Annoncée à cor et à cri avec de gros moyens et une violence inouïe, la grève de trois jours de la FESY-DGI a été un échec patent.
Les agents des Impôts, fidèles à leur serment n’ont pas suivi le mouvement lancé par KONE Losseni et ses suiveurs.
En effet, selon les informations recueillies auprès des différentes Directions régionales, les services ont ouvert. Mieux, la majorité des agents étaient à leur poste de travail.Sauf quelques centres où sous la menace des responsables syndicaux,certains agents ont préféré se plier en rentrant tranquillement à la maison pour préserver leur vie.
C’est le cas des centres des Impôts de Bingerville,de Yopougon et la Direction régionale de Daloa où les syndicalistes ont fait régner la terreur.
« Jamais les agents n’ont été aussi déterminés et motivés à travailler. Tous étaient à leur poste aux heures de travail » affirme un responsable des services de recettes de Port-bouët.
A la Tour E où se trouve la Direction générale des Impôts, le décor est le même que les autres jours ordinaires.
Les agents présents n’ont nullement pas cédé aux menaces et chantage de leurs camarades qui préfèrent s’adonner aux bruitages par des coups sifflets intempestibles.
Le Directeur général a présidé le Comité de direction hebdomadaire du mercredi 18 septembre 2019. A cette réunion,tous les Directeurs étaient présents exceptésceux qui sont en congé annuel.
Après cette rencontre, OUATTARA Sié Abou a reçu le même jour de 10 heures à 21 heures, les responsables de la FESY-DGI.
A l’issue de ces échanges, les deux parties sont parvenues à un accord qui a été paraphé.
Malheureusement ce dénouement heureux n’a pas fait l’objet de déclaration à la presse. Les syndicalistes ont préféré s’en remettent à l’Assemblée générale extraordinaire seule compétente selon eux, à lever le mot d’ordre de grève.
Le fait le plus marquant et à déplorer est cette question que se posent la majorité des agents : cette grève était-elle opportune ?
Les points d’accord dont se réjouissent les membres de la FESY-DGI ont été déjà concédés par le DG dès les premières heures des discussions.
Pour montrer sa bonne foi, OUATTARA Sié Abou a proposé que les points de divergence fassent l’objet de discussions dans le cadre du CPC. Cette offre a été balayée du revers de la main.
Mais mercredi, les syndicalistes ont capitulé devant l’indifférence de la majorité des agents. « Quand ils ont su que leur mouvement n’est pas suivi, ils sont se ramollis et ont accepté ce que le DG leur avait concédé. S’indigne, un agent à Yopougon.
On le voit, le complot ourdi contre OUATTARA Sié Abou a tout simplement échoué. Le pétard a été mouillé et aujourd’hui, aucun agent n’est prêt à suivre ces vendeurs d’illusions.
En tout cas, dans les services, les agents sont plus préoccupés par la réalisation des objectifs de recettes.
La grève prévue pour trois jours n’a duré qu’une demie journée. Quel gâchis ?
Les agents des Impôts, fidèles à leur serment n’ont pas suivi le mouvement lancé par KONE Losseni et ses suiveurs.
En effet, selon les informations recueillies auprès des différentes Directions régionales, les services ont ouvert. Mieux, la majorité des agents étaient à leur poste de travail.Sauf quelques centres où sous la menace des responsables syndicaux,certains agents ont préféré se plier en rentrant tranquillement à la maison pour préserver leur vie.
C’est le cas des centres des Impôts de Bingerville,de Yopougon et la Direction régionale de Daloa où les syndicalistes ont fait régner la terreur.
« Jamais les agents n’ont été aussi déterminés et motivés à travailler. Tous étaient à leur poste aux heures de travail » affirme un responsable des services de recettes de Port-bouët.
A la Tour E où se trouve la Direction générale des Impôts, le décor est le même que les autres jours ordinaires.
Les agents présents n’ont nullement pas cédé aux menaces et chantage de leurs camarades qui préfèrent s’adonner aux bruitages par des coups sifflets intempestibles.
Le Directeur général a présidé le Comité de direction hebdomadaire du mercredi 18 septembre 2019. A cette réunion,tous les Directeurs étaient présents exceptésceux qui sont en congé annuel.
Après cette rencontre, OUATTARA Sié Abou a reçu le même jour de 10 heures à 21 heures, les responsables de la FESY-DGI.
A l’issue de ces échanges, les deux parties sont parvenues à un accord qui a été paraphé.
Malheureusement ce dénouement heureux n’a pas fait l’objet de déclaration à la presse. Les syndicalistes ont préféré s’en remettent à l’Assemblée générale extraordinaire seule compétente selon eux, à lever le mot d’ordre de grève.
Le fait le plus marquant et à déplorer est cette question que se posent la majorité des agents : cette grève était-elle opportune ?
Les points d’accord dont se réjouissent les membres de la FESY-DGI ont été déjà concédés par le DG dès les premières heures des discussions.
Pour montrer sa bonne foi, OUATTARA Sié Abou a proposé que les points de divergence fassent l’objet de discussions dans le cadre du CPC. Cette offre a été balayée du revers de la main.
Mais mercredi, les syndicalistes ont capitulé devant l’indifférence de la majorité des agents. « Quand ils ont su que leur mouvement n’est pas suivi, ils sont se ramollis et ont accepté ce que le DG leur avait concédé. S’indigne, un agent à Yopougon.
On le voit, le complot ourdi contre OUATTARA Sié Abou a tout simplement échoué. Le pétard a été mouillé et aujourd’hui, aucun agent n’est prêt à suivre ces vendeurs d’illusions.
En tout cas, dans les services, les agents sont plus préoccupés par la réalisation des objectifs de recettes.
La grève prévue pour trois jours n’a duré qu’une demie journée. Quel gâchis ?