Abidjan - L’homme d'affaire et philanthrope africain Tony O. Elumelu préconise au gouvernement japonais d’investir 5% de son engagement de 50 milliards de dollars en faveur de l’Afrique dans l’autonomisation des entrepreneurs africains, rapporte une note d'information transmise, samedi, à l'AIP.
« Lors de la TICAD 2016 au Kenya, le Japon a promis 30 milliards de dollars à l’Afrique. Cette année, vous avez généreusement porté ce montant à 50 milliards de dollars. Si nous investissons seulement 5% dans la nouvelle génération d’entrepreneurs africains, nous pourrions toucher 500 000 vies dans 54 pays africains, en élargissant les marchés », a déclaré, jeUdi, M. Elumelu lors de la 7ème Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD) à Yokohama, au Japon.
Il a exhorté le Japon à tirer les leçons de l’exemple de la Fondation Tony Elumelu, qui défend l’autonomisation des entrepreneurs africains comme le moyen le plus durable d’accélérer le développement de l'Afrique. Cette fondation qui en cinq ans à peine a apporté son appui à plus de 7 500 entrepreneurs africains dans tous les pays africains, en leur fournissant du capital de démarrage, des opportunités de renforcement des capacités, de mentorat et de réseautage nécessaires à leur épanouissement grâce à son programme entrepreneuriat de 100 millions de dollars.
« L’Afrique est l’une des destinations les plus viables au monde pour les investissements. Notre immense population, qui compte près de 1,3 milliard de personnes, est le cadre de l’un des marchés les plus attrayants au monde. », a fait savoir l’investisseur africain.
S’exprimant sur le potentiel du continent africain, le Premier ministre japonais, Shinzō Abe, a reconnu qu’en Afrique, certains pays ont rejoint les grandes nations au classement sur la facilité de faire des affaires.
« Le marché continue de prendre de l’ampleur. Nous pouvons envisager un jour où tout le continent africain deviendra une énorme zone économique », a exprimé Shinzō Abe.
Organisée par le gouvernement japonais, la TICAD est un forum triennal qui vise à stimuler le développement de l’Afrique par le biais des personnes, de la technologie et de l’innovation, en réunissant des représentants des gouvernements, des chefs d’entreprise et d’autres parties prenantes.
(AIP)
bsb/tm
« Lors de la TICAD 2016 au Kenya, le Japon a promis 30 milliards de dollars à l’Afrique. Cette année, vous avez généreusement porté ce montant à 50 milliards de dollars. Si nous investissons seulement 5% dans la nouvelle génération d’entrepreneurs africains, nous pourrions toucher 500 000 vies dans 54 pays africains, en élargissant les marchés », a déclaré, jeUdi, M. Elumelu lors de la 7ème Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD) à Yokohama, au Japon.
Il a exhorté le Japon à tirer les leçons de l’exemple de la Fondation Tony Elumelu, qui défend l’autonomisation des entrepreneurs africains comme le moyen le plus durable d’accélérer le développement de l'Afrique. Cette fondation qui en cinq ans à peine a apporté son appui à plus de 7 500 entrepreneurs africains dans tous les pays africains, en leur fournissant du capital de démarrage, des opportunités de renforcement des capacités, de mentorat et de réseautage nécessaires à leur épanouissement grâce à son programme entrepreneuriat de 100 millions de dollars.
« L’Afrique est l’une des destinations les plus viables au monde pour les investissements. Notre immense population, qui compte près de 1,3 milliard de personnes, est le cadre de l’un des marchés les plus attrayants au monde. », a fait savoir l’investisseur africain.
S’exprimant sur le potentiel du continent africain, le Premier ministre japonais, Shinzō Abe, a reconnu qu’en Afrique, certains pays ont rejoint les grandes nations au classement sur la facilité de faire des affaires.
« Le marché continue de prendre de l’ampleur. Nous pouvons envisager un jour où tout le continent africain deviendra une énorme zone économique », a exprimé Shinzō Abe.
Organisée par le gouvernement japonais, la TICAD est un forum triennal qui vise à stimuler le développement de l’Afrique par le biais des personnes, de la technologie et de l’innovation, en réunissant des représentants des gouvernements, des chefs d’entreprise et d’autres parties prenantes.
(AIP)
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