara qui a pris la pleine mesure de l’ampleur de la paupérisation des plus démunis dans le pays. Et a décidé de l’enrayer. Il en a d’abord fait le constat avant de prendre les mesures appropriées en tant que bon chef d’Etat. Il a dit exactement ceci : « Malgré nos efforts, certains de nos concitoyens vivent encore dans la pauvreté et de ce fait sont privés de l’accès aux services sociaux de base. Leur santé est précaire, l’avenir de leurs enfants sans éducation est hypothéqué. Il est du devoir de la République de leur tendre la main, de leur manifester la solidarité de la Nation en leur offrant une aide sociale temporaire, en attendant qu’ils trouvent une activité génératrice d’un minimum de revenus ». Réélu en 2015, Ouattara a honoré sa parole donnée à ses concitoyens, en prenant les mesures qui s’imposent avec diligence : la mise en place d’un programme d’aides aux populations démunies ; l’accès gratuit aux soins de santé avec la Couverture Nationale Maladie Universelle (CNMU) ; l’accès gratuit à l’éducation des enfants (école gratuite) ; le financement d’actions génératrices de revenus pour les mères de familles démunies. La liste de ses actions envers la femme peut être contenue dans un livre de plusieurs centaines de pages. C’est donc pour ces nombreuses réalisations au profit de la femme, que toutes ces femmes debout et en rangs serrés derrière le président Alassane Ouattara, entendent l’inviter dans les mois prochains au giga-meeting qu’elles préparent dans la minutie et la discrétion totale pour lui demander de ne pas prendre sitôt sa retraite politique. Elles veulent l’investir pour un 3ème mandat, car les femmes de Côte d’Ivoire et leurs progénitures ont encore un grand besoin de ce ‘’faiseur de paix et bâtisseur inégalé en Afrique noire’’, avec plus de 8.000 réalisations achevées en moins de huit (8) ans d’exercice du pouvoir d’Etat dans son pays. « ce que femme veut, Dieu le veut », ont-elles soutenu ensemble lors de leur rencontre de l’annonce de grand meeting encore tenu secret pour le moment, ont-elles prévenu dans ce hôtel luxueux d’Abidjan qui a abrité cette concertation dont ‘’L’Essor Ivoirien’’, votre journal préféré, a eu vent par des indiscrétions. C’est donc ce grand coup médiatique que préparent les femmes de toute la Côte d’Ivoire par le biais des initiatrices, en faveur du bâtisseur inégalé en Afrique noire, le président ivoirien, SEM Alassane Ouattara, qui est à leurs yeux, la véritable ‘’assurance-garantie’’ de la paix et de la stabilité retrouvées qu’il faut préserver à tous les prix, comme la prunelle des yeux, avec Ouattara aux affaires. Elles ont bien raison et les hommes ne peuvent pas rester en marge de cette mobilisation. Ils vont à leur tour emboîter le pas aux mères, épouses et femmes de Côte d’Ivoire, pour lancer aussi un appel pour la candidature du ‘’messie’’ : le président Alassane Ouattara. Ce sera sûrement, à 5 mois des joutes électorales d’octobre 2020, susurre-t-on.
Igor Wawayou
Plusieurs raisons motivent ces femmes qui viennent de toutes les communes du District d’Abidjan et des villes de l’intérieur du pays déjà contactées par téléphone ou par des émissaires envoyées sur le terrain de façon discrète. Combien de femmes sont-elles de nos jours qui sont soucieuses de la préservation de la paix retrouvée sous l’imprimatur du président Alassane Ouattara ? 3, 4, 5 millions à travers tout le pays ? Le giga-meeting qu’elles seraient en train de préparer nous situera très bientôt. Elles viendront de toutes les zones urbaines et rurales du carré ivoirien. Comme leurs sœurs aînées qui ont marché hier sur Grand-Bassam pour libérer leurs époux embastillés dans cette cité balnéaire, le meeting géant de reconnaissance et d’hommage au Président de la République aurait pour objectif de prier ou supplier le Chef de l’Etat ivoirien à ne pas abandonner son pays en si bon chemin entre des mains des ‘’aventuriers politiques’’. Première raison de leur adresse au président Ouattara, l’avenir de la Côte d’Ivoire et en première priorité, celui de leurs enfants qui doivent être élevés dans la paix et aller à l’école dans la quiétude.
L’avenir des enfants de ce pays dépend de
Ouattara
Ces femmes qui se concertent déjà par quartiers, nous a-t-on soufflé sou couvert de l’anonymat, veulent se lever pour barrer la route à ces politiciens qui distillent aujourd’hui, le venin de la division, de la haine tribale et raciale. Et qui manœuvrent pour réveiller les ‘’vieux démons’’ avec le concept de ‘’l’ivoirité’’ qui a fait tant de mal hier à la Côte d’Ivoire. Elles ont été inspirées pour préparer ce meeting géant, de la sortie il y a quelques jours, dans la presse nationale, des déclarations des femmes leaders Akans dont Mme Ehui Bernadette était la porte-parole. Celles-ci ont avec énergie condamné les ‘’dérives xénophobes ou ivoiritaires’’ du président du PDCI-RDA, Henri Konan Bédié. Elles veulent que la paix retrouvée aux prix de mille sacrifices du pouvoir Ouattara soit préservée afin que leurs enfants soient primo, élevés dans la paix, secundo soient scolarisés, l’école ayant été rendue gratuite par le président Alassane Ouattara avec en plus plusieurs mesures d’accompagnement qui soulagent les parents d’élèves. Elles souscrivent à l’unanimité aux déclarations faites par les femmes leaders Akans et veulent aller très loin : supplier le président Alassane Ouattara de ne pas prendre maintenant sa retraite politique. Outre cet combat contre ceux qui veulent diviser ce pays, ces réalisations du président Ouattara en moins de 10 ans de bonne gouvernance.
