En moins de 8 ans d’exercice du pouvoir d’Etat en Côte d’Ivoire, le président Alassane Ouattara est sans conteste, la ‘’deuxième chance’’ de la Côte d’Ivoire et le ‘’père du second miracle ivoirien’’. A 12 mois presque de la prochaine présidentielle dans ce pays, il est le bâtisseur inégalé parmi les chefs d’Etat au Sud du Sahara. Son bilan gigantesque est ce qui fait trembler de peur tous ses adversaires politiques au bord de la langue Ebrié, à Abidjan.
Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, même le Fils de Dieu n’a pas fait l’unanimité lors de son passage sur terre au milieu des siens, avec une bonne dose d’honnêteté intellectuelle, il faut reconnaître qu’en matière de reconstruction de son pays après une longue crise postélectorale, Ouattara a battu et dépassé tous les records de développement et de recherche du bien-être et du bonheur partagé de ses concitoyens. Intéressons-nous aujourd’hui dans ce dossier à son combat sur tous les fronts pour l’amélioration des conditions de vie des populations et le désenclavement de toutes les zones rurales sinistrées hier par un manque criant depuis des décennies de l’ouverture de routes et pistes rurales ou leurs reprofilages. Un de ses prédécesseurs disait hier, sûrement pour cacher son ‘’incompétence ou son incapacité’’ à apporter un soupçon de développement à la Côte d’Ivoire, « Qu’on ne sort pas d’une guerre comme d’un dîner-gala ». Ouattara a donc hérité le 21 mai 2011 après sa prestation de serment à Yamoussoukro, d’un pays dont l’économie ‘’gisait’’ au fond d’un gouffre. ‘’L’expert’’ venu du Fonds monétaire international (FMI) a un courage politique exceptionnel à revendre. Il prend le taureau par les cornes. Premier acte courageux : apporter les fondamentaux, les piliers de cette économie en vue de lui donner une grosse bouffée d’oxygène. La mayonnaise prend, ou du moins ‘’l’élixir’’, la potion magique marche. L’économie est remise à flots et le président Ouattara peut aisément réaliser les grands travaux d’Hercule qu’il a promis à ses électeurs quand il demandait seulement 5 ans en 2010 à ses concitoyens pour changer le visage de la Côte d’Ivoire. Promesse tenue, parole d’honneur honorée, honneur sauf, Ouattara peut aujourd’hui regarder droit dans les yeux de ses adversaires politiques et étaler à profusion devant eux ses actions. Rafraîchissons la mémoire des ‘’négateurs’’ de son régime en commençant par le programme de l’électricité pour tous (PEPT).
1 million de personnes démunies connectées au réseau électrique national.
Dans une communication publiée par le Centre ivoirien de communication gouvernemental (CICG) et faite par le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement ivoirien, SEM Sidi Tiémoko Touré, a révélé au cours d’une conférence de presse relative au bilan semestriel du Programme Social du Gouvernement (PSGouv 2019-2020) que 92.557 ménages sur un objectif annuel de 200.382 ont eu accès à l’électrification au 30 juin 2019 grâce au programme EPT (électricité pour tous (PEPT)). Et jouissent depuis le 30 juin 2019 du PEPT. Au titre de l’accès à l’électricité, 930.910 ménages bénéficient d’une réduction de 20% du tarif social d’électricité et l’on note, dira le ministre Sidi Tiémoko Touré, une progression de 2,3% par rapport au mois d’avril 2019. L’application de cette mesure, poursuivait-il, a permis de faire réaliser 1,7 milliard de F Cfa d’économie par les ménages concernés à la fin 2019. En ce qui concerne l’électrification villageoise, le ministre Sidi Tiémoko Touré a rappelé qu’en 8 ans, la politique nationale en matière d’électricité a permis d’accroître la capacité de production 58% (soit + 809 Mw), d’électrifier 2291 localités contre 1825, de ramener le temps de coupure à 33 heures à fin 2019, contre 50 heures en 2011. Que dire d’un tel bilan fascinant, élogieux, séduisant et convaincant ? Ouattara est véritablement la ‘’seconde chance’’ de la Côte d’Ivoire après le président Félix Houphouët-Boigny. Le premier citoyen ivoirien ne s’est pas seulement limité aux grands chantiers de l’électricité pour tous. Il s’est attaqué de front aussi au problème crucial de l’accès à l’eau potable pour les couches les plus défavorisées. Un social hardi qui vaut aujourd’hui au président Alassane d’être reconnu en Afrique et au plan mondial comme le seul chef d’Etat africain, très soucieux de sortir les populations vulnérables de la précarité en leur offrant des commodités modernes. Qui dit mieux !
