Les syndicats et organisations des enseignants et chercheurs des universités publiques viennent de créer une nouvelle plateforme pour les revendications de leurs droits. Il s’agit de la Plateforme des organisations et syndicats des enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire dénommée Posec-ci. Cet instrument pour unir leurs forces sur un front commun, a été porté sur les fonts baptismaux ce mardi 17 septembre 2019, au siège de l’Unesur, à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody. « L’objectif de cette plateforme est de faciliter la coopération des enseignants du supérieur et des chercheurs du secteur du public afin qu’ils puissent s’exprimer d’une seule voix lors des rencontres avec les pouvoirs publics », a déclaré Dr Langui Konan Roger, porte-parole de la nouvelle plateforme.
La Posec-ci comporte toutes les organisations des enseignants des universités publiques. A savoir, le Syndicat national de la recherche et de l’enseignement supérieur (Synares), l’Union syndicale de l’enseignement supérieur et de la recherche (Unesur), la Coordination nationale des enseignants du supérieur et des chercheurs de Côte d’Ivoire (Cnec-tendance Johnson et tendance Kouamé N’guessan), le Syndicat libre des enseignants chercheurs de Côte d’Ivoire (Codec) et l’Union nationale des acteurs de recherche, d’éducation et de la formation (Unaref). Ce sont les dirigeants de ces organisations syndicales qui ont co-animé un point de presse, ce jour, dans le cadre de la lutte pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Il s’est agi de présenter à la presse la nouvelle la Posec-ci et de partager ses perspectives avec l’opinion.
Pour Dr Langui Konan Roger, en effet, il convient, dans le cadre de cette plateforme, d’affirmer et de défendre les intérêts des enseignants et chercheurs, mais aussi redorer l’image de la corporation. Toujours selon lui, la plateforme va contribuer à la mise en œuvre et à l’exécution des missions assignés aux universités, grandes écoles, instituts et centres de recherche publics. Dans ses missions, la Posec-ci veut initier des négociations au travers d’un dialogue constructif avec les pouvoirs publics pour satisfaire aux revendications corporatistes, notamment la gouvernance et le cadre managérial des Universités. A en croire ces syndicalistes, « les défis de l’enseignement supérieur sont tellement grands que seule une organisation forte et dynamique permettra de les relever ».
Les chantiers qui attendent la Posec-ci sont légions. On peut citer entre autres, le refus des gouvernements successifs de transférer aux conseils des universités, grandes écoles, instituts et centres de recherche, le soin de gérer les fonds alloués aux investissements dans leurs structures et la normalisation des années universitaires. Des batailles syndicales qui s’annoncent à l’horizon.
DA
La Posec-ci comporte toutes les organisations des enseignants des universités publiques. A savoir, le Syndicat national de la recherche et de l’enseignement supérieur (Synares), l’Union syndicale de l’enseignement supérieur et de la recherche (Unesur), la Coordination nationale des enseignants du supérieur et des chercheurs de Côte d’Ivoire (Cnec-tendance Johnson et tendance Kouamé N’guessan), le Syndicat libre des enseignants chercheurs de Côte d’Ivoire (Codec) et l’Union nationale des acteurs de recherche, d’éducation et de la formation (Unaref). Ce sont les dirigeants de ces organisations syndicales qui ont co-animé un point de presse, ce jour, dans le cadre de la lutte pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Il s’est agi de présenter à la presse la nouvelle la Posec-ci et de partager ses perspectives avec l’opinion.
Pour Dr Langui Konan Roger, en effet, il convient, dans le cadre de cette plateforme, d’affirmer et de défendre les intérêts des enseignants et chercheurs, mais aussi redorer l’image de la corporation. Toujours selon lui, la plateforme va contribuer à la mise en œuvre et à l’exécution des missions assignés aux universités, grandes écoles, instituts et centres de recherche publics. Dans ses missions, la Posec-ci veut initier des négociations au travers d’un dialogue constructif avec les pouvoirs publics pour satisfaire aux revendications corporatistes, notamment la gouvernance et le cadre managérial des Universités. A en croire ces syndicalistes, « les défis de l’enseignement supérieur sont tellement grands que seule une organisation forte et dynamique permettra de les relever ».
Les chantiers qui attendent la Posec-ci sont légions. On peut citer entre autres, le refus des gouvernements successifs de transférer aux conseils des universités, grandes écoles, instituts et centres de recherche, le soin de gérer les fonds alloués aux investissements dans leurs structures et la normalisation des années universitaires. Des batailles syndicales qui s’annoncent à l’horizon.
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