Abidjan, Une fillette de trois ans, B.A.O ayant subi une agression sexuelle d’un individu non identifié dans la soirée, de samedi, à Boré, village situé sur l’axe Dimbokro-Bocanda, n’a pu survivre à ses blessures malgré les interventions des médecins et du gouvernement.
« Nous étions dans le village aux funérailles d’une tante, samedi dans l’après-midi. Pendant ce temps, elle jouait avec ces camarades. Vers 18h, je voulais la laver. Mais on ne savait pas où elle se trouvait. Nous l’avons cherché partout en vain sans aucune trace d’elle », a relaté la mère, Konan Adjoua Angèle .
Selon les parents de la victime, c’est aux environs de 6h, le dimanche matin que la fillette a été retrouvée par un riverain sur une piste non loin du village. Elle était dans un état critique, nue, le corps badigeonné de poussière. Alertés, le père, Bassa Thierry et mère vont la conduire à l’hôpital général de Dimbokro, à une quinzaine de kilomètres de Boré.
Après quelques soins reçus, la victime est évacuée le même jour aux services urgences du Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Abidjan-Cocody, dans l’espoir de recevoir des interventions appropriées. Admise dans la journée de lundi au bloc opératoire, B.A.O a subit une intervention chirurgicale pour tenter de reconstituer son appareil génital complètement endommagé.
Selon le Pr Moh Nicolas du service des urgences de la pédiatrie, « c’est un cas de violence sexuelle grave sur une enfant mineure ».
Informée de la situation, la ministre de la Femme, de la Famille et de l’enfant, Bakayoko Ly Ramata, s’est rendue au CHU de Cocody, au nom de la première dame Dominique Ouattara et du premier ministre Amadou Gon, pour s’enquérir de l’état de santé de la petite.
« Les enfants sont nos trésors, ils représentent la Côte d’Ivoire demain. Nous ne pouvons pas accepter que de tels actes ignobles soient faits sur nos enfants. Tout sera mis en œuvre pour retrouver ce criminel», a-t-elle souligné.
De source proche de la famille, la petite fille n’a malheureusement pas survécu à son agression sexuelle. Et ce, malgré les moyens du gouvernement et la détermination des médecins mobilisés autour d’elle pour lui donner une chance de vivre. Elle a rendu l’âme lundi peu avant 17h au moment où la ministre Ly Ramata quittait le CHU de Cocody.
(AIP)
ibo/fmo
« Nous étions dans le village aux funérailles d’une tante, samedi dans l’après-midi. Pendant ce temps, elle jouait avec ces camarades. Vers 18h, je voulais la laver. Mais on ne savait pas où elle se trouvait. Nous l’avons cherché partout en vain sans aucune trace d’elle », a relaté la mère, Konan Adjoua Angèle .
Selon les parents de la victime, c’est aux environs de 6h, le dimanche matin que la fillette a été retrouvée par un riverain sur une piste non loin du village. Elle était dans un état critique, nue, le corps badigeonné de poussière. Alertés, le père, Bassa Thierry et mère vont la conduire à l’hôpital général de Dimbokro, à une quinzaine de kilomètres de Boré.
Après quelques soins reçus, la victime est évacuée le même jour aux services urgences du Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Abidjan-Cocody, dans l’espoir de recevoir des interventions appropriées. Admise dans la journée de lundi au bloc opératoire, B.A.O a subit une intervention chirurgicale pour tenter de reconstituer son appareil génital complètement endommagé.
Selon le Pr Moh Nicolas du service des urgences de la pédiatrie, « c’est un cas de violence sexuelle grave sur une enfant mineure ».
Informée de la situation, la ministre de la Femme, de la Famille et de l’enfant, Bakayoko Ly Ramata, s’est rendue au CHU de Cocody, au nom de la première dame Dominique Ouattara et du premier ministre Amadou Gon, pour s’enquérir de l’état de santé de la petite.
« Les enfants sont nos trésors, ils représentent la Côte d’Ivoire demain. Nous ne pouvons pas accepter que de tels actes ignobles soient faits sur nos enfants. Tout sera mis en œuvre pour retrouver ce criminel», a-t-elle souligné.
De source proche de la famille, la petite fille n’a malheureusement pas survécu à son agression sexuelle. Et ce, malgré les moyens du gouvernement et la détermination des médecins mobilisés autour d’elle pour lui donner une chance de vivre. Elle a rendu l’âme lundi peu avant 17h au moment où la ministre Ly Ramata quittait le CHU de Cocody.
(AIP)
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