L’eau potable, source de vie, coule dans les villages les plus reculés
Toujours grâce au Centre ivoirien de communication gouvernemental (CICG) qui a publié un autre compte-rendu de la conférence de presse du ministre Sidi Tiémoko Touré, les Ivoiriens dans leur quasi-totalité savent aujourd’hui les grands sacrifices financiers consentis par le pouvoir Ouattara. Faisant le 2 août 2019, le bilan semestriel du Programme Social du Gouvernement (PSGouv 2019-2020), le ministre de la Communication et des Médias, Porte-parole du Gouvernement a déclaré que dans le cadre de l’accès à l’eau potable, 19.521 branchements ont été effectués à fin 2019. Cette opération s’est faite dans le cadre des branchements subventionnés pour un montant de 2miliards 217 millions 618 mille F Cfa. Un beau pactole pour éviter à ces populations, des maladies dues à la consommation d’une eau insalubre. « Mieux vaut prévenir que guérir », assène un proverbe. Sidi Tiémoko Touré a ajouté que l’engagement du Programme Social du Gouvernement consiste à garantir le fonctionnement continu d’environ 21.000 pompes à motricité humaine sur toute l’étendue du territoire national. A cet effet, a-t-il précisé avec force détails, 5 localités ont été raccordées au titre du service de distribution d’eau potable, et 21 infrastructures d’hydraulique urbaine villageoise ont été améliorées. Le diagnostic établi par le porte-parole du gouvernement pour le CICG, a été finalisé, conclut-il, pour l’ensemble des pompes à motricité humaine. Les premières commandes des pièces ont été déjà passées et le déploiement général des équipes devrait permettre de réhabiliter 500 pompes à motricité humaine et ce avant fin septembre 2019. Ouattara est donc un grand visionnaire, un cerveau politique qui sait ce que représente l’eau potable pour préserver la vie des populations des maladies dues à la consommation de l’eau sale, car gouverner, c’est prévenir. Or de 1990-2011, ses prédécesseurs ont livré inconsciemment les populations rurales à la mort due à la consommation d’une eau impropre. Combien de vies humaines a-t-il sauvé ainsi ? Après l’accès à l’eau potable, Ouattara en tant que grand visionnaire et stratège politique sait que la route précède le développement. Pour l’écoulement des produits des populations rurales, ‘’Dupont sénior’’ a pensé à l’entretien routier et donc aux ponts et chaussées. En somme au développement clé en mains. En désenclavant ainsi hameaux et villages d’au moins 500 habitants. Une première depuis l’indépendance de ce pays le 7 août 1960.
Désenclavement tous azimuts des hameaux et villages pour leur desserte
Le même 2 août 2019, le ministre Sidi Tiémoko Touré s’est aussi prononcé sur le bilan semestriel du gouvernement dans le cadre du PSGouv 2019-2020. Il a annoncé ce jour-là qu’en 2019, sur 40.000 km de routes et de pistes rurales à traiter, 15.871 km (soit 794 itinéraires) ont été achevées. Le processus d’appel d’offres est en cours pour la suite des travaux, a affirmé Sidi Tiémoko Touré. Selon lui, le programme d’entretien routier a pour objectif le reprofilage de 120.000 km de routes et de pistes rurales sur la période 2019-2020. Après un tel bilan élogieux sur le volet amélioration des conditions de vie des populations, de la lutte contre la précarité, qui peut trouver encore à redire ? De 1993 à 2011, 3 chefs d’Etat se sont succédé au Palais présidentiel au Plateau : Aimé Henri Konan Bédié, feu Robert Guéi et Laurent Gbagbo. Il a fallu l’accession à la magistrature suprême de Ouattara dans son pays pour que ces couches vulnérables sortent des ténèbres et que de milliers de villages connaissent la joie d’être reliés par des routes. 8 ans, c’est le temps pris par Ouattara pour changer le visage du pays profond. Un tel bilan ne peut que provoquer la pétoche chez ses adversaires politiques qui, à 12 mois de la présidentielle d’octobre 2020, ont bien le sommeil troublé. Et c’est ça la vérité que les opposants ivoiriens tentent de cacher derrière une refonte en profondeur de la Commission Electorale Indépendante (CEI) ou de sa recomposition.
