Youssouf Bakayoko, ex-président de la Commission électorale indépendante (Cei), a passé officiellement les charges, ce mercredi 02 octobre, à Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, son successeur. Au cours d’une cérémonie qui s’est tenue au siège de l’institution, à Abidjan, le président sortant a donné sa bénédiction à la nouvelle équipe de la Commission centrale. D’entrée, il a souligné les activités majeures menées sous sa présidence lors des deux derniers cycles électoraux, non sans relever les contraintes et défis que la CEI doit relever.
De sa prise de fonction à ce jour, la CEI, a-t-il indiqué, a organisé trois opérations d’établissement de la liste électorale et une quinzaine de scrutins: élections générales, locales et référendaires. A cela, il a ajouté l’ajustement du code électoral en vigueur, sans oublier des partenariats avec des structures électorales internationales. « Nous avons été sollicités d’année en année pour l’observation de multiples élections en Afrique, preuve éclatante de la reconnaissance internationale de la légitimité et du savoir-faire de notre institution », s’est-il félicité.
Au sujet des contraintes, Youssouf Bakayoko n’a pas caché qu’il y en a qui se dresseront sur le chemin de la nouvelle équipe. « Il s’agit de la tendance sinon de l’inclination au non respect des règles du jeu démocratique par une certaine frange des chapelles politiques ». A ce niveau, il importe selon le désormais ex-président de la CEI, « d’amplifier de concert avec les autorités étatiques, la sensibilisation de la classe politique et des populations à la conscience citoyenne, à la promotion de nos lois électorales, c’est-à-dire au respect strict du jeu démocratique ».
Après, l’autre défi sera le renforcement continu des capacités du personnel. Youssouf Bakayoko a également encouragé la nouvelle commission centrale à s’engager dans les préparatifs de l’opération de mise à jour de la liste électorale pour les élections générales de 2020, qu’il a qualifié d’une importance majeure pour l’avenir et la stabilité socio-politique de notre pays.
A sa suite, c’est à juste titre que le nouveau président de la CEI, Coulibaly Kuibiert a salué son ex-patron, présenté comme « un homme de devoir ».
Prenant note des observations de son prédécesseur, il a promis, au nom de ses pairs (commissaires centraux), de faire en sorte à mériter la confiance de la nation. « Le père ne dit jamais à son fils de faire comme lui, mais plus que lui ». Voici l’image qu’il a utilisée pour rassurer le président Bakayoko.
Elu, il y a 48 heures, l’ancien commissaire central à la CEI et secrétaire général au Conseil Constitutionnel, Coulibaly Kuibiert, promet de s’abreuver à la source du président sortant pour réussir la conduite des futurs processus électoraux en Côte d’Ivoire.
JOB
De sa prise de fonction à ce jour, la CEI, a-t-il indiqué, a organisé trois opérations d’établissement de la liste électorale et une quinzaine de scrutins: élections générales, locales et référendaires. A cela, il a ajouté l’ajustement du code électoral en vigueur, sans oublier des partenariats avec des structures électorales internationales. « Nous avons été sollicités d’année en année pour l’observation de multiples élections en Afrique, preuve éclatante de la reconnaissance internationale de la légitimité et du savoir-faire de notre institution », s’est-il félicité.
Au sujet des contraintes, Youssouf Bakayoko n’a pas caché qu’il y en a qui se dresseront sur le chemin de la nouvelle équipe. « Il s’agit de la tendance sinon de l’inclination au non respect des règles du jeu démocratique par une certaine frange des chapelles politiques ». A ce niveau, il importe selon le désormais ex-président de la CEI, « d’amplifier de concert avec les autorités étatiques, la sensibilisation de la classe politique et des populations à la conscience citoyenne, à la promotion de nos lois électorales, c’est-à-dire au respect strict du jeu démocratique ».
Après, l’autre défi sera le renforcement continu des capacités du personnel. Youssouf Bakayoko a également encouragé la nouvelle commission centrale à s’engager dans les préparatifs de l’opération de mise à jour de la liste électorale pour les élections générales de 2020, qu’il a qualifié d’une importance majeure pour l’avenir et la stabilité socio-politique de notre pays.
A sa suite, c’est à juste titre que le nouveau président de la CEI, Coulibaly Kuibiert a salué son ex-patron, présenté comme « un homme de devoir ».
Prenant note des observations de son prédécesseur, il a promis, au nom de ses pairs (commissaires centraux), de faire en sorte à mériter la confiance de la nation. « Le père ne dit jamais à son fils de faire comme lui, mais plus que lui ». Voici l’image qu’il a utilisée pour rassurer le président Bakayoko.
Elu, il y a 48 heures, l’ancien commissaire central à la CEI et secrétaire général au Conseil Constitutionnel, Coulibaly Kuibiert, promet de s’abreuver à la source du président sortant pour réussir la conduite des futurs processus électoraux en Côte d’Ivoire.
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