La présidentielle en Côte d’Ivoire, c’est pratiquement dans 13 mois. Le retour fait par les premiers émissaires du RHDP sur le terrain est rassurant. C’est donc ‘’bouclé’’. L’arrière pays a fait son choix et envoie un signal fort à l’opposition significative : le candidat naturel du parti unifié, Alassane Ouattara, ce sera dès le premier tour pour éviter des revendications farfelues de ses opposants. Tel est le message enregistré 5/5.
Le slogan : ‘’C’est géré, calé, bouclé’’, ce n’est pas une en l’air, une prêche dans le désert. Il vient des populations ivoiriennes et donc de toutes les régions de ce pays. Le RHDP a constamment depuis plusieurs années investi le terrain. ‘’Vendant’’ aux électeurs à travers des films institutionnels, les multiples et innombrables réalisations de ce grand bâtisseur jamais encore égalé de la Côte d’Ivoire émergente. Ce sont de nos jours, plus de 16.000 réalisations achevées et remises clés en main aux populations urbaine, périurbaine et rurale. Et ce n’est pas encore fini. D’ici octobre 2020, ce chiffre pourrait atteindre 20.000, soit 2000 réalisations l’an. C’est la prouesse réussie par le président Alassane Ouattara. Un record que ni Henri Konan Bédié, ni Robert Guéi, ni Laurent Gbagbo n’ont pu atteindre au cours de leur passage respectif à la tête de la Côte d’Ivoire. Et même si on faisait la somme de leur bilan réuni, Ouattara va toujours caracoler à la tête des présidents qui se sont succédé à la tête de ce pays. Les Ivoiriens, ce sont tous des ‘’Saint Thomas’’, des gens qui veulent voir avant de croire. A ce propos, il n’y a pas matière à discussion. En huit (8) ans de bonne gouvernance, le cher et tendre époux de la Première Dame, Dominique Ouattara, a profondément séduit et convaincu ses concitoyens. Pas par des discours démagogiques, mais par la pratique, le travail abattu juste après une longue crise postélectorale qui a ‘’détruit’’ tous les fondamentaux de l’économie. Qui dit ‘’qu’on ne sort d’une guerre comme d’un dîner-gala ?’’ Le président Alassane Ouattara, seul devant le mur, a démontré avec les actes posés, que c’était une fausse assertion, un aveu d’impuissance et d’incapacité qui n’a plus droit d’asile dans son pays. Les sourds ‘’en entendent’’ parler et sont dans la joie et l’allégresse pour en témoigner ; aucun opposant ivoirien ne peut aujourd’hui les tromper ou leur vendre des chimères, des illusions. Le peuple ivoirien a déjà fait son choix : « c’est Ouattara ou rien ». il est désormais leur ‘’fétiche’’, car lui seul s’est engagé résolument à développer ce pays, à améliorer les conditions de vie des agents et fonctionnaires de l’Etat, des populations rurales, des jeunes et des femmes de ce pays ; ces milliers et milliers d’infrastructures routières, économiques, sociales et culturelles sont non comptabilisées ici. C’est donc pour toutes ces raisons, que le peuple ne jure aujourd’hui que par lui. Il tourne ainsi, définitivement le dos aux ‘’vendeurs d’illusions, aux aventuriers politiques’’ qui viendront demain leur proposer des chimères. Alors, quand le RHDP prévient que c’est déjà ‘’géré, bouclé, calé’’, ce n’est pas une annonce en l’air. C’est l’assurance à lui donnée par les électeurs qui ne sont pas prêts de s’engager avec les opposants ivoiriens dans une impasse, une voie sans issue, une aventure bien ambigüe et alambiquée. Ouattara est l’homme qu’il faut encore pour longtemps à la Côte d’Ivoire. Car nul n’est besoin de changer pour le plaisir de changer, une équipe qui travaille très bien, qui développe et qui a fait de ce pays la locomotive de la sous-région, ‘’les Dragons d’Asie’’ de l’Afrique subsaharienne. Et c’est ça la vérité que l’opposition ivoirienne s’efforce de ne pas entendre, en se bouchant les oreilles et en voulant ne rien voir aussi de ces réalisations qui laissent sans voix les candidats au fauteuil présidentiel. Qui usent déjà de nos jours de dénonciations calomnieuses. Un proverbe bien usité assène cette vérité : « vox populi, vox déi », autrement dit dans la langue de Molière, la voix du peuple, c’est la voix de Dieu. C’est ce peuple qui s’apprête à se lever, à se mettre debout, comme un seul homme, lui ‘’le propriétaire exclusif’’ de la Constitution pour exiger un 3ème mandat du président Alassane Ouattara, afin qu’il poursuive, allègrement, son œuvre de reconstruction de ce pays qu’il a entamée depuis le 21 mai 2011. Qui pourra dire non à Ouattara, si le peuple dit à l’unisson, oui à un 3ème mandat de son bienfaiteur, Alassane Ouattara ? C’est lui qui a voté en 2016, cette loi fondamentale. Et c’est lui qui va dire demain, nous la mettons pour la candidature de Ouattara sous le boisseau, sans autre forme de procès, parce que c’est lui que nous allons élire dès le premier tour pour éviter un second, toujours source à palabres et vecteur de crise postélectorale. Voilà le sens que revêt ce slogan qui vient du peuple ivoirien lui-même, et non du RHDP dont l’opposition ivoirienne a une peur bleue de sa ‘’grosse machine électorale’’, avant les choses très sérieuses en octobre 2020. Si la date arrêtée constitutionnellement ne subit pas une légère modification.