Igor Wawayou
Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, même le Fils de Dieu n’a pas fait l’unanimité lors de son passage sur terre au milieu des siens, avec une bonne dose d’honnêteté intellectuelle, il faut reconnaître qu’en matière de reconstruction de son pays après une longue crise postélectorale, Ouattara a battu et dépassé tous les records de développement et de recherche du bien-être et du bonheur partagé de ses concitoyens. Intéressons-nous aujourd’hui dans ce dossier à son combat sur tous les fronts pour l’amélioration des conditions de vie des populations et le désenclavement de toutes les zones rurales sinistrées hier par un manque criant depuis des décennies de l’ouverture de routes et pistes rurales ou leurs reprofilages. Un de ses prédécesseurs disait hier, sûrement pour cacher son ‘’incompétence ou son incapacité’’ à apporter un soupçon de développement à la Côte d’Ivoire, « Qu’on ne sort pas d’une guerre comme d’un dîner-gala ». Ouattara a donc hérité le 21 mai 2011 après sa prestation de serment à Yamoussoukro, d’un pays dont l’économie ‘’gisait’’ au fond d’un gouffre. ‘’L’expert’’ venu du Fonds monétaire international (FMI) a un courage politique exceptionnel à revendre. Il prend le taureau par les cornes. Premier acte courageux : apporter les fondamentaux, les piliers de cette économie en vue de lui donner une grosse bouffée d’oxygène. La mayonnaise prend, ou du moins ‘’l’élixir’’, la potion magique marche. L’économie est remise à flots et le président Ouattara peut aisément réaliser les grands travaux d’Hercule qu’il a promis à ses électeurs quand il demandait seulement 5 ans en 2010 à ses concitoyens pour changer le visage de la Côte d’Ivoire. Promesse tenue, parole d’honneur honorée, honneur sauf, Ouattara peut aujourd’hui regarder droit dans les yeux de ses adversaires politiques et étaler à profusion devant eux ses actions. Rafraîchissons la mémoire des ‘’négateurs’’ de son régime en commençant par le programme de l’électricité pour tous (PEPT).
1 million de personnes démunies connectées au réseau électrique national.
Dans une communication publiée par le Centre ivoirien de communication gouvernemental (CICG) et faite par le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement ivoirien, SEM Sidi Tiémoko Touré, a révélé au cours d’une conférence de presse relative au bilan semestriel du Programme Social du Gouvernement (PSGouv 2019-2020) que 92.557 ménages sur un objectif annuel de 200.382 ont eu accès à l’électrification au 30 juin 2019 grâce au programme EPT (électricité pour tous (PEPT)). Et jouissent depuis le 30 juin 2019 du PEPT. Au titre de l’accès à l’électricité, 930.910 ménages bénéficient d’une réduction de 20% du tarif social d’électricité et l’on note, dira le ministre Sidi Tiémoko Touré, une progression de 2,3% par rapport au mois d’avril 2019. L’application de cette mesure, poursuivait-il, a permis de faire réaliser 1,7 milliard de F Cfa d’économie par les ménages concernés à la fin 2019. En ce qui concerne l’électrification villageoise, le ministre Sidi Tiémoko Touré a rappelé qu’en 8 ans, la politique nationale en matière d’électricité a permis d’accroître la capacité de production 58% (soit + 809 Mw), d’électrifier 2291 localités contre 1825, de ramener le temps de coupure à 33 heures à fin 2019, contre 50 heures en 2011. Que dire d’un tel bilan fascinant, élogieux, séduisant et convaincant ? Ouattara est véritablement la ‘’seconde chance’’ de la Côte d’Ivoire après le président Félix Houphouët-Boigny. Le premier citoyen ivoirien ne s’est pas seulement limité aux grands chantiers de l’électricité pour tous. Il s’est attaqué de front aussi au problème crucial de l’accès à l’eau potable pour les couches les plus défavorisées. Un social hardi qui vaut aujourd’hui au président Alassane d’être reconnu en Afrique et au plan mondial comme le seul chef d’Etat africain, très soucieux de sortir les populations vulnérables de la précarité en leur offrant des commodités modernes. Qui dit mieux !
