Abidjan, Lors d’une réunion de haut niveau à Yokohama, au Japon, sur l’aide aux personnes déracinées en Afrique, le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi, a déclaré que le continent a besoin de nouveaux partenaires et d’innovation pour aider les personnes déracinées.
M. Grandi a formulé ses commentaires lors d’un débat sur l’importance de renforcer les partenariats et la solidarité pour venir en aide aux réfugiés et aux déplacés internes en Afrique, dans le cadre de la septième Conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD), tenu du 28 au 30 août.
«Cette approche concerne de nouveaux partenaires, en particulier les acteurs du développement, le secteur privé et la société civile, mais aussi l’adoption d’outils novateurs», a souligné le Haut-Commissaire.
Cette approche a déjà permis de mobiliser trois milliards de dollars pour des programmes dans les secteurs de l’éducation, de l’infrastructure, de l’emploi et de l’environnement en faveur des réfugiés et de leurs hôtes dans huit pays africains pendant le programme pilote 2016-2018 de Pacte mondial sur les réfugiés.
«Le déplacement forcé n’est pas seulement un phénomène humanitaire, c’est une crise mondiale qui exige des instruments stratégiques mondiaux pour y répondre. C’est ce que nous sommes en train de concevoir dans le cadre du Pacte mondial », a déclaré Filippo Grandi, ajoutant que cette approche sera présentée au Forum mondial sur les réfugiés en décembre à Genève.
L’événement sur les réfugiés de la TICAD a également été organisé pour promouvoir le thème 2019 de l’Union africaine « Année des réfugiés, des rapatriés et des personnes déplacées internes en Afrique », et les efforts pour leur trouver des solutions.
(AIP)
kam
M. Grandi a formulé ses commentaires lors d’un débat sur l’importance de renforcer les partenariats et la solidarité pour venir en aide aux réfugiés et aux déplacés internes en Afrique, dans le cadre de la septième Conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD), tenu du 28 au 30 août.
«Cette approche concerne de nouveaux partenaires, en particulier les acteurs du développement, le secteur privé et la société civile, mais aussi l’adoption d’outils novateurs», a souligné le Haut-Commissaire.
Cette approche a déjà permis de mobiliser trois milliards de dollars pour des programmes dans les secteurs de l’éducation, de l’infrastructure, de l’emploi et de l’environnement en faveur des réfugiés et de leurs hôtes dans huit pays africains pendant le programme pilote 2016-2018 de Pacte mondial sur les réfugiés.
«Le déplacement forcé n’est pas seulement un phénomène humanitaire, c’est une crise mondiale qui exige des instruments stratégiques mondiaux pour y répondre. C’est ce que nous sommes en train de concevoir dans le cadre du Pacte mondial », a déclaré Filippo Grandi, ajoutant que cette approche sera présentée au Forum mondial sur les réfugiés en décembre à Genève.
L’événement sur les réfugiés de la TICAD a également été organisé pour promouvoir le thème 2019 de l’Union africaine « Année des réfugiés, des rapatriés et des personnes déplacées internes en Afrique », et les efforts pour leur trouver des solutions.
(AIP)
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