Nassian– La 4è édition du festival pour la promotion de la culture Danlèh de l’ethnie koulango, dans le nord-est de la Côte d’Ivoire, s’est tenu, pendant trois jours, à Parhadi, dans le département de Nassian.
Ce festival a duré de vendredi à dimanche. il a réuni les Koulango forgerons ou Danlêh, dans quatre villages du département de Nassian. Il s’agit de Banvayo, Dédi, Angobila et Parhadi d'où se tient chaque année le festival culturel Danlêh. A ces quatre villages, il faut ajouter Longodé, dans la localité de Sandégué.
Selon le président du comité d'organisation du festival, Koffi Kouassi Serge, ce dernier village forgeron a été retrouvé récemment grâce aux recherches des cadres. Donc, on a en Côte d'ivoire, cinq villages Danlêh, quatre dans le département de Nassian et un dans le département de Tanda, a-t-il expliqué.
« Aussi, ces cinq villages qui ont une culture commune ont décidé de s'unir en vue de la sauvegarder », a fait savoir M. Koffi.
Pour cette année, l'accent a été mis sur la pérennité des contes et danses traditionnels. A l'avenir, selon toujours le président du comité d'organisation, le festival pourrait être tournant pour une implication effective des populations des autres villages Danlêh.
Depuis août 2015, les Danlêh se retrouvent en période de vacances scolaires, trois jours durant, à Parhadi, pour magnifier et pérenniser leur culture.
nkf/kkf/fmo
Ce festival a duré de vendredi à dimanche. il a réuni les Koulango forgerons ou Danlêh, dans quatre villages du département de Nassian. Il s’agit de Banvayo, Dédi, Angobila et Parhadi d'où se tient chaque année le festival culturel Danlêh. A ces quatre villages, il faut ajouter Longodé, dans la localité de Sandégué.
Selon le président du comité d'organisation du festival, Koffi Kouassi Serge, ce dernier village forgeron a été retrouvé récemment grâce aux recherches des cadres. Donc, on a en Côte d'ivoire, cinq villages Danlêh, quatre dans le département de Nassian et un dans le département de Tanda, a-t-il expliqué.
« Aussi, ces cinq villages qui ont une culture commune ont décidé de s'unir en vue de la sauvegarder », a fait savoir M. Koffi.
Pour cette année, l'accent a été mis sur la pérennité des contes et danses traditionnels. A l'avenir, selon toujours le président du comité d'organisation, le festival pourrait être tournant pour une implication effective des populations des autres villages Danlêh.
Depuis août 2015, les Danlêh se retrouvent en période de vacances scolaires, trois jours durant, à Parhadi, pour magnifier et pérenniser leur culture.
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