L’eau potable, source de vie, coule dans les villages les plus reculés
Toujours grâce au Centre ivoirien de communication gouvernemental (CICG) qui a publié un autre compte-rendu de la conférence de presse du ministre Sidi Tiémoko Touré, les Ivoiriens dans leur quasi-totalité savent aujourd’hui les grands sacrifices financiers consentis par le pouvoir Ouattara. Faisant le 2 août 2019, le bilan semestriel du Programme Social du Gouvernement (PSGouv 2019-2020), le ministre de la Communication et des Médias, Porte-parole du Gouvernement a déclaré que dans le cadre de l’accès à l’eau potable, 19.521 branchements ont été effectués à fin 2019. Cette opération s’est faite dans le cadre des branchements subventionnés pour un montant de 2miliards 217 millions 618 mille F Cfa. Un beau pactole pour éviter à ces populations, des maladies dues à la consommation d’une eau insalubre. « Mieux vaut prévenir que guérir », assène un proverbe. Sidi Tiémoko Touré a ajouté que l’engagement du Programme Social du Gouvernement consiste à garantir le fonctionnement continu d’environ 21.000 pompes à motricité humaine sur toute l’étendue du territoire national. A cet effet, a-t-il précisé avec force détails, 5 localités ont été raccordées au titre du service de distribution d’eau potable, et 21 infrastructures d’hydraulique urbaine villageoise ont été améliorées. Le diagnostic établi par le porte-parole du gouvernement pour le CICG, a été finalisé, conclut-il, pour l’ensemble des pompes à motricité humaine. Les premières commandes des pièces ont été déjà passées et le déploiement général des équipes devrait permettre de réhabiliter 500 pompes à motricité humaine et ce avant fin septembre 2019. Ouattara est donc un grand visionnaire, un cerveau politique qui sait ce que représente l’eau potable pour préserver la vie des populations des maladies dues à la consommation de l’eau sale, car gouverner, c’est prévenir. Or de 1990-2011, ses prédécesseurs ont livré inconsciemment les populations rurales à la mort due à la consommation d’une eau impropre. Combien de vies humaines a-t-il sauvé ainsi ? Après l’accès à l’eau potable, Ouattara en tant que grand visionnaire et stratège politique sait que la route précède le développement. Pour l’écoulement des produits des populations rurales, ‘’Dupont sénior’’ a pensé à l’entretien routier et donc aux ponts et chaussées. En somme au développement clé en mains. En désenclavant ainsi hameaux et villages d’au moins 500 habitants. Une première depuis l’indépendance de ce pays le 7 août 1960.
Désenclavement tous azimuts des hameaux et villages pour leur desserte
Le même 2 août 2019, le ministre Sidi Tiémoko Touré s’est aussi prononcé sur le bilan semestriel du gouvernement dans le cadre du PSGouv 2019-2020. Il a annoncé ce jour-là qu’en 2019, sur 40.000 km de routes et de pistes rurales à traiter, 15.871 km (soit 794 itinéraires) ont été achevées. Le processus d’appel d’offres est en cours pour la suite des travaux, a affirmé Sidi Tiémoko Touré. Selon lui, le programme d’entretien routier a pour objectif le reprofilage de 120.000 km de routes et de pistes rurales sur la période 2019-2020. Après un tel bilan élogieux sur le volet amélioration des conditions de vie des populations, de la lutte contre la précarité, qui peut trouver encore à redire ? De 1993 à 2011, 3 chefs d’Etat se sont succédé au Palais présidentiel au Plateau : Aimé Henri Konan Bédié, feu Robert Guéi et Laurent Gbagbo. Il a fallu l’accession à la magistrature suprême de Ouattara dans son pays pour que ces couches vulnérables sortent des ténèbres et que de milliers de villages connaissent la joie d’être reliés par des routes. 8 ans, c’est le temps pris par Ouattara pour changer le visage du pays profond. Un tel bilan ne peut que provoquer la pétoche chez ses adversaires politiques qui, à 12 mois de la présidentielle d’octobre 2020, ont bien le sommeil troublé. Et c’est ça la vérité que les opposants ivoiriens tentent de cacher derrière une refonte en profondeur de la Commission Electorale Indépendante (CEI) ou de sa recomposition.
Igor Wawayou
