Bocanda- Deux présumés trafiquants opérant dans le commerce illégal de l’ivoire ont été interpellés avec en leur possession, deux précieuses défenses d’éléphant, indique une note d'information de l'Ong EAGLE-Côte d'Ivoire, parvenue mercredi à l'AIP.
Selon la note, ce coup de filet qui a eu lieu, le 12 septembre a été possible grâce à la collaboration des éléments de l’Unité de lutte contre la Criminalité Transnationale organisée (UCT) et de la direction de la police forestière et de l’eau (DPFE), avec l’assistance technique du projet EAGLE-Côte d’Ivoire.
Arrêtés, pour flagrant délit de détention, de circulation et de la commercialisation illégale de produits fauniques, les prévenus ont été placés en garde à vue, puis déférés au parquet du tribunal d’Abidjan-Plateau. Ils risquent une peine de prison allant de deux à 12 mois assortie d’une amende de 3000 à 300.000 FCFA, si leur culpabilité est établie.
En vue de rendre la loi faunique plus dissuasive, le Ministère des Eaux et Forêts a initié les 8 et 9 août, un atelier national d’analyse et de validation des textes sur l’avant-projet de loi. Si le projet de loi est adopté, un trafiquant d’ivoire pourrait désormais être puni d’une peine d’emprisonnement allant de 10 à 20 ans et d’une amende de 10.000.000 à 100.000.000 F CFA.
A ce jour, ce sont 582 kg d’ivoire, et près de 300 objets sculptés en ivoire saisis. En Côte d’Ivoire plus de 1139 qui ont été dénombrés dans 26 habitats selon les rapports réalisés entre 1987 et 2000.
bsb/kam
Selon la note, ce coup de filet qui a eu lieu, le 12 septembre a été possible grâce à la collaboration des éléments de l’Unité de lutte contre la Criminalité Transnationale organisée (UCT) et de la direction de la police forestière et de l’eau (DPFE), avec l’assistance technique du projet EAGLE-Côte d’Ivoire.
Arrêtés, pour flagrant délit de détention, de circulation et de la commercialisation illégale de produits fauniques, les prévenus ont été placés en garde à vue, puis déférés au parquet du tribunal d’Abidjan-Plateau. Ils risquent une peine de prison allant de deux à 12 mois assortie d’une amende de 3000 à 300.000 FCFA, si leur culpabilité est établie.
En vue de rendre la loi faunique plus dissuasive, le Ministère des Eaux et Forêts a initié les 8 et 9 août, un atelier national d’analyse et de validation des textes sur l’avant-projet de loi. Si le projet de loi est adopté, un trafiquant d’ivoire pourrait désormais être puni d’une peine d’emprisonnement allant de 10 à 20 ans et d’une amende de 10.000.000 à 100.000.000 F CFA.
A ce jour, ce sont 582 kg d’ivoire, et près de 300 objets sculptés en ivoire saisis. En Côte d’Ivoire plus de 1139 qui ont été dénombrés dans 26 habitats selon les rapports réalisés entre 1987 et 2000.
bsb/kam