Igor Wawayou
Le slogan : ‘’C’est géré, calé, bouclé’’, ce n’est pas une en l’air, une prêche dans le désert. Il vient des populations ivoiriennes et donc de toutes les régions de ce pays. Le RHDP a constamment depuis plusieurs années investi le terrain. ‘’Vendant’’ aux électeurs à travers des films institutionnels, les multiples et innombrables réalisations de ce grand bâtisseur jamais encore égalé de la Côte d’Ivoire émergente. Ce sont de nos jours, plus de 16.000 réalisations achevées et remises clés en main aux populations urbaine, périurbaine et rurale. Et ce n’est pas encore fini. D’ici octobre 2020, ce chiffre pourrait atteindre 20.000, soit 2000 réalisations l’an. C’est la prouesse réussie par le président Alassane Ouattara. Un record que ni Henri Konan Bédié, ni Robert Guéi, ni Laurent Gbagbo n’ont pu atteindre au cours de leur passage respectif à la tête de la Côte d’Ivoire. Et même si on faisait la somme de leur bilan réuni, Ouattara va toujours caracoler à la tête des présidents qui se sont succédé à la tête de ce pays. Les Ivoiriens, ce sont tous des ‘’Saint Thomas’’, des gens qui veulent voir avant de croire. A ce propos, il n’y a pas matière à discussion. En huit (8) ans de bonne gouvernance, le cher et tendre époux de la Première Dame, Dominique Ouattara, a profondément séduit et convaincu ses concitoyens. Pas par des discours démagogiques, mais par la pratique, le travail abattu juste après une longue crise postélectorale qui a ‘’détruit’’ tous les fondamentaux de l’économie. Qui dit ‘’qu’on ne sort d’une guerre comme d’un dîner-gala ?’’ Le président Alassane Ouattara, seul devant le mur, a démontré avec les actes posés, que c’était une fausse assertion, un aveu d’impuissance et d’incapacité qui n’a plus droit d’asile dans son pays. Les sourds ‘’en entendent’’ parler et sont dans la joie et l’allégresse pour en témoigner ; aucun opposant ivoirien ne peut aujourd’hui les tromper ou leur vendre des chimères, des illusions. Le peuple ivoirien a déjà fait son choix : « c’est Ouattara ou rien ». il est désormais leur ‘’fétiche’’, car lui seul s’est engagé résolument à développer ce pays, à améliorer les conditions de vie des agents et fonctionnaires de l’Etat, des populations rurales, des jeunes et des femmes de ce pays ; ces milliers et milliers d’infrastructures routières, économiques, sociales et culturelles sont non comptabilisées ici. C’est donc pour toutes ces raisons, que le peuple ne jure aujourd’hui que par lui. Il tourne ainsi, définitivement le dos aux ‘’vendeurs d’illusions, aux aventuriers politiques’’ qui viendront demain leur proposer des chimères. Alors, quand le RHDP prévient que c’est déjà ‘’géré, bouclé, calé’’, ce n’est pas une annonce en l’air. C’est l’assurance à lui donnée par les électeurs qui ne sont pas prêts de s’engager avec les opposants ivoiriens dans une impasse, une voie sans issue, une aventure bien ambigüe et alambiquée. Ouattara est l’homme qu’il faut encore pour longtemps à la Côte d’Ivoire. Car nul n’est besoin de changer pour le plaisir de changer, une équipe qui travaille très bien, qui développe et qui a fait de ce pays la locomotive de la sous-région, ‘’les Dragons d’Asie’’ de l’Afrique subsaharienne. Et c’est ça la vérité que l’opposition ivoirienne s’efforce de ne pas entendre, en se bouchant les oreilles et en voulant ne rien voir aussi de ces réalisations qui laissent sans voix les candidats au fauteuil présidentiel. Qui usent déjà de nos jours de dénonciations calomnieuses. Un proverbe bien usité assène cette vérité : « vox populi, vox déi », autrement dit dans la langue de Molière, la voix du peuple, c’est la voix de Dieu. C’est ce peuple qui s’apprête à se lever, à se mettre debout, comme un seul homme, lui ‘’le propriétaire exclusif’’ de la Constitution pour exiger un 3ème mandat du président Alassane Ouattara, afin qu’il poursuive, allègrement, son œuvre de reconstruction de ce pays qu’il a entamée depuis le 21 mai 2011. Qui pourra dire non à Ouattara, si le peuple dit à l’unisson, oui à un 3ème mandat de son bienfaiteur, Alassane Ouattara ? C’est lui qui a voté en 2016, cette loi fondamentale. Et c’est lui qui va dire demain, nous la mettons pour la candidature de Ouattara sous le boisseau, sans autre forme de procès, parce que c’est lui que nous allons élire dès le premier tour pour éviter un second, toujours source à palabres et vecteur de crise postélectorale. Voilà le sens que revêt ce slogan qui vient du peuple ivoirien lui-même, et non du RHDP dont l’opposition ivoirienne a une peur bleue de sa ‘’grosse machine électorale’’, avant les choses très sérieuses en octobre 2020. Si la date arrêtée constitutionnellement ne subit pas une légère modification.
Igor Wawayou