Depuis plusieurs mois, le débat sur la réforme de la Commission électorale indépendante (Cei) constitue l’essentiel de la préoccupation d’une frange de l’opposition politique ivoirienne. En dépit de tous les efforts faits par le pouvoir d’Abidjan, pour trouver une formule qui convienne à toutes les parties, quelques partis de l’opposition continuent de maugréer. Certains vont jusqu’à proférer des menaces ouvertes ou à peine voilées contre les élections générales de 2020.
Aujourd’hui, bien que l’Assemblée nationale en ses travaux en commission du 18 juillet 2019 ait adopté le projet de loi sur la réforme de la Cei tel que proposé. Bien que le Sénat l’ait aussi adopté dans le même sens (y compris sa composition). Quoique le Conseil constitutionnel ait déclaré irrecevable la requête des députés de l’opposition sur la question. Ou même malgré les interventions médiatiques de nombreux citoyens qui rappellent aux contestataires que les élections ne se déroulent pas à la Cei mais dans les urnes, ces opposants continuent de décrier la mouture actuelle de la Cei.
Mais alors que veulent-ils ? A la vérité, ces opposants préparent les esprits de la communauté nationale et internationale à la défaite qu’ils ont conscience qu’ils subiront au cours des élections qui démarrent en 2020. Ils veulent utiliser l’argument de la réforme de Cei pour justifier leur échec à l’élection présidentielle de 2020 et aux élections législatives, sénatoriales, municipales et régionales qui suivront. En effet, leur défaite est prévisible avec la grosse machine politique qu’est le Rhdp qui renforce chaque jour ses bases en quantité et en qualité. Au regard de la parfaite organisation des organes du parti au pouvoir dont les volumes expriment les ambitions affichées, il est certain que les adversaires politiques ont conscience de leur incapacité à vaincre une telle formation politique dans les urnes. D’où l’obstination à s’accrocher à la question de la réforme de la Cei pour justifier cette incapacité à venir à bout du Rhdp. De plus, à quatorze mois de l’élection présidentielle prévue en octobre 2020, il saute à l’œil que les partis de l’opposition qui contestent aujourd’hui la Cei sont décousus pour les uns et dépouillés de leurs substances pour les autres. Pis, ils excellent aussi dans les critiques plutôt que de proposer aux Ivoiriens un programme de construction valable. Les Ivoiriens ne sont pas dupes. Ils savent que le Rhdp est en place pour leur apporter le développement et améliorer leurs conditions de vie. Ils n’hésiteront pas à porter leur choix sur le Rhdp le moment venu. Nous avons choisi le développement qui, seul peut apporter l’émergence et le bien être à nos populations. Il ne s’agit pas de ramener au pouvoir un patriarche dépassé, sans vision de progrès, ou un certain personnage parce qu’il serait de notre région ou par vengeance. Car nous sommes tous fiers du nouveau visage qu’ADO ne cesse d’imprimer à notre pays. Et les Ivoiriens en sont entièrement satisfaits. C’est pourquoi les opposants recherchent par tous les moyens, des stratégies pour les distraire et voiler la débâcle qui les attend en 2020.
Professeur Djaha Konan
Cadre du Rhdp
Aujourd’hui, bien que l’Assemblée nationale en ses travaux en commission du 18 juillet 2019 ait adopté le projet de loi sur la réforme de la Cei tel que proposé. Bien que le Sénat l’ait aussi adopté dans le même sens (y compris sa composition). Quoique le Conseil constitutionnel ait déclaré irrecevable la requête des députés de l’opposition sur la question. Ou même malgré les interventions médiatiques de nombreux citoyens qui rappellent aux contestataires que les élections ne se déroulent pas à la Cei mais dans les urnes, ces opposants continuent de décrier la mouture actuelle de la Cei.
Mais alors que veulent-ils ? A la vérité, ces opposants préparent les esprits de la communauté nationale et internationale à la défaite qu’ils ont conscience qu’ils subiront au cours des élections qui démarrent en 2020. Ils veulent utiliser l’argument de la réforme de Cei pour justifier leur échec à l’élection présidentielle de 2020 et aux élections législatives, sénatoriales, municipales et régionales qui suivront. En effet, leur défaite est prévisible avec la grosse machine politique qu’est le Rhdp qui renforce chaque jour ses bases en quantité et en qualité. Au regard de la parfaite organisation des organes du parti au pouvoir dont les volumes expriment les ambitions affichées, il est certain que les adversaires politiques ont conscience de leur incapacité à vaincre une telle formation politique dans les urnes. D’où l’obstination à s’accrocher à la question de la réforme de la Cei pour justifier cette incapacité à venir à bout du Rhdp. De plus, à quatorze mois de l’élection présidentielle prévue en octobre 2020, il saute à l’œil que les partis de l’opposition qui contestent aujourd’hui la Cei sont décousus pour les uns et dépouillés de leurs substances pour les autres. Pis, ils excellent aussi dans les critiques plutôt que de proposer aux Ivoiriens un programme de construction valable. Les Ivoiriens ne sont pas dupes. Ils savent que le Rhdp est en place pour leur apporter le développement et améliorer leurs conditions de vie. Ils n’hésiteront pas à porter leur choix sur le Rhdp le moment venu. Nous avons choisi le développement qui, seul peut apporter l’émergence et le bien être à nos populations. Il ne s’agit pas de ramener au pouvoir un patriarche dépassé, sans vision de progrès, ou un certain personnage parce qu’il serait de notre région ou par vengeance. Car nous sommes tous fiers du nouveau visage qu’ADO ne cesse d’imprimer à notre pays. Et les Ivoiriens en sont entièrement satisfaits. C’est pourquoi les opposants recherchent par tous les moyens, des stratégies pour les distraire et voiler la débâcle qui les attend en 2020.
Professeur Djaha Konan
Cadre du Rhdp