Le délégué communal de Bouaflé, Dr Léhié Bi Lucien, Maire, nous a accordé un entretien, hier, jeudi 3 octobre 2019. Dans cette interview, nous avons fait le tour de l’actualité au sein du Pdci-Rda notamment l’arrestation du Vice-président du Pdci-Rda, Mangoua Jacques et aussi parlé du meeting géant du 19 octobre prochain. Sur ce dernier, le patron communal du Pdci à Bouaflé s’est dit prêt avec ses militants pour être massivement présents à la place Jean Paul II. Interview.
Bonjour monsieur le délégué, quelques semaines après la rencontre de Daloa avec le Secrétaire exécutif en chef, Maurice Kakou Guikahué, comment va le parti dans votre délégation ?
La délégation communale de Bouaflé va très, très, très bien si bien que certains militants de la périphérie veulent venir vivre l’ambiance de la commune ; j’ai reçu de nombreux cadres qui ont décidé de déposer leur valise au niveau de la commune. Ce qui me rend plus heureux, c’est la mobilisation spontanée des militants, militantes et surtout des sympathisants et nouveaux militants. J’ai l’impression que les gens sont gagnés ailleurs par le découragement et ils affluent vers nous, vers le parti de l’espoir et de la paix vraie, le PDCI.
L’immatriculation des militants fait partie des défis majeurs à relever. Quelle est la situation au niveau de votre délégation ?
Vous avez entièrement raison car nous n’avons pas besoin de la foule mais des militants vrais, ceux qui se font identifier pour la bataille annoncée. Et bon nombre de militants s’activent pour mettre en application les décisions du secrétaire exécutif, le Ministre Guikahué, à savoir chaque militant sa carte de Parti.
L’actualité au Pdci, c’est l’arrestation du Vice-président Mangoua Jacques à Bouaké. Quel commentaire cela vous inspire ? Aujourd’hui, les élus et cadres du Pdci doivent vivre avec la peur qu’eux aussi peuvent être objet d’une telle cabale ?
Voyez-vous, je suis triste ! La politique, ce n’est pas la guerre ! Nous avons vécu ensemble hier avec nos frères. Aujourd’hui, nous avons choisi de nous séparer d’eux Qu’on ne nous force pas à revenir, il faut plutôt nous séduire, nous convaincre. Cette façon de procéder amène la population à les haïr davantage. C’est une façon pour eux de conduire facilement le PDCI au pouvoir car ils mettent à nu leur incapacité à nous rassembler, nous les Ivoiriens qui voulons la paix, qui voulons vivre ensemble. Nous qui voulons plus de justice et d’amour, nous sommes déçus. Nous avons nourri un véritable espoir, hier, mais aujourd’hui, ces agissements font saigner nos cœurs. Nous ne reconnaissons plus nos alliés d’hier. C’est à croire qu’ils n’ont rien appris de cette alliance d’hier. D’ailleurs un serpent reste un serpent même mort. Je leur demande pardon de changer un jour.
Le rendez-vous tant attendu, c’est celui le 19 octobre prochain où 100 000 militants sont attendus à la place Jean Paul II à Yamoussoukro. Comment cet évènement se prépare dans votre délégation et partant dans le département de Bouaflé ?
Ma délégation a déjà eu 3 réunions pour ça. Nous sommes prêts. Nous ne demandons rien au Secrétariat exécutif. Mes militants sont prêts, le 19 octobre, c’est le jour de notre jour, nous avons confectionné des tee-shirts, les membres du Bureau politique de ma délégation sont debout pour l’événement ; il y a un des cadres qui nous offre 10 mini-cars. Les autres délégations du département en font autant et Bouaflé ville martyre du PDCI-RDA, va démontrer qu’elle n’est pas ville martyre par hasard. Les populations de Bouaflé viendront très très nombreuses. Nous serons plus de 2000. Et nous serons très remarqués avec nos danses et nos tenues violet blanc dans le vert blanc
Quel sens donnez-vous à ce grand rassemblement et quelles sont vos attentes quant aux différents messages, notamment celui du Président Henri Konan Bédié, qui seront livrés ?
Le PDCI est un Parti habitué des grands rassemblements, et j’avoue que cela manque aux militants de base. C’est pour nous une grande fête où nous aurons l’occasion d’écouter avec joie le Président Henri Konan Bédié qui ne parle pas pour parler mais toutes ses paroles sont des enseignements, des paroles de vérité. Des messages de paix, des messages de cohésion qu’attendent tous les Ivoiriens et lui seul à ce secret de savoir parler aux Ivoiriens. Car lui qui, quand il dit, il fait.
Un message à vos militants et partant aux militants Pdci sur l’ensemble du territoire national afin que ce jour du 19 octobre soit un véritable succès.
Le PDCI est un parti de paix et à l’occasion de la date anniversaire de naissance du fondateur de ce grand parti, feu Félix Houphouët-Boigny, nous devons être très nombreux à effectuer le déplacement pour montrer que le PDCI est vivant et que le PDCI n’est pas mort comme on tente vainement de le faire croire à l’opinion internationale. Venons nombreux démontrer que nous sommes les plus nombreux. Que Dieu bénisse tous ceux qui vivent dans ce beau pays, la Côte d’Ivoire.
