Des centaines de personnes ont marché dimanche à Angré, un quartier huppé dans l’Est d’Abidjan en hommage à une fillette de 3 ans prénommée Grâce qui a trouvé la mort après avoir été violée fin septembre à Dimbokro (Centre ivoirien).
Vêtus de blanc et de rouge pour la plupart, les marcheurs ont déposé des bougies pour certains et des gerbes de fleur pour d’autres sur un lieu symbolique à proximité du Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angré. La fillette avait été évacuée à Abidjan où elle est décédée le lundi 30 septembre 2019 après une intervention chirurgicale.
« Nous sommes là pour dire non au viol et à l’assassinat de nos enfants. Nous devons dénoncer les violences faites à nos enfants. Nous ne devons pas garder le silence», a estimé une participante à cette marche qui a enregistré la présence de plusieurs visages connus en Côte d’Ivoire dont le maire de Cocody ( Est d’Abidjan), Jean-Marc Yacé.
Dans la nuit du 28 au 29 septembre dernier à Dimbokro, une fillette de trois ans prénommée Grâce, qui avait été auparavant enlevée par un inconnu, a été retrouvée dans une broussaille dans un état végétatif avec ses parties intimes déchirées.
Ce crime a suscité l’indignation dans le pays et les autorités ivoiriennes se sont engagées à prendre non seulement en charge les obsèques de la fillette mais également à assurer la prise charge psychologiquement de ses parents.
L’an dernier, des abidjanais avaient également organisé une marche dite silencieuse au même endroit ( à quelques encablures du CHU de Angré) après l’assassinat de Traoré Aboubacar Sidick dit Bouba, un garçonnet de 4 ans qui avait été retrouvé enseveli, ligoté avec la gorge tranchée.
LB/ls/APA
Vêtus de blanc et de rouge pour la plupart, les marcheurs ont déposé des bougies pour certains et des gerbes de fleur pour d’autres sur un lieu symbolique à proximité du Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angré. La fillette avait été évacuée à Abidjan où elle est décédée le lundi 30 septembre 2019 après une intervention chirurgicale.
« Nous sommes là pour dire non au viol et à l’assassinat de nos enfants. Nous devons dénoncer les violences faites à nos enfants. Nous ne devons pas garder le silence», a estimé une participante à cette marche qui a enregistré la présence de plusieurs visages connus en Côte d’Ivoire dont le maire de Cocody ( Est d’Abidjan), Jean-Marc Yacé.
Dans la nuit du 28 au 29 septembre dernier à Dimbokro, une fillette de trois ans prénommée Grâce, qui avait été auparavant enlevée par un inconnu, a été retrouvée dans une broussaille dans un état végétatif avec ses parties intimes déchirées.
Ce crime a suscité l’indignation dans le pays et les autorités ivoiriennes se sont engagées à prendre non seulement en charge les obsèques de la fillette mais également à assurer la prise charge psychologiquement de ses parents.
L’an dernier, des abidjanais avaient également organisé une marche dite silencieuse au même endroit ( à quelques encablures du CHU de Angré) après l’assassinat de Traoré Aboubacar Sidick dit Bouba, un garçonnet de 4 ans qui avait été retrouvé enseveli, ligoté avec la gorge tranchée.
LB/ls/APA