La dignité de la femme retrouvée sous le magistère du chef de l’Etat ivoirien avec le renforcement de son rôle dans la société
Le président Alassane Ouattara est celui qui a redonné à la femme ivoirienne sa fierté, sa dignité avec son autonomisation financière. Elles ne l’ont pas oublié, il l’a promis dans son livret-programme de 2015. Il l’a fait comme il l’a annoncé. « Pilier des nos familles, opératrices économiques battantes, les femmes restent malgré tout les plus vulnérables dans notre pays. Alors qu’avec elles, les conflits s’apaisent. Elles méritent une reconnaissance plus équitable de leur rôle dans notre société. C’est pourquoi, nous nous attèlerons à mieux y préparer, à leur offrir plus de responsabilité et de moyens d’êtres autonomes. C’est un droit constitutionnel pour elle. C’est une responsabilité collective pour nous ». Ouattara a tenu toutes ses promesses. Ouattara a pensé à l’autonomisation financière de la femme, il l’a fait. « Quand un Ouattara dit, il le fait », a-t-il déclaré lors d’une de ses visites d’Etat. Des mesures-clés ont été prises avec célérité à cet effet pour la réalisation rapide de ce pan de son projet de société. On peut citer, entre autres, la scolarisation systématique des filles ; le programme d’alphabétisation des femmes ; la promotion du genre dans le privé, l’iade à l’autonomisation des femmes par l’entremise du Fonds d’Appui à la Femme de Côte d’Ivoire (FAF-CI) doté d’une enveloppe annuelle de 10 milliards de nos francs. Cela est très important pour les mères, épouses, femme de Côte d’Ivoire qui sont en train de s’organiser pour non seulement dire oui à un 3ème mandat de leur bienfaiteur, mais surtout lui exprimer leur infinie gratitude pour un vote massif dans les urnes en 2020, s’il accepte leur requête faite devant tout le peuple de Côte d’Ivoire. Autre fait marquant qui incite ces femmes à faire cette grande sortie politique, Ouattara a planifié et réussi aussi l’accompagnement des couches sociales les plus pauvres.
La lutte sans merci contre la pauvreté
La lutte contre la pauvreté occupe également une place de choix dans la bonne gouvernance du président Ouattara qui a pris la pleine mesure de l’ampleur de la paupérisation des plus démunis dans le pays. Et a décidé de l’enrayer. Il en a d’abord fait le constat avant de prendre les mesures appropriées en tant que bon chef d’Etat. Il a dit exactement ceci : « Malgré nos efforts, certains de nos concitoyens vivent encore dans la pauvreté et de ce fait sont privés de l’accès aux services sociaux de base. Leur santé est précaire, l’avenir de leurs enfants sans éducation est hypothéqué. Il est du devoir de la République de leur tendre la main, de leur manifester la solidarité de la Nation en leur offrant une aide sociale temporaire, en attendant qu’ils trouvent une activité génératrice d’un minimum de revenus ». Réélu en 2015, Ouattara a honoré sa parole donnée à ses concitoyens, en prenant les mesures qui s’imposent avec diligence : la mise en place d’un programme d’aides aux populations démunies ; l’accès gratuit aux soins de santé avec la Couverture Nationale Maladie Universelle (CNMU) ; l’accès gratuit à l’éducation des enfants (école gratuite) ; le financement d’actions génératrices de revenus pour les mères de familles démunies. La liste de ses actions envers la femme peut être contenue dans un livre de plusieurs centaines de pages. C’est donc pour ces nombreuses réalisations au profit de la femme, que toutes ces femmes debout et en rangs serrés derrière le président Alassane Ouattara, entendent l’inviter dans les mois prochains au giga-meeting qu’elles préparent dans la minutie et la discrétion totale pour lui demander de ne pas prendre sitôt sa retraite politique. Elles veulent l’investir pour un 3ème mandat, car les femmes de Côte d’Ivoire et leurs progénitures ont encore un grand besoin de ce ‘’faiseur de paix et bâtisseur inégalé en Afrique noire’’, avec plus de 8.000 réalisations achevées en moins de huit (8) ans d’exercice du pouvoir d’Etat dans son pays. « ce que femme veut, Dieu le veut », ont-elles soutenu ensemble lors de leur rencontre de l’annonce de grand meeting encore tenu secret pour le moment, ont-elles prévenu dans ce hôtel luxueux d’Abidjan qui a abrité cette concertation dont ‘’L’Essor Ivoirien’’, votre journal préféré, a eu vent par des indiscrétions. C’est donc ce grand coup médiatique que préparent les femmes de toute la Côte d’Ivoire par le biais des initiatrices, en faveur du bâtisseur inégalé en Afrique noire, le président ivoirien, SEM Alassane Ouattara, qui est à leurs yeux, la véritable ‘’assurance-garantie’’ de la paix et de la stabilité retrouvées qu’il faut préserver à tous les prix, comme la prunelle des yeux, avec Ouattara aux affaires. Elles ont bien raison et les hommes ne peuvent pas rester en marge de cette mobilisation. Ils vont à leur tour emboîter le pas aux mères, épouses et femmes de Côte d’Ivoire, pour lancer aussi un appel pour la candidature du ‘’messie’’ : le président Alassane Ouattara. Ce sera sûrement, à 5 mois des joutes électorales d’octobre 2020, susurre-t-on.
Igor Wawayou