Entretien réalisé par JEAN PAUL LOUKOU
Bonjour monsieur le délégué, quelques semaines après la rencontre de Daloa avec le Secrétaire exécutif en chef, Maurice Kakou Guikahué, comment va le parti dans votre délégation ?
La délégation communale de Bouaflé va très, très, très bien si bien que certains militants de la périphérie veulent venir vivre l’ambiance de la commune ; j’ai reçu de nombreux cadres qui ont décidé de déposer leur valise au niveau de la commune. Ce qui me rend plus heureux, c’est la mobilisation spontanée des militants, militantes et surtout des sympathisants et nouveaux militants. J’ai l’impression que les gens sont gagnés ailleurs par le découragement et ils affluent vers nous, vers le parti de l’espoir et de la paix vraie, le PDCI.
L’immatriculation des militants fait partie des défis majeurs à relever. Quelle est la situation au niveau de votre délégation ?
Vous avez entièrement raison car nous n’avons pas besoin de la foule mais des militants vrais, ceux qui se font identifier pour la bataille annoncée. Et bon nombre de militants s’activent pour mettre en application les décisions du secrétaire exécutif, le Ministre Guikahué, à savoir chaque militant sa carte de Parti.
L’actualité au Pdci, c’est l’arrestation du Vice-président Mangoua Jacques à Bouaké. Quel commentaire cela vous inspire ? Aujourd’hui, les élus et cadres du Pdci doivent vivre avec la peur qu’eux aussi peuvent être objet d’une telle cabale ?
Voyez-vous, je suis triste ! La politique, ce n’est pas la guerre ! Nous avons vécu ensemble hier avec nos frères. Aujourd’hui, nous avons choisi de nous séparer d’eux Qu’on ne nous force pas à revenir, il faut plutôt nous séduire, nous convaincre. Cette façon de procéder amène la population à les haïr davantage. C’est une façon pour eux de conduire facilement le PDCI au pouvoir car ils mettent à nu leur incapacité à nous rassembler, nous les Ivoiriens qui voulons la paix, qui voulons vivre ensemble. Nous qui voulons plus de justice et d’amour, nous sommes déçus. Nous avons nourri un véritable espoir, hier, mais aujourd’hui, ces agissements font saigner nos cœurs. Nous ne reconnaissons plus nos alliés d’hier. C’est à croire qu’ils n’ont rien appris de cette alliance d’hier. D’ailleurs un serpent reste un serpent même mort. Je leur demande pardon de changer un jour.
Le rendez-vous tant attendu, c’est celui le 19 octobre prochain où 100 000 militants sont attendus à la place Jean Paul II à Yamoussoukro. Comment cet évènement se prépare dans votre délégation et partant dans le département de Bouaflé ?
Ma délégation a déjà eu 3 réunions pour ça. Nous sommes prêts. Nous ne demandons rien au Secrétariat exécutif. Mes militants sont prêts, le 19 octobre, c’est le jour de notre jour, nous avons confectionné des tee-shirts, les membres du Bureau politique de ma délégation sont debout pour l’événement ; il y a un des cadres qui nous offre 10 mini-cars. Les autres délégations du département en font autant et Bouaflé ville martyre du PDCI-RDA, va démontrer qu’elle n’est pas ville martyre par hasard. Les populations de Bouaflé viendront très très nombreuses. Nous serons plus de 2000. Et nous serons très remarqués avec nos danses et nos tenues violet blanc dans le vert blanc
Quel sens donnez-vous à ce grand rassemblement et quelles sont vos attentes quant aux différents messages, notamment celui du Président Henri Konan Bédié, qui seront livrés ?
Le PDCI est un Parti habitué des grands rassemblements, et j’avoue que cela manque aux militants de base. C’est pour nous une grande fête où nous aurons l’occasion d’écouter avec joie le Président Henri Konan Bédié qui ne parle pas pour parler mais toutes ses paroles sont des enseignements, des paroles de vérité. Des messages de paix, des messages de cohésion qu’attendent tous les Ivoiriens et lui seul à ce secret de savoir parler aux Ivoiriens. Car lui qui, quand il dit, il fait.
Un message à vos militants et partant aux militants Pdci sur l’ensemble du territoire national afin que ce jour du 19 octobre soit un véritable succès.
Le PDCI est un parti de paix et à l’occasion de la date anniversaire de naissance du fondateur de ce grand parti, feu Félix Houphouët-Boigny, nous devons être très nombreux à effectuer le déplacement pour montrer que le PDCI est vivant et que le PDCI n’est pas mort comme on tente vainement de le faire croire à l’opinion internationale. Venons nombreux démontrer que nous sommes les plus nombreux. Que Dieu bénisse tous ceux qui vivent dans ce beau pays, la Côte d’Ivoire.
Entretien réalisé par JEAN PAUL LOUKOU