Abidjan- L’élection des membres des collèges de la nouvelle assemblée générale du Bureau ivoirien des Droits d’auteurs (Burida) a débuté mercredi à l’auditorium de la Caisse de stabilisation à Abidjan (Plateauà sur fond de dissension menée par un collectif d’artistes qui réclame le report pur et simple des échéances.
Ce collectif appelé « L’égalité et Transparence » conduit par les artiste Pat Sako, David Tayrault, Bilé Didier et bien d’autres estime que ces élections ne sont pas opportunes. Pour eux, il n'est pas judicieux d'organiser des élections pendant que les obsèques de l'un des plus grands pourvoyeurs du Burida, Dj Arafat sont en cours et bien plus parce que toutes les conditions pour aller à ces échéances n’ont pas été satisfaites.
« Nous ne comprenons pas les tenants et les aboutissants de cette élection. Au moment où nous attendons que les résultats de l’audit que nous avons tant souhaité soient diffusés, on veut nous forcer à aller à des élections sans même que les textes ne soient toilettés. », s’est offusqué David Tayrault, artiste arrangeur.
Il souligne que le Burida est une structure autonome, et s’étonne de la position de "certains alliés qui tentent encore de se laisser manipuler" alors que tous, se sont mis d’accord pour aller à des élections sur des bases solides.
Pour le directeur par intérim du Burida Akpatou Serge, les griefs des contestataires ont peut-être des raisons d’être mais ne sont fondés sur aucune justification légale et interviennent trop tardivement.
« En hommage à Arafat, il faudrait que le Burida montre sa solidité et sa disponibilité à aller de l’avant pour enrichir un temps soit peu les interprètes, les productions et les auditeurs. », a insisté M. Akpatou.
Les élections des membres des sept collèges devant constituer l’Assemblée générale du Burida composée de 210 membres se tiennent conformément aux dispositions de l’article 9 du décret 205-271 du 22 avril 2015 fixant les attributions, l’organisation et le fonctionnement du Burida.
bsb/ask
Ce collectif appelé « L’égalité et Transparence » conduit par les artiste Pat Sako, David Tayrault, Bilé Didier et bien d’autres estime que ces élections ne sont pas opportunes. Pour eux, il n'est pas judicieux d'organiser des élections pendant que les obsèques de l'un des plus grands pourvoyeurs du Burida, Dj Arafat sont en cours et bien plus parce que toutes les conditions pour aller à ces échéances n’ont pas été satisfaites.
« Nous ne comprenons pas les tenants et les aboutissants de cette élection. Au moment où nous attendons que les résultats de l’audit que nous avons tant souhaité soient diffusés, on veut nous forcer à aller à des élections sans même que les textes ne soient toilettés. », s’est offusqué David Tayrault, artiste arrangeur.
Il souligne que le Burida est une structure autonome, et s’étonne de la position de "certains alliés qui tentent encore de se laisser manipuler" alors que tous, se sont mis d’accord pour aller à des élections sur des bases solides.
Pour le directeur par intérim du Burida Akpatou Serge, les griefs des contestataires ont peut-être des raisons d’être mais ne sont fondés sur aucune justification légale et interviennent trop tardivement.
« En hommage à Arafat, il faudrait que le Burida montre sa solidité et sa disponibilité à aller de l’avant pour enrichir un temps soit peu les interprètes, les productions et les auditeurs. », a insisté M. Akpatou.
Les élections des membres des sept collèges devant constituer l’Assemblée générale du Burida composée de 210 membres se tiennent conformément aux dispositions de l’article 9 du décret 205-271 du 22 avril 2015 fixant les attributions, l’organisation et le fonctionnement du Burida.
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