Anderson Niamké Tchi Heiman, qui a avoué volontairement lors d’un interrogatoire, avoir donné la mort à une secrétaire d’une église catholique à Abidjan, après une interpellation, risque un « emprisonnement à vie» selon la qualification des faits.
M. Niamké, mis en cause avec deux autres personnes, ont été déférés au Parquet et immédiatement placés sous mandat de dépôt par le juge d’instruction, indique un communiqué du procureur de la République, Richard Christophe Adou, en date du 26 août 2019.
Selon le Parquet, « les faits, d’une extrême gravité, sont qualifiés de vol avec violences, association de malfaiteurs et d’assassinat, et sont passibles de l’emprisonnement à vie », la peine maximale en Côte d’Ivoire.
Il est reproché à M. Niamké d’avoir porté un coup fatal à dame Faustine Brou N’Guessan, secrétaire à l’Eglise catholique Sainte Cécile des 2 Plateaux, retrouvée inconsciente dans son bureau, baignant dans une mare de sang, le samedi 10 août 2019 aux environs de 12h GMT (heure locale).
Informés, des éléments de la police du commissariat du 12e Arrondissement se sont transportés sur les lieux, ouvrant par la suite une enquête. Le lendemain du forfait, l’infortunée dame a malheureusement rendu l’âme sans avoir pu expliquer les circonstances de son agression.
La police criminelle instruite à l’effet d’élucider le meurtre, a fait établir par un témoin présent sur les lieux, le jour des faits, un portrait-robot du présumé auteur, parvenant à obtenir des informations cruciales qui vont permettre d’épingler le quidam.
Exploitant les données recueillies, des éléments du Centre de coordination des décisions opérationnelles (CCDO), une unité spéciale mixte, vont procéder à l’interpellation de Anderson Niamké Tchi, « retrouvé en possession du portable de la victime et formellement reconnu par le témoin oculaire.»
Soumis par la suite à un interrogatoire par les enquêteurs, il a fini par « avouer avoir volontairement donné la mort à la victime à l’instigation de deux personnes », note le communiqué du procureur de la République.
AP/ls/APA
M. Niamké, mis en cause avec deux autres personnes, ont été déférés au Parquet et immédiatement placés sous mandat de dépôt par le juge d’instruction, indique un communiqué du procureur de la République, Richard Christophe Adou, en date du 26 août 2019.
Selon le Parquet, « les faits, d’une extrême gravité, sont qualifiés de vol avec violences, association de malfaiteurs et d’assassinat, et sont passibles de l’emprisonnement à vie », la peine maximale en Côte d’Ivoire.
Il est reproché à M. Niamké d’avoir porté un coup fatal à dame Faustine Brou N’Guessan, secrétaire à l’Eglise catholique Sainte Cécile des 2 Plateaux, retrouvée inconsciente dans son bureau, baignant dans une mare de sang, le samedi 10 août 2019 aux environs de 12h GMT (heure locale).
Informés, des éléments de la police du commissariat du 12e Arrondissement se sont transportés sur les lieux, ouvrant par la suite une enquête. Le lendemain du forfait, l’infortunée dame a malheureusement rendu l’âme sans avoir pu expliquer les circonstances de son agression.
La police criminelle instruite à l’effet d’élucider le meurtre, a fait établir par un témoin présent sur les lieux, le jour des faits, un portrait-robot du présumé auteur, parvenant à obtenir des informations cruciales qui vont permettre d’épingler le quidam.
Exploitant les données recueillies, des éléments du Centre de coordination des décisions opérationnelles (CCDO), une unité spéciale mixte, vont procéder à l’interpellation de Anderson Niamké Tchi, « retrouvé en possession du portable de la victime et formellement reconnu par le témoin oculaire.»
Soumis par la suite à un interrogatoire par les enquêteurs, il a fini par « avouer avoir volontairement donné la mort à la victime à l’instigation de deux personnes », note le communiqué du procureur de la République.
AP/